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Je crève d’envie de la dévorer. Mes mains trouvent ses cuisses et remontent sous sa robe. Nos souffles se mêlent déjà saccadés. Nos bouches se frôlent. Je veux l’entendre gémir. Je presse sa culotte bouillante, mordille sa lèvre inférieure, soulève sa jambe, et… la porte de la cabine s’ouvre sur ma mère en robe fleurie et son chihuahua Robert.
Et ensuite vient la débandade.
Je saute en arrière en abaissant la jupe d’Apolline tandis qu’elle étouffe un cri de souris prise au piège. Elle panique et trébuche sur le rebord de la cabine en voulant sortir précipitamment. Je tente de la rattraper, mais elle s’étale au sol sous les aboiements suraigus et furieux de Robert qui se met à tourner autour d’elle en montrant les dents. Son sac à main vole et se vide de son contenu aux pieds de ma mère qui nous observe bouche bée. Je m’agenouille pour ramasser les affaires et mon pauvre petit bonbon rouge de honte.
– Mamma, articulé-je, tête baissée. Désolé de… cette arrivée.
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