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Katarina says there is more than one way to hide.

Before we came down here to Mexico, we lived in a suburb of Denver. My name then was Sheila, a name I hate even more than my current name, Kelly. We lived there for two years, and I wore barrettes in my hair and pink rubber bracelets on my wrists, like all the other girls at my school. I had sleepovers with some of them, the girls I called “my friends.” I went to school during the school year, and in the summer I went to a swimmers’ camp at the YMCA. I liked my friends and the life we had there okay, but I had already been moved around by my Cêpan Katarina enough to know that it wasn’t going to be permanent. I knew it wasn’t my real life.

My real life took place in our basement, where Katarina and I did combat training. By day, it was an ordinary suburban rec room, with a big comfy couch and a TV in one corner and a Ping-Pong table in the other. By night, it was a well-stocked combat training gym, with hanging bags, floor mats, weapons, and even a makeshift pommel horse.

In public, Katarina played the part of my mother, claiming that her “husband” and my “father” had been killed in a car accident when I was an infant. Our names, our lives, our stories were all fictions, identities for me and Katarina to hide behind. But those identities allowed us to live out in the open. Acting normal.

Blending in: that was one way of hiding.

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