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— Je ne vous ai jamais perçu comme étant dangereux.

— Vampire.

Il la regarda d'un air désabusé et but quelques gorgées de plus.

Elle haussa les épaules.

— Je ne crois pas que vous me feriez du mal, car même dans la penderie avec votre faim et votre désir, vous ne m'avez pas mordu et n'avez pas exigé d'avoir du sexe.

Il s'étouffa avec sa dernière gorgée de sang. Il jeta un coup d'oeil vers le canapé où il pouvait entendre quelques éclats de rire bébêtes étouffés.

Merde. Avait-il commis une grande erreur en demandant à Vanda de venir avec quelques femmes pour qu'elles puissent offrir certains conseils de nature féminine à Marielle ?

Il déposa sa bouteille dans l'évier.

— De quoi avez-vous parlé avec les femmes ?

— De plusieurs choses, répondit-elle. De la règle de trois, de caresses sexuelles buccales...

— Seigneur Dieu tout-puissant.

Il appuya une main contre son front.

— Elles étaient censées vous montrer comment laver vos cheveux. Pas vous donner des instructions à propos des caresses sexuelles buccales !

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Elle sursauta en voyant ses yeux. Ils étaient luisants et d'un rouge très vif.

Elle bondit vers l'arrière et vint se frapper le dos contre le mur.

— Tout doux.

Il l'agrippa par les épaules, mais elle s'éloigna de lui.

Elle se souvint maintenant que ses yeux étaient devenus rouges plus tôt. Elle n'en avait pas tenu compte, auparavant, car elle savait qu'il n'était pas un démon. Elle l'aurait senti immédiatement. Plus tôt sur le canapé, elle avait eu un aperçu dans son âme, et c'était humain.

Cela n'avait aucun sens. Elle avait été si certaine qu'il était humain.

— Je ne comprends pas.

Il souleva une main pour la rassurer.

— Ça va aller. Vous savez que je ne vous ferai jamais de mal.

Son esprit fonctionnait à toute allure, passant en revue toutes les possibilités. Venait-il d'une autre planète? Non, il était Écossais. Une personne capable de changer de forme ? Elle ne le pensait pas. Comment Darafer l'avait-il traité ? De parasite ?

Elle haleta, et tout devint clair. Et terrifiant, car il était le même genre de créature qui avait tué tous ces gens au camping.

— Vous êtes un tricheur !

Il cligna des yeux.

- Un quoi ?

— Un tricheur.

Elle eut un serrement de cœur.

— C'est ainsi que Zack les appelle parce qu'ils ont trompé la mort. Il vous...

Déteste. Elle ne pouvait pas se résoudre à lui dire.

Ses yeux se remplirent de larmes.

— Vous êtes un vampire.

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- Je croyais que j'allais me retrouver en enfer ce soir.

- C'est là où tu es, plaisante Buniel. Ca s'appelle le mariage.

Marielle donna une tape sur l'épaule de Buniel.

- Comment oses-tu ! Le mariage est un saint sacrement.

Connor la regarda d'un air stupéfait.

- Je croyais que j'irais en enfer, mais je suis au paradis.

Marielle le serra contre elle.

- Nous sommes mariés, Connor !

Il sourit.

- Oui nous le sommes.

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—Robby me regarde d'un air soupçonneux, et Gregori...

— C'est un porc.

Elle sourit.

— Il n'a pas de mauvaises intentions. Il est simplement... espiègle.

— Un porc espiègle.

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— J'ai une étrange sensation pressante comme si j'allais peut- être. .. avoir une fuite.

Il cligna des yeux. Bon Dieu, était-elle vraiment si naïve ?

— Devez-vous aller à la salle de bain?

Elle secoua la tête.

— Je ne pense pas avoir besoin de prendre un bain.

— Je voulais parler des toilettes.

Elle continua de le regarder avec des yeux absents, et il désigna alors la toilette du doigt.

— Venez, je vais vous montrer.

Elle le suivit dans la petite pièce et jeta un coup d'œil curieux autour d'elle.

Il n'arrivait pas à croire qu'il devait faire ça.

— Vous observez les humains depuis des siècles. Vous n'en avez jamais vu un... uriner ?

« Ou faire l'amour ? »

Elle secoua la tête.

— Nous ne nous arrêtons jamais aux fonctions physiques. En tant qu'êtres spirituels, ce n'est pas quelque chose avec quoi nous pouvons établir un rapport.

— Eh bien.

Il sentit ses joues devenir chaudes.

— Vous devez vous asseoir là.

Il désigna la toilette du doigt.

— Et... vous vous laissez aller.

Elle hocha la tête.

— Intéressant.

— Puis, vous vous essuyez et vous tirez la chasse d'eau.

Il pointa le papier de toilette et le levier de la chasse d'eau du doigt.

— Ceci ?

Elle toucha légèrement le levier, et la chasse d'eau s'activa. Elle bondit vers l'arrière et éclata de rire.

— Regardez-moi ça ! Les humains sont si intelligents.

Il cligna des yeux. Il aurait pu jurer qu'elle n'avait pas touché le levier. Il fit ensuite un geste vers le lavabo.

— Puis, vous vous lavez les mains.

Elle toucha le robinet, et de l'eau en jaillit.

— Génial!

Elle sourit, puis agita ses doigts sous l'eau.

Elle n'avait pas tourné le robinet. Connor sortit de la pièce en reculant, totalement stupéfié.

— Je vais donc vous laisser seule.

Il ferma la porte et put l'entendre fredonner tout bas à l'intérieur, heureuse de pouvoir s'amuser avec ses nouveaux jouets. La chasse d'eau s'activa de nouveau.

Seigneur Dieu tout-puissant ! Que se passerait-il, si elle touchait accidentellement une arme à feu ou une arbalète? Angus pourrait bien décider qu'elle constituait une menace, après tout.

Il s'empara d'une autre bouteille de sang du réfrigérateur et la fit réchauffer dans le four à micro-ondes. Il avait besoin d'entretenir son énergie avec Marielle dans les environs. Il ne savait jamais à quoi il devait s'attendre, pour la suite des choses. Comment un ange de la mort parvenait-il à faire fonctionner les choses ainsi ? Y avait-il quelque chose de magique à propos de son toucher ? Il avait certainement aimé cela chaque fois qu'elle l'avait touché.

Il entendit la chasse d'eau une fois de plus et de l'eau qui coulait dans le lavabo. Il sortit sa bouteille du four à micro-ondes. Il devait s'en tenir à sa décision coûte que coûte. Pas question de l'embrasser ou de la serrer dans ses bras. Il ne penserait même pas au sexe. Ou à quel point ses seins dodus avaient merveilleusement bien rempli ses mains.

Il jeta un regard piteux à sa bouteille de sang synthétique. C'est de Swhisky dont il avait vraiment besoin. Une dose de whisky supplémentaire pourrait engourdir son désir.

La porte de la salle de bain s'ouvrit dans un grincement, et il demeura près de l'évier en faisant exprès de ne pas la regarder.

— Je crois que j'ai fait ça correctement, annonça-t-elle fièrement.

— C'est bien.

Il but quelques gorgées de sang.

« Ne pense pas à faire l'amour. »

— Et j'ai découvert quelque chose d'étonnant. J'ai tout ce qu'il faut en matière de parties privées féminines.

Il dégobilla du sang dans l'évier.

— Connor!

Elle courut près de lui et plaça une main dans son dos.

— Ça va ?

Que Dieu lui vienne en aide ! Cette femme allait le conduire au désespoir. Il s'essuya la bouche avec le revers de la main.

— Jeune femme, vous ne pouvez pas dire tout ce qui vous passe par la tête. Il y a des choses dont on ne parle pas.

— Quel genre de choses ?

— Des choses personnelles.

« Comme d'avoir tout ce qu'il faut en matière de parties privées féminines. »

Comment pourrait-il seulement faire en sorte de ne pas y penser?

— J'ai l'habitude de partager toutes mes pensées avec l'armée céleste, et eux faisaient de même avec moi.

— Eh bien, les humains ne partagent pas tout. Nous aimons que certaines choses demeurent... privées.

« Parties privées féminines. N'y pense pas ! »

Elle fronça les sourcils.

— Comme les sombres secrets que vous dissimulez dans votre cœur?

Ses lèvres se serrèrent.

— Ça, et d'autres choses.

Elle secoua la tête.

— Je ne suis pas certaine que le fait de garder des choses secrètes soit une façon saine de vivre.

— C'est comme ça que nous sommes. Mes amis seront bientôt ici.

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— Ian, va à La Nouvelle-Orléans pour avertir la bande de vampires de l'endroit, continua Angus. Tu iras ensuite à la demeure de Jean-Luc, au Texas, pour le mettre au courant. L'école est-elle bien défendue ?

— Oui. Phil est là avec ses protégés loup-garou.

Ian se téléporta au loin.

— Phineas, je veux que toi et Robby alliez jeter un coup d'œil à St-Louis, Leavenworth, et dans ces fermes au Nebraska, ordonna Angus. Je retournerai à Romatech dès que je mettrai la main sur le DVD de Corky. Appelez-moi ensuite à cet endroit pour faire votre rapport.

— D'accord.

Phineas se téléporta au loin.

— Il nous reste donc le terrain de camping près du mont Rushmore, dit doucement Connor.

Cet endroit maudit où Casimir et ses disciples avaient tué des mortels innocents à deux reprises dans le passé. Le même endroit où Robby MacKay avait été détenu et torturé. Si Connor devait parier sur un site, il parierait que c'était là l'emplacement préféré de Casimir en Amérique.

Angus soupira.

— Je ne veux pas que Robby retourne là.

— Je comprends.

Connor savait ce que c'était que de porter un fardeau de mauvais souvenirs.

— Je vais partir tout de suite.

Angus tendit la main pour l'arrêter.

— Tu ne devrais pas y aller seul. Fais un arrêt à Romatech, puis vas-y avec une personne capable de changer de forme. Carlos ou Howard.

— Ça ira.

— Ce n'était pas une suggestion, Connor. C'était un or...

Il se téléporta au loin avant que Angus puisse compléter sa phrase.

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- Bonjour.

Elle lui sourit.

-Ou plutôt bonsoir. C'est déroutant. Ah!

Elle haleta, lorsqu'il l'agripper et la poussa sur le plancher.

- Connor, qu'est-ce que vous…

Elle haleta de nouveau, quand il se pencha au-dessus d'elle, ses yeux bien rouge. Mon dieu! Il était seulement réveillé depuis deux secondes. Pensent-ils déjà au sexe?

Sa main glissa jusqu'à son cou .

-Jeune femme, vous ne devriez jamais réveillé un vampire qui dort.

-Vous êtes réveillé par vous-même.

Elle poussa sa main contre sa poitrine.

-Et je me fiche de la règle de trois je ne vous ferai pas de pipe.

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Le libre arbitre. Il a cette façon de revenir nous mordre le derrière.

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— Brynley veut encore se battre, dit Connor. As-tu le temps de la téléporter ici ?

Marielle tenta de se souvenir des paroles exactes de Brynley.

— Elle a dit que vous devriez vous rendre là-bas avec votre petit cul ferme pour la prendre.

Les yeux de Phineas s'agrandirent.

— C'est ce qu'elle a dit ?

Connor poussa un petit grognement et regarda Marielle d'un air désabusé.

— Je tentais d'être précise, répondit Marielle. Je crois que je vous ai rapporté ses paroles exactes.

— Ferme, n'est-ce pas ?

Phineas sourit d'un air satisfait. Son téléphone portable sonna, et il le retira de sa poche.

— C'est probablement elle qui m'appelle.

Il approcha le téléphone de son oreille et adopta un ton de voix plus grave.

— Salut, bébé. Le docteur de l'amour est à ton service.

Il sursauta.

— Oh, hé, Angus. Oui, monsieur. Je m'en occupe tout de suite, monsieur.

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Sa main glissa jusqu'à son cou.

— Jeune femme, vous ne devriez jamais réveiller un vampire qui dort.

— Vous vous êtes réveillé par vous-même.

Elle poussa une main contre sa poitrine.

— Et je me fiche de la règle de trois. Je ne vous ferai pas de pipe.

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