Descrip­tions

Les morts ne connaissent pas l’amour.

Richmond « Lucky » Lucklighter, ancien trafiquant de drogue, est « mort » en mission alors qu’il servait une peine de dix ans sous les ordres de la brigade anti-drogues du sud-est, et est devenu Simon « Lucky » Harrison. Le petit nouveau qu’il a entraîné, l’ex Marine Bo Schollenberger, est maintenant son partenaire sur le terrain (et ailleurs), mais Lucky ne comprend pas ce qu’est une relation, ni pourquoi un homme sain d’esprit le rejoint dans son lit. Il apprécie Bo, bien sûr, mais Lucky n’est pas du genre à rêver de fleurs et de chocolat.

Bo lutte chaque jour contre son syndrome post-traumatique, ses souvenirs d’une enfance atroce, son addiction aux médicaments, et il doit payer pour ses erreurs. Utiliser son diplôme pharmaceutique du bon côté de la barrière lui offre une éducation que l’université ne pouvait pas lui donner. Lorsqu’il part en mission sous couverture avec son partenaire tête brûlée, Bo se rend compte que le monde pharmaceutique est bien différent de ce qu’il s’imaginait.

Une pénurie de médicaments met en danger les patients du service de cancérologie d’un hôpital pour enfants, forçant Bo et Lucky à affronter des vautours opportunistes, mais les dressant aussi l’un contre l’autre. Comment savoir qui est l’ennemi ? Il ne porte pas de cagoule noire, mais pourrait se cacher sous une blouse blanche.

Alors ? Prêt à repartir chasser les méchants avec Bo et Lucky ?

Dead men can’t love.

Former drug trafficker Richmond “Lucky” Lucklighter “died” in the line of duty while working off a ten-year sentence in service to the Southeastern Narcotics Bureau, only to be reborn as Simon “Lucky” Harrison. The newbie he trained, former Marine Bo Schollenberger, is now his partner on (and maybe off) the job. It’s hard to tell when Lucky doesn’t understand relationships or have a clue what any sane human is doing in his bed. Bo’s nice to have around, sure, but there’s none of that picking-out-china-together crap for Lucky.

While fighting PTSD, memories of a horrid childhood, and a prescription drug addiction, Bo is paying for his mistakes. Using his pharmacy license for the good guys provides the sort of education he never got in school. Undercover with his hard-headed partner, Bo learns that not everything is as it seems in the world of pharmaceuticals.

When a prescription drug shortage jeopardizes the patients at Rosario Children’s Cancer Center, it not only pits Bo and Lucky against predatory opportunists, but also each other. How can they tell who the villains are? The bad guys don’t wear black hats, but they might wear white coats.