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Résumé
Le patois était encore il y a cinquante ans, une langue de communication bien vivante à la campagne et même chez les ouvriers.
Cette langue d’oc que l’on ne voulait pas nommer, s’était réfugiée auprès du peuple. Elle était pourtant langue de culture à rayonnement européen et cela depuis le Moyen-âge, à l’époque où le français balbutiait encore.
Dans la première partie du XX° siècle, de nombreux journaux ardéchois ou drômois faisaient encore une place à la langue populaire, cet occitan qui ne disait pas son nom. Le Réveil du Vivarais, l’hebdomadaire d’Annonay et sa région, a peut-être voulu renouer avec cette tradition lorsqu’il a demandé à Gérard Betton une chronique hebdomadaire en langue occitane.
Par la volonté de l’auteur, ces chroniques ne se sont pas limitées à la couleur locale ni au folklore. Avec ce "patois" du Haut-Vivarais il est possible de parler de tout : du curé de Lafarre et de la météo, du jardin aux proverbes des saisons, mais aussi d’Haïti et du terrible tremblement de terre de 2010, de la mort de Jean Ferrat, du métro toulousain, de l’Estivada de Rodez, de politique mais aussi de football...
Le regard de l’auteur à travers quelques événements, nous fait vivre cette langue occitane du Haut-Vivarais.
Cette langue est toujours présente, il y a tant de vérités à dire sur ce patois si méconnu !
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