Ajouter un extrait
Liste des extraits
Siffle, siffle, petit serpent,
Glisse, glisse silencieus'ment
Et avec Morfin sois très doux
Sinon à la port il te cloue.
Afficher en entierCher Harry,
Je voudrais que nous commencions nos leçons particulières samedi prochain. Aie la gentillesse de venir à mon bureau à huit heures du soir. J'espère que tu es content de ton premier jour d'école.
Bien à toi.
Albus Dumbledore
P.S. : J'aime beaucoup les Suçacides.
Afficher en entier- C'est bien ce que je pensais, jubila-t-il. J'ai entendu la valise de Goyle te cogner. Et j'ai cru voir passer un éclair blanc après le retour de Zabini...
Ses yeux s'attardèrent un instant sur les baskets de Harry.
- Je suppose que c'était toi qui bloquais la porte quand Zabini est revenu ?
Il observa Harry un moment.
- Tu n'as rien pu entendre d'important, Potter. Mais puisque tu es là...
Il lui donna un violent coup de pied en plein visage.
Harry sentit son nez se casser, du sang gicla un peu partout.
- De la part de mon père. Et maintenant...
Malefoy dégagea la cape coincée sous le corps immobile de Harry et la jeta sur lui.
Afficher en entier- [...] mais la petite Weasley ! Qu'est-ce qu'elle a de si spécial, celle-là ?
- Il y a pleins de garçons qui l'aiment bien, assura Pansy en jetant à Malefoy un regard en biais pour voir sa réaction. Même toi, Blaise, tu dis qu'elle est jolie et tout le monde sait à quel point il est difficile de te plaire !
- Je ne toucherai jamais à une fille qui a ignoblement trahi son sang, même si elle est joli, affirma Zabini avec froideur, et Pansy Parut satisfaite.
Afficher en entier- Narcissa, je crois que nous devrions écouter ce que Bellatrix brûle de nous dire ; cela nous évitera des interruptions fastidieuses. Vas-y Bellatrix, continue, l'encouragea Rogue. Pourquoi n'as-tu pas confiance en moi ?
- Pour une bonne centaine de raisons ! répondit-elle d'une voix forte, contournant le canapé à grand pas pour poser brutalement son verre sur la table. Je ne sais pas par où commencer ! Où était-tu lors de la chute du Seigneur des Ténèbres ? Pourquoi n'as-tu jamais tenté de le retrouver quand il a disparu ? Qu'as-tu fais pendant toutes ces années où tu as vécu dans le giron de Dumbledore ? Pourquoi as-tu empêché le Seigneur des Ténèbres de se procurer la pierre philosophale ? Pourquoi n'es-tu pas retourné aussitôt auprès de lui lorsqu'il est revenu à la vie ? Où étais-tu, il y a quelques semaines, quand nous nous sommes battus pour essayer de récupérer la prophétie que voulait le Seigneur des Ténèbres ? Et pourquoi, Rogue, Harry Potter est-il toujours vivant, alors que tu l'as eu à ta merci pendant cinq ans ?
Elle s'interrompit, sa poitrine se soulevant à un rythme accélérée, le rouge lui montant aux joues. Derrière elle, Narcissa était restée assise, immobile, le visage toujours caché dans ses mains.
Rogue sourit.
- Avant de te répondre - car je vais te répondre, Bellatrix ! Tu pourras répéter mes paroles aux autres, à tous ceux qui chuchotent derrière mon dos et colportent des histoires fausses sur ma trahison du Seigneur des Ténèbres ! Avant de te répondre, dis-je, permets-moi à mon tour de te demander quelque chose. Crois-tu donc vraiment que le Seigneur des Ténèbres ne m'a pas déjà posé chacune de ces questions ? Et crois-tu vraiment que si je n'avais pas été capable de lui donner des réponses satisfaisantes, je serais assis là, à parler avec toi ?
Elle hésita.
- Je sais qu'il te croit, mais...
- Tu penses qu'il se trompe ? Que j'aurais réussi à le berner ? A duper le Seigneur des Ténèbres, le plus grand sorcier, le legilimens le plus accompli que le monde ait jamais connu ?
Afficher en entier- [...] Black est un tueur de Moldus bien connu et il a peut-être l'intention de rejoindre Vous-Savez-Qui... mais bien sûr, vous ne savez même pas qui est Vous-Savez-Qui !
Afficher en entier<< Levant sa baguette illuminée, Dumbledore pénétra dans la salon, suivi par Harry.
Un spectacle de totale dévastation apparut alors à leurs yeux. Une pendule de grand-mère était fracassée à leurs pieds, son cadran brisé, son balancier tombé un peu plus loin, telle une épée abandonnée. Un piano avait été renversé, ses touches répandues sur le sol. Les débris d'un lustre arraché du plafond luisaient à côté. Des coussins éventrés laissaient échapper leurs plumes à travers leurs enveloppes tailladées ; des morceaux de verre et de porcelaine recouvraient tout comme une poudre. Dumbledore leva sa baguette encore plus haut pour éclairer les murs. Une substance gluante d'un rouge foncé avait éclaboussé le papier peint. Harry eut un haut-le-corps et Dumbledore se tourna vers lui.
- Pas très joli à voir n'est-ce pas ? dit-il d'une voix accablée. Oui, il s'est passé ici des choses atroces. >>
Afficher en entierNarcissa ôta son capuchon. Elle était si pâle qu’elle semblait briller dans l’obscurité ; sa chevelure blonde qui ruisselait dans son dos lui donnait l’air d’une noyée. — Narcissa ! dit l’homme. Il ouvrit la porte un peu plus largement, la lumière qui venait de l’intérieur éclairant les deux sœurs. — Quelle bonne surprise ! — Severus, dit Narcissa dans un murmure, la voix tendue. Puis-je te parler ? C’est urgent. — Mais bien sûr. Il s’écarta pour la laisser entrer. Sa sœur qui avait gardé son capuchon sur la tête la suivit sans y avoir été invitée. — Rogue, bonsoir, dit-elle d’un ton cassant en passant devant lui
Afficher en entierElle tira une baguette magique de sous sa cape et la pointa d’un air menaçant sur le visage de l’autre femme. Bella se contenta d’éclater de rire. — Cissy, ta propre sœur ? Tu n’oserais quand même pas… — Il n’y a plus rien que je n’oserais pas ! répliqua Narcissa dans un souffle, une pointe d’hystérie dans la voix. Elle abaissa la baguette magique à la manière d’un couteau et un nouvel éclair jaillit. Bella lâcha aussitôt le bras de sa sœur comme si quelque chose l’avait brûlée
Afficher en entierBella s’élança à sa poursuite, sa cape voltigeant derrière elle, et vit Narcissa s’engouffrer entre deux maisons, dans une allée qui menait à une autre rue presque identique. Plusieurs réverbères étaient cassés et les deux femmes couraient entre des taches de lumière et des ombres noires. La poursuivante rattrapa sa proie au moment où celle-ci tournait à l’angle d’une autre rue, et elle parvint cette fois à lui agripper le bras pour l’obliger à la regarder en face
Afficher en entier