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Liste des commentaires

Commentaire ajouté par Jouvea 2021-09-15T12:00:40+02:00
Argent

La terre est épuisée par les êtres humains, la surconsommation et la pollution. Elle est à bout de souffle…

Casey, compositeur à la mode, à une existence tranquille un peu en retrait du monde, pourtant il accepte une interview.

C’est pour lui l’occasion de rencontrer et de tomber sous le charme de la journaliste.

Événement qui va influencer son futur.

J’ai tout de suite apprécié le côté posé de Casey, c’est un homme qui peut rester en contemplation aussi bien devant une œuvre d’art qu’un magnifique paysage.

Le monde s’effondre autour de lui. Comme il est seul, il n’est pas inquiet, il accepte son avenir,une fin du monde précoce. D’autant plus qu’il a été choisi pour rejoindre un monde virtuel.

A l'opposé, la journaliste est lumineuse, pleine de vie et d’espoir. Elle veut continuer à vivre, à exister.

Leur rencontre va bouleverser Casey, j’ai aimé voir son évolution.

La remise en cause de sa vie et de son avenir.

Ils vont rapidement former un couple, sur fond de terre qui se meurt.

Les descriptions du monde sont troublantes car elles nous laissent imaginer un futur pas si lointain.

L’échelle temporelle relativement courte du roman donne un sentiment d’urgence, d’intensité.

Cette histoire résonne avec les événements que nous vivons actuellement, virus, inondations ou autres catastrophes naturelles.

J’ai aimé l’enchevêtrement de la romance et de l’intrigue policière.

La plume de l’auteur m’a directement emportée dans cet univers apocalyptique où il distille tout de même quelques lueurs d’espoir.

Un très bon moment de lecture.

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Commentaire ajouté par Lakoko19 2021-09-04T18:44:24+02:00
Diamant

Un livre étonnant de la part de cet auteur. En effet, bien qu'on retrouve les habituelles thématiques philosophiques, on y découvre également une romance qui a un petit côté tragédie grecque. Et ce mélange crée une atmosphère incroyable, une atmosphère douce-amère tandis que les personnages font face à une fin du monde imminente.

Ma chronique : https://misslaliebook.wordpress.com/2021/09/04/chronique-eschaton-de-guy-roger-duvert/

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Commentaire ajouté par Ichmagbuecher 2021-05-05T21:56:35+02:00
Bronze

Dans ce roman, l'ambiance se démarque du reste. Après un désastre climatologique, le niveau de l'eau monte, submergeant les habitations en bord de littoral. Des quartiers entiers sont abandonnés, comme les humains qui les peuplaient, les survivants n'ont plus de toit, la criminalité gagne du terrain, les chanceux encore dans leur foyer se renferment sur eux-mêmes, annihilant la réalité dans des loisirs chronophages.

Tout cela se réverbère d'une étrange façon dans l'environnement du roman, comme une fatalité paisible ; car l'humanité n'apprend pas de ses erreurs et persiste à reproduire un schéma voué à l'échec jusqu'au bout. Le sablier s'écoule de plus en plus vite, et pourtant, une certaine lenteur s'installe, alors que les protagonistes jouent leur "avenir" contre la montre. Avec le temps qui passe, la pression redouble leurs forces et leur détermination pour atteindre leur but avant la fin, avant Eschaton.

J'apprécie ce maillage de thèmes, lien entre tous les romans de l'auteur. Ce titre en particulier dénonce la crise écologique et le drame climatique qui nous poussent droit dans le mur. Cependant, les aspects secondaires traitent de sujets récurrents comme les mondes virtuels ou l'amortalité. En dehors du cadre du livre, j'ai beaucoup réfléchi à certaines choses, cette lecture m'a mise dans un état d'esprit différent, pas toujours agréable, mais nécessaire.

Les personnages sont attachants, mais au final, l'intrigue n'est pas aussi creusée que je m'y attendais, j'ai envie de dire que Guy-Roger Duvert m'avait habituée à mieux. Pourtant, j'ai échafaudé des hypothèses, qui paraissent complètement farfelues quand on connait l'issue du récit.

Malgré un manque d'approfondissement, l'atmosphère dégagée par le récit est tenace et incite le lecteur à l'introspection.

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Commentaire ajouté par bookalauma 2021-04-24T15:51:27+02:00
Argent

Dans ses précédents romans et notamment dans sa saga Outsphere, l'auteur avait fait preuve de beaucoup d'imagination en réinventant un tant soit peu le genre de la science-fiction où l'humanité et la conscience collective étaient réellement représentées.

Dans son nouveau roman « Eschaton », le côté science-fiction laisse place au genre dystopique afin d'aborder un sujet sensible mais non moins essentiel : le réchauffement climatique et ses répercussions irréversibles sur notre planète.

Sur la base de faits réels, l'auteur nous embarque au sein d'une société où le temps est désormais compté.

Cette nouvelle intrigue reflète clairement le style de l'auteur et sa réflexion sur la vie dans les mondes virtuels, également traitée dans de précédents romans. Ce mélange de styles apporte une plus-value au roman et aborde le thème de la réalité virtuelle sous un autre angle. Au-delà de ses thèmes très techniques, l'auteur a su également intégrer un aspect plus humain par le biais d'une histoire d'amour qui n'en est qu'à ses prémices, mais qui est condamnée à s'éteindre dans le monde réel.

En quelques mots, ce nouveau roman de l'auteur est une réussite par le fait que ma réflexion intègre parfaitement le côté artistique de l'oeuvre.

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Commentaire ajouté par MelBonnot 2021-04-09T21:59:53+02:00
Or

J’ai pris un réel plaisir à me plonger dans ce roman de science-fiction, retrouvant cette sensation tellement agréable de ne plus regarder des mots alignés les uns à la suite des autres, mais de voir défiler des images sous mes yeux. J’associe toujours les auteurs à des prestidigitateurs, qui arrivent plus ou moins savamment à embrouiller notre esprit afin de nous mener dans leur propre réalité. Ici, la magie opère dès les premières pages.

Je ne vous cache pas que j’ai eu un peu peur quand j’ai su qu’il s’agissait d’une romance. Mais point de sentimentalisme prude ni d’érotisme débridé, juste une histoire d’amour pressée par la fin du monde. J’ai trouvé Casey et Eve particulièrement attachants. L’idée de leur mort lors de l’Eschaton (se prononce eskatone), m’a émue et j’ai suivi leur quête de survie avec avidité.

Si la lecture est simple, le récit bref et l’intrigue sans difficulté particulière, il n’en reste pas moins que j’ai trouvé ce roman passionnant, car jusqu’à la dernière ligne, vous ne pouvez être sûrs et certains de la tournure que prendront les évènements. De plus, cet ouvrage, frôlant avec l’anticipation, apparaît comme un funeste présage en ce qui concerne notre planète et ses habitants, sans jamais se montrer écologiquement moralisateur. Une ode à l’amour, à l’espoir, mais aussi à la résilience face à l’inéluctabilité de notre propre mort. C’est un livre largement tout public, que je conseille aux adolescents amateurs du genre.

Une histoire sans prise de tête, juste pour le plaisir de voyager, de rêver, d’imaginer, bref de lire.

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Commentaire ajouté par Aryia 2021-03-27T11:13:02+01:00
Or

Si Guy-Roger Duvert continue dans cette lancée, il va vraiment falloir que je songe à lui réserver une étagère complète dans ma future bibliothèque : déjà cinq livres sortis en à peine trois ans, et deux autres sont d’ores et déjà prévus d’ici la fin de l’année 2021 ! On ne l’arrête décidemment plus ! Et contrairement à ce que certaines mauvaises langues pourraient assurément persifler en observant ce rythme de sortie et en constatant que c’est toujours de la science-fiction, il nous offre toujours la même qualité littéraire, et toujours quelque chose de nouveau à se mettre sous la dent ! C’est d’ailleurs pour cette raison que je me jette aveuglément dessus, souvent même sans avoir lu le résumé : il fait indiscutablement parti de ces auteurs dont je compte bien posséder toute la bibliographie, car ses histoires me font invariablement vibrer, trembler et pleurer, car j’apprécie énormément sa plume, très caractéristique, et car je trouve que ses visions du futur sont très justes, très réfléchies. Car la science-fiction, c’est aussi ça : dépeindre au lecteur divers avenirs possibles, pas forcément bien reluisant, mais rarement parfaitement sombre, car au cœur de la nature humaine, il reste toujours une petite étincelle de lumière.

Le monde est foutu, définitivement condamné : dans ce futur pas si lointain, cette terrible perspective est clairement établie, bien ancrée dans tous les esprits. Et alors, le fatalisme a remplacé l’insouciance et l’inquiétude des années 1970 à 2020. Puisqu’il n’y a plus rien à faire pour sauver cette planète, autant profiter pleinement de l’existence, en dépit des catastrophes naturelles toujours plus fréquentes et meurtrières et de cette fin du monde qui approche sans que quiconque sache exactement quand et comment elle aura lieu. Enfin, c’est ce que pense le grand public. Casey, compositeur de musiques de films ou de mondes virtuels, va découvrir que ce n’est pas tout à fait vrai : le voici contacté par une mystérieuse firme, qui affirme connaitre avec précision la date de la fin du monde et lui propose une place dans un programme de réalité virtuelle destiné à « sauvegarder » les esprits des plus grands scientifiques, penseurs et artistes de ce monde, afin de les réimplanter dans un corps cloné lorsque la Terre sera à nouveau habitable. N’ayant pas encore pu réaliser « l’œuvre de sa vie », il accepte : voici qu’un double numérique habite désormais dans un monde numérique, tandis qu’il sait que son « vrai lui » sera soufflé par l’apocalypse dans quelques mois. Mais voilà, il rencontre Eve, et il ne peut supporter l’idée qu’il « survivra » et pas elle …

Comme toujours, Guy-Roger Duvert nous présente un futur tout à fait possible, probable, et tout à fait glaçant, effrayant. L’inaction de l’homme, prompt à faire de grands discours pour se donner bonne conscience (« oh, la pollution, c’est vraiment terrible, nous devons tous faire notre possible pour protéger la planète ! ») mais réfractaire au moindre petit effort (« arrêter d’acheter le dernier jean à la mode, arrêter de prendre l’avion pour barboter sur une plage à l’autre bout du monde ? hors de question ! quoi, la pollution ? bah, c’est pas moi qui peut y changer quelque chose, autant continuer à profiter de la vie ! »), a précipité l’inexorable, l’inévitable. Le monde touche à sa fin : les catastrophes naturelles se multiplient et s’amplifient. La montée des eaux et les tsunamis ravagent tous les littoraux, les ouragans et les incendies dévastent l’intérieur des terres. Les réfugiés climatiques sont de plus en plus nombreux, et ces mouvements de population entrainèrent toujours plus de conflits armés. Mais après la panique et la colère (car bien sûr, c’est toujours la faute de l’autre, jamais la sienne), le reliquat d’humanité est retournée à ses vieilles habitudes : vu qu’il n’y a plus rien à faire, satisfaisons nos petits désirs égoïstes et continuons à faire comme si de rien n’était, comme si des milliards de personnes n’étaient pas mortes à cause de ce comportement égocentré et je-m’en-foutiste.

Mais bien sûr, l’auteur ne s’arrête pas à ce « seul » constat : décrire un futur apocalyptique, cela ne suffit pas. Car si la majorité semble s’être résignée à cette fin du monde plus ou moins imminente, d’autres sont bien décidés à y survivre. Par tous les moyens possibles. Il y a ceux qui ne jurent que par la conquête spatiale et qui investissent dans des vaisseaux destinés à embarquer une partie de la population sur Mars ou ailleurs (ce qui nous ramène à Oustphere, d’une certaine manière), il y a ceux qui décident de fabriquer des immenses bunkers sous-marins dans lesquels une partie de la population sera préservée … et il y a ceux qui misent sur le sacro-saint numérique. Imaginez qu’il soit possible de « télécharger » toutes les données contenues dans votre esprit, votre personnalité, vos souvenirs (ce que nous retrouvons dans Backup d’une façon quelque peu différente), pour les insérer dans un programme de réalité virtuelle (un peu comme ceux de Virtual Revolution 2046) jusqu’au jour où la planète sera à nouveau habitable par des clones dans lesquels on retransférera les données. Il « suffit » d’installer les serveurs dans un lieu parfaitement sécurisé, avec un apport suffisant en électricité, et cette « vie numérique » peut durer littéralement des siècles ! Mais hors de question de « sauvegarder » n’importe qui : ces esprits vont être « confinés » ensemble pendant tellement longtemps qu’il faut s’assurer à la fois de leur « utilité » pour la reconstruction de l’humanité et de leur équilibre psychologique pour être certain que la « cohabitation virtuelle » se passera bien …

Et voilà que Casey, composition de génie, est sélectionné pour rejoindre le programme. Jusque-là, tout va bien, même si, tout comme lui, nous nous interrogeons sur la moralité de cette sélection : quel homme peut décider de qui « mérite » d’être sauvé et de qui doit mourir ? Une vie vaut-elle plus qu’une autre ? Visiblement, il suffit d’être un intellectuel pour être jugé « digne » d’être préservé de la mort, alors que le petit agriculteur du coin, qui s’échine pourtant à nourrir une humanité fort peu reconnaissante, est considéré comme un « moins que rien » qui ne mérite pas sa place dans ce paradis virtuel, dans cette « future » humanité … C’est d’autant plus terrible qu’on sait parfaitement que, si cela arrivait, c’est exactement comme ça que cela se passerait. Il y a un réalisme incroyable dans ce récit d’anticipation, et ça fait vraiment froid dans le dos. Et à côté de cela, il y a la lumière. Il y a l’amour qui nait entre Casey et Eve : je ne suis pas une grande romantique, mais il y a quelque chose de tellement tragique dans cette histoire d’amour sur fond de fin du monde que j’en ai eu la chair de poule ! Et tandis qu’ils se lancent dans une véritable course contre la montre pour qu’Eve puisse elle aussi intégrer ce programme, nous n’avons qu’une envie : les aider. On tremble vraiment pour eux, et on dévore chaque chapitre avec une inquiétude grandissante, avec le cœur qui s’emballe un peu plus à chaque fois, tandis que la fin approche beaucoup trop rapidement …

En bref, je pense qu’il est inutile de continuer, vous l’aurez bien compris : une fois encore, Guy-Roger Duvert a réussi à me captiver du début à la fin avec ce page-turner où se côtoient allégrement actions, émotions et réflexions ! Comme toujours, le décor est rapidement posé, les personnages sont rapidement présentés et les enjeux rapidement exposés : il sait vraiment aller à l’essentiel pour nous plonger le plus vite possible dans l’histoire, sans s’embarrasser d’une contextualisation à rallonge. Et comme toujours, je n’ai absolument rien à reprocher : la plume est toujours aussi incroyablement cinématographique, le rythme est toujours admirablement bien géré … Et comme toujours, derrière cette histoire admirablement palpitante et émouvante, se cachent de nombreuses pistes de réflexion pour le lecteur : l’humanité est loin d’être présentée sous ses meilleures facettes, mais force est de constater que dans notre présent, ce sont déjà ces facettes qui prédominent. Il n’y a qu’à songer au nombre d’étudiants qui considèrent qu’on devrait laisser les vieux mourir du Covid pour laisser les jeunes s’amuser sans aucune contrainte pour se rendre compte que l’égoïsme est bel et bien ancré dans nos mentalités contemporaines … Alors, prêts à embarquer pour la fin du monde avec ce one-shot dynamique et saisissant ?

http://lesmotsetaientlivres.blogspot.com/2021/02/eschaton-guy-roger-duvert.html

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Commentaire ajouté par Alloverthebooks 2021-03-25T13:05:18+01:00
Or

Encore une fois, je suis loin d’être déçue. J’ai été happée par l’histoire dès le commencement. Donc autant vous dire que l’intrigue était tellement bien ficelée, que j’ai eu des difficultés à m’en détacher. Je peux même vous dire que j’ai lu le roman d’une traite.

Le roman traite d’un sujet selon moi très intéressant, c’est peut-être pourquoi je l’ai lu aussi rapidement. J’ai aimé la manière dont l’auteur pouvait mettre son petit grain de sable dans toute cette histoire. Mais j’ai aussi apprécié la recherche qui a été faite, dans la manière dont c’est écrit, on peut sentir que l’auteur s’est impliqué réellement dans ce roman. Il n’a pas juste écrit une histoire, mais il s’est impliqué. Ce qui pour moi rajoute une certaine fluidité supplémentaire outre sa plume. L’intrigue en elle-même est assez actuelle, on peut le deviner assez facilement grâce au résumé. En plus de cela, on trouve des éléments imaginés qui donnent au roman un aspect dystopique. Le tout est très prenant comme j’ai pu le laisser sous-entendre un peu plus haut dans mon avis. J’avais déjà une sensibilité liée au sujet qui a été exacerbé grâce au roman.

Ensuite, les personnages sont intrigants au premier abord, mais très vite je me suis attachée à eux. Ce qui signifie pour moi que l’auteur a réussi à me captiver, à me transmettre les émotions de ses personnages.

Et enfin, je n’ai absolument pas été déçuz par la fin de ce roman. La touche toute en finesse m’a donné des frissons. On se retrouve à cet endroit après moult rebondissements, et c’était la seule fin qui pouvait être la plus appropriée au contexte.

Je félicite donc l’auteur pour le travail et l’imagination qui a été fournie pour l’écriture de ce roman. Je vous recommande chaudement ce roman qui, mine de rien, fait réfléchir.

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Commentaire ajouté par laurabettini 2021-03-23T09:52:07+01:00

Lorsque j'ai ouvert ce roman, je suis tombée tête la première dans un monde incertain, privé de ses ressources premières, détruit de l'intérieur par l'humanité, voué à la fin du monde. L'ambiance et la consternation en sont glaçantes mais pourtant, c'est avec presque optimisme et une pointe de résignation (pas qu'une pointe) que les Hommes continuent de travailler, marcher et tout simplement : vivre.

J'avais très peur au début de ce roman : et oui, le livre est très court et les personnages ont mis un peu de temps à ce que je m'y attache.

Pourtant, l'histoire est sans conteste très prenante et aussi déplaisant et tortueux que le chemin de nos protagonistes peut être, on se prend à courir à leurs côtés pour trouver le saint graal avant la fin du monde.

J'ai aussi adoré avoir la vision de l'autre monde (je ne spoile pas), c'est très plaisant même si le récit trop court aurait dû être beaucoup plus développé car cette partie très intéressante avec ses codes propres et ses limites, mérite largement qu'on y entre plus en profondeur et qu'on en découvre l'ampleur aussi dépaysante que malsaine.

Ce roman fonctionne parfaitement, la plume est légère et juste, parfaitement équilibrée. Le roman se lit d'une traite (en une journée pour moi) et franchement, on ne peut pas s'ennuyer une seconde ! Les révélations sont très bien amenées et les secrets sont percutants !

Je recommande donc ce roman malgré le besoin que j'ai ressenti d'avoir un univers plus développé et une pointe de déception pour la longueur du récit...

Cela n'entache en rien la création et les idées, c'était très plaisant. J'en veux plus !!

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Commentaire ajouté par LadiesColocBlog 2021-03-23T09:21:08+01:00
Or

La fin du monde arrive. Comment y faire face ? Comment y survivre ? Nous découvrons un roman d’anticipation. Casey, un compositeur est au courant. Il fait parti d’un programme secret, une sauvegarde virtuelle des personnes les plus importantes qui pourront ainsi survivre à cette fin du monde. Seulement quand Casey va rencontrer Eve, tous les deux vont tout faire pour trouver les responsables de ce programme pour qu’Eve puisse l’intégrer.

Ça m’a plu de suivre les personnages. J’ai apprécié les découvrir et je me suis attachée à Casey et Eve. Ils sont tous les deux des personnages intéressants et sympathiques. Ils sont bien construits. Ils vont affronter ce monde. Casey et Eve nous transmettent des émotions, de l’amour et de l’espoir.

C’est une lecture qui mélange univers post-apocalyptique, réalisme et romance. Nous faisons face à un monde où les technologies sont présentes, les problèmes climatiques et écologiques.

Ce roman m’a fait réfléchir et m’a permis de me poser de nombreuses questions. Il est vrai qu’il y a ceux qui cherchent à survivre et les autres qui continuent leur vie. Pourquoi tel individu aurait plus le droit de survivre qu’une autre ? On a une sélection qui est fait et qui nous fait réfléchir. Tout comme se pose la réflexion sur les aspects écologiques, technologiques et sur la musique qui est aussi présente dans la vie de Casey. J’ai vraiment aimé tout ceci, un mélange de plusieurs thèmes qui s’équilibrent. C’était intéressant, prenant et captivant.

J’ai apprécié la plume de l’auteur, c’était fluide, simple, dynamique et transportant. L’univers que l’auteur nous offre est intriguant, paraît certaines fois si réaliste que ça peut être effrayant. Mais le tout est travaillé, bien construit et nous somme pris dans la lecture. L’auteur pose des réflexions intéressantes et les thèmes abordés le sont aussi. L’intrigue est vraiment très plaisante à suivre et ça m’a donné envie de découvrir les autres livres de l’auteur. Il me suffisait de fermer les yeux pour visualiser le récit. En dernier, j’aimerai ajouter que j’aime beaucoup la couverture !

Un roman d’anticipation qui m’a captivé et qui m’a fait passé un bon moment de lecture.

Je tiens à remercier l’auteur pour l’envoi de ce service presse, pour sa confiance et pour m’avoir permis de découvrir son roman !

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Commentaire ajouté par benerogue 2021-03-18T12:55:17+01:00
Lu aussi

Merci à Guy Roger Duvert de m’avoir à nouveau fait confiance en m’envoyant son dernier livre. Après Outsphere, Backup et Virtual Révolution (mon préféré), nous avons à présent Eschaton !

Casey est un compositeur solitaire ; après la mort de ses parents, il s’est renfermé sur lui-même. Au cours d’une interview, il fait la connaissance d’Eve, journaliste, et ils tombent amoureux. Seulement, la fin du monde approche, ce dont Casey est déjà au courant. Il fait d’ailleurs parti d’un programme secret visant à sauver l’Humanité, au travers du Framework, un logiciel ou sont sauvegardé les personnes les « plus importantes », un monde virtuel. Une course contre la montre s’engage pour le jeune couple pour tenter de retrouver les fondateurs du programme, et y intégrer Eve.

On a donc un mélange des genres : science-fiction, thriller et romance ! Les trois thèmes s’équilibrent bien, aucun ne prend le pas sur les autres. Il s’agit d’un roman plus court que ce à quoi nous a habitué l’auteur (même un peu trop, j’ai trouvé des fois que c’était trop rapide), sur la fin du monde, et comment la technologie peut aider à sauver l’Humanité. C’est un roman d’anticipation, mais avec des faits plutôt réaliste. Il y a un fort message écologique derrière, avec la détérioration du climat. Mais on peut également voir une réflexion sur la technologie avancée, ou même sur l’élitisme (qui a le droit de survivre ou pas ?). Le roman prend place dans des Etats-Unis post-apocalyptique, avec des villes englouties, des exodes de populations, des guerres … La fin du monde arrive, et tout le monde l’a compris à présent. Et si la plupart des personnes se sont résignés en ignorant la date fatidique, certaines essaient de trouver des moyens de survivre. C’était d’ailleurs intéressant de voir les autres techniques, autre que Framework : la base sous-marine, le voyage dans l’espace …

Le style est toujours aussi fluide, visuel (on ressent vraiment le côté réalisateur de film de l’auteur). C’est un page-turner, renforcé par des chapitres courts. Il y a moins d’actions dans ce roman, et plus de réflexion. Je fais toujours confiance à cet auteur pour nous sortir des romans de qualité, à la fois au niveau de l’intrigue, que de l’écriture. Sans être adepte de science-fiction, ses romans m’entrainent à chaque fois.

Ce que j’aime dans les romans de Duvert c’est qu’ils paraissent tous liés les uns aux autres. Ainsi, dans Eschaton nous retrouvons des éléments déjà vu dans Backup (la sauvegarde des personnes) ou Virtual Révolution (les mondes virtuels). Le roman m’a d’ailleurs fait penser à une série Amazon que j’ai vu il y a quelque temps, Upload, que j’avais beaucoup aimé. Dedans, à leurs morts, les humais peuvent être téléchargé (uploadé) dans des mondes virtuels et continuer à y vivre. J’ai relevé des points communs entre les deux pour mon plus grand plaisir.

En conclusion, j’ai beaucoup aimé ce roman, l’intrigue et les réflexions sous-jacentes.

https://lecariboulitteraire.wordpress.com/2021/03/18/guy-roger-duvert-eschaton/

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