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Une fois à l’intérieur, il retira ses vêtements, les plia soigneusement et alla sous la douche. Avec son corps mince et glabre, il avait quelque chose d’un jeune garçon. Il se savonna de gel antiseptique, se rinça, puis coupa l’eau, avant de remplir sa paume de mousse à raser qu’il s’étala sur le crâne.

Comme il l’avait déjà fait de nombreuses fois, il passa lentement le rasoir sur sa peau, puis continua sur les sourcils, le menton et le cou. Pas un poil n’échappait à la lame. Tout devait être rasé. La poitrine, les bras, les jambes, et même les mains et les pieds.

Après s’être séché, il s’enduisit soigneusement le corps d’un baume après-rasage, enfila une nouvelle paire de gants en plastique, se chaussa et passa un peignoir sur ses épaules, avant de quitter le camping-car et de s’orienter tranquillement vers la maison aux allures de manoir avec un vieux sac de voyage

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– Hein ? Comment ça, il y a deux mois ? Il n’était pas au volant de la voiture ?

– Si, bien sûr que si, mais il était déjà tout congelé quand le véhicule a plongé dans l’eau.

– Congelé…, répéta Fabian comme un perroquet. Qu’est-ce que ça veut dire ?

– Qu’il était aussi froid et dur que des côtelettes d’agneau dans mon congélo.

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Extrait ajouté par Dadoli 2021-04-07T18:39:53+02:00

Il lui proposa de descendre boire un verre dans son bar privé, se vantant de savoir préparer de succulents mojitos. Le visage de la jeune femme s’illumina et elle le suivit dans l’escalier. Dans le couloir aux lambris blancs, il la fit passer devant, lui indiquant de longer le spa et de tourner tout au fond, à gauche de la vitrine.Elle obéit. Mais une fois dans la pièce aveugle, elle se retourna vers lui, l’air déconcerté comme toutes les autres avant elle. Où était donc le bar qu’il lui avait promis ? Elle se trouvait devant un grand lit entouré de quatre solides anneaux en métal dotés de sangles fixées à des câbles, tendus le long des murs et du sol grâce à des poulies. Le tout peint en blanc pour se fondre dans le décor.Le coup fut un peu plus violent qu’il ne le pensait. Il ne voulait pas amocher son joli visage, en tout cas pas pour l’instant. Elle tomba à la renverse sur le lit : tandis qu’il lui attachait le premier câble au poignet, il vit du coin de l’œil qu’elle saignait du nez. Bien trop étourdie pour résister, elle se retrouva en quelques secondes pieds et poings liés. Il put tranquillement la mettre en position à l’aide du treuil.

Il s’attendait à ce que, comme toutes les autres, elle s’épuise en tentant de se libérer. Mais elle le fixait sans bouger, étendue là, bras tendus et jambes écartées. À croire qu’elle le priait d’y aller. Pourquoi risquer de la décevoir ?

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Astrid Tuvesson, chef de la police, regrettait d’être sortie à la hâte de chez elle, et d’avoir déjà verrouillé la porte. Dehors, la lumière était beaucoup plus forte que ce qu’elle avait cru derrière les stores qui filtraient le puissant soleil de printemps. Si elle ne trouvait pas vite ses lunettes noires, la migraine ferait voler son crâne en mille morceaux. Elle voyait d’ici Ingvar Molander et ses hommes boucler le périmètre pour ramasser ses restes. Là. Enfin elle attrapa ses lunettes rayées et barbouillées de traces de doigts.

Merde. Elle avait envie d’aller aux toilettes. Parfois, elle se fatiguait elle-même. C’était elle tout craché : ne pas penser à prendre ses précautions avant de claquer la porte et de jeter les clefs dans son sac, où elles étaient maintenant introuvables. Ce fichu sac à main était pire qu’un chapeau de magicien. Elle avait beau fouiller, le trousseau semblait s’être volatilisé. Elle s’accroupit derrière la haie.

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