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Extrait ajouté par LesReinesdelaNuit 2020-05-20T16:41:40+02:00

Avec toi, j’ai l’impression d’être un funambule sur une corde raide. Un faux pas, et tout s’écroule. Parfois, je me dis que je ne parviendrai jamais à franchir l’obstacle, et puis, comme à cet instant, j’entrevois ce qui m’attend de l’autre côté, après la traversée, et ce que je vois me plaît, Kate. Ça me plait beaucoup.

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Extrait ajouté par Milka2B 2021-07-31T23:03:03+02:00

– Simple curiosité : tu comptais faire quoi avec ta chaussure ? Parce qu’on aurait dit que tu allais…

– Vous défoncer la face à coups de talon ? C’était l’idée, oui.

Hulk, loin d’être téméraire, recule de quelques pas.

– Tu ne serais pas à moitié psychopathe sur les bords ? me questionne-t-il pendant que je me relève. Nan, parce qu’il y a comme une lueur étrange dans ton regard.

– Je fais une allergie aux abrutis. Ça me donne des envies de meurtre.

– Et moi aux pimbêches, mais je ne vais pas les noyer dans le lagon pour autant. La différence entre une personne saine d’esprit et une…

Je le coupe d’un doigt d’honneur.

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Extrait ajouté par LesReinesdelaNuit 2020-05-20T16:39:33+02:00

Je scrute le paysage et éclate d’un rire nerveux. J’ai l’impression d’être tombée dans un remake pitoyable de Lost.

Je suis en enfer.

– La réception est sur ta gauche.

J’incline la tête vers Hulk qui arbore un sourire trop éblouissant pour être honnête, puis me tords le cou dans la direction qu’il indique. Rien. Il n’y a rien, à part du vert, du vert et encore du vert. Un vert ridicule qui tranche radicalement avec le blanc étincelant du sable fin et de cette immensité d’eau transparente qui nous entoure.

– Entre les arbres, là, me montre Paco. Tu vois  ?

Je pince les lèvres, sans daigner lui répondre. D’un pas vif, je m’élance vers la jungle, bien décidée à trouver cette réception pour pouvoir repartir au plus vite. Je ne passerai pas la nuit ici.

Mes talons s’enfoncent dans le sable moelleux, ce qui rend ma démarche cahotante. Paco, qui me suit avec mes valises, rigole de bon cœur. D’un geste rageur, je retire mes escarpins, puis me retourne pour lui faire face. Aussitôt, il cesse de rire, pose les bagages à terre, avant de lever prudemment les mains en l’air.

– Oh  ! Oh  ! Doucement  ! Je sais que ton voyage a été long, que tu es fatiguée et tout, alors on va se détendre. Tu veux bien  ?

– Un mot… Dis encore un mot, et je redessine ton minois de telle sorte que même ta mère ne te reconnaîtra pas.

Ma voix vibre de rage. Les yeux exorbités, Paco mime le geste de museler sa bouche.

Cette mise au point effectuée, je reprends ma route et suis un petit chemin dallé. Je pousse un cri de douleur lorsque la pierre chauffée me brûle la plante des pieds. Je peste, sautille gauchement et tente d’accélérer le pas. Paco feint une toux pour masquer un gloussement inopportun. Si le sol n’était pas si chaud, je m’arrêterais pour ajuster mon tir  ; je n’ai pas ce luxe, tant pis. Ma chaussure vole dans les airs et, pendant une fraction de seconde, le temps semble suspendu. Hélas, le projectile finit sa course dans un parterre de fleurs qui borde l’allée sans atteindre sa cible.

Je m’apprête à lancer ma dernière munition, lorsque j’aperçois enfin le bâtiment principal.

– C’est ce machin  ?

– Ça dépend… Tu vas me jeter l’autre chaussure à la figure  ?

Ce n’est pas l’envie qui me manque.

– Mais c’est quoi cet endroit  ?

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Extrait ajouté par Milka2B 2021-07-31T23:06:34+02:00

« Essayer d’avoir le dernier mot avec un ado, c’est aussi vain que d’essayer de masturber un eunuque. » La formulation n’est pas très élégante, mais elle a le mérite d’être vraie.

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Extrait ajouté par Milka2B 2021-07-31T23:05:02+02:00

Et tes « m’dame » me tapent sur le système. Soit tu prononces correctement le mot « madame » soit tu m’appelles Katheleen. Le mieux, c’est de ne pas m’appeler du tout. Et de dégager.

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Extrait ajouté par Milka2B 2021-07-31T23:04:11+02:00

– Non, mais c’est pas possible ! T’es encore pieds nus ?

– Quel œil de Lynx, Katheleen. Rien ne t’échappe. J’aime bien marcher pieds nus, est-ce un crime ?

Il me lance un clin d’œil – de son œil bionique – et boit d’une seule traite la moitié de sa bière.

Je suis atterrée par tant d’ignorance.

– Évidemment ! Tu nous infliges le spectacle de tes orteils alignés comme des saucisses. On dirait des Knacki Balls trop cuites !

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Extrait ajouté par LesReinesdelaNuit 2020-05-20T16:41:01+02:00

– Tu me gerbes dessus, et c’est à moi de m’excuser  ?

– Parfaitement. C’est à cause de ton pari débile. Tu veux que je me lâche, non  ?

– On s’est mal compris, je crois. Parce que ce n’est pas du tout comme ça que je l’entendais.

– Rho, je sais bien  ! Je suis venue pour coucher avec toi. En te voyant danser tout à l’heure, je me suis dit que ce serait un bon début pour s’amuser, tu vois. Le sexe, c’est amusant, non  ? Donc, me voici.

Je me racle la gorge devant son silence.

– Je me mets où  ? Sur le lit  ?

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Extrait ajouté par LesReinesdelaNuit 2020-05-20T16:37:50+02:00

Pendant l’heure qui suit, nous nageons côte à côte en alternant le tuba et l’apnée. Il n’y a qu’à se pencher et mettre la tête sous l’eau pour découvrir la faune incroyable du lagon.

Une raie manta, immense et majestueuse, me frôle le bras. Je sursaute si fort que j’avale par mégarde une gorgée d’eau de mer. Je remonte à la surface en toussant et en riant en même temps.

Anton me rejoint aussitôt et nous dirige près du bateau. Il se tient aux barreaux de l’échelle du voilier d’une main et me soutient de l’autre, car avec mon hilarité j’ai bien du mal à garder la tête hors de l’eau.

– Alors, c’était comment ?

Un sourire craquant aux lèvres, il attend ma réponse. Incapable de mettre des mots assez forts sur ce que je ressens, ma bouche s’écrase sur la sienne. Parce que ce moment est magique.

Et que j’en ai envie, tout simplement. Je ne réfléchis pas, laisse la passion me guider, pour une fois. Anton se raidit, sans pour autant me repousser. Ses lèvres sont aussi douces que je l’imaginais.

Ma langue se faufile entre la barrière de ses dents pour approfondir notre échange. Anton grogne et resserre son étreinte autour de moi. Nos jambes s’enlacent sous l’eau, nos bassins se collent.

Un désir impérieux me fait frissonner même si l’eau est à plus de vingt-cinq degrés. Je gémis quand sa main caresse le bas de mes reins. J’en veux plus. Tellement plus.

Perdue dans une brume de désir, la réalité me rattrape, aussi brutale qu’un uppercut, lorsqu’il s’écarte d’un mouvement brusque.

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Extrait ajouté par EloLML 2020-05-17T10:27:33+02:00

La souffrance n’est palpable que pour celui qui la ressent, enfouie si profond qu’elle demeure imperceptible pour le reste du monde. La douleur, la mienne du moins, est solitaire. Elle ne se partage pas, ne se montre pas aux autres. C’est ma croix, je dois la porter seule. La subir seule.

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Extrait ajouté par EloLML 2020-05-17T10:26:41+02:00

Tu me rends fou, gronde-t-il, le front collé au mien, en essayant de reprendre son souffle.

Je le déleste de son caleçon, seul obstacle qui fait encore barrière entre nos deux corps.

– Tant mieux.

– J’ai envie de te goûter, de m’enivrer de l’odeur de ta peau, susurre-t-il d’une voix suave en amorçant une descente vers mon entrejambe.

Je le retiens, une main dans sa tignasse.

– Pas le temps pour les préliminaires  ! Je te veux en moi, tout de suite  ! »

Mon ordre claque. Un sourire carnassier étire pourtant les lèvres de mon alien.

Les yeux plantés dans les miens, il baisse la tête en direction de sa cible.

– Tu es sûre  ? me questionne-t-il après avoir plongé en moi sa langue… douce, chaude, humide. Quel dommage.

Il s’essuie la bouche du revers de la main, puis ouvre le tiroir de la table de nuit.

Je me fustige intérieurement. Je me mettrais des claques  ! Qu’est-ce qui ne tourne pas rond chez moi  ? Depuis quand on refuse un cunni  ? Jamais  !

Je soupire. Anton glousse devant ma mine dépitée.

– Moi aussi j’ai un goût de trop peu sur les lèvres, s’amuse-t-il. Mais, c’est toi la cheffe.

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