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-merde, tu es toujours comme ca!

- comment? beau et charmant?

- drageur et pretentieux.

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S'apprêtant à la suivre, il se rendit compte que quelqu'un le retenait par le bras. En baissant les yeux, il comprit qu'il s'agissait de Naomi, qui lui enfonçait les ongles dans la peau.

- Assieds-toi.

- Mais Francine...

- Laisse-la tranquille une minute. Ethan, attrape mon frère, veux-tu ? Le crétin, pas le moche.

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Alejandro à Francine:

- Si tu as l'impression qu'ils sont graves dans sa famille, il faut que je te présente la mienne! Même si , d'habitude, il n'est pas tant question de violence que des pères en colères et de filles délaissées. On est les spécialistes des cœurs brisés.

- Mince, et même avec ça tu arrives encore à coucher...

Il lui sourit.

-C'est grâce à mon grand ... ( il s'interrompit et lui fit un clin d'oeil) sourire.

Elle éclata de rire.

-Oh le coquin. Inutile de se demander pourquoi elles craquent toutes pour toi.( Quand le téléphone se mit à sonner, elle se pencha pour décrocher) Maison des plaisirs, bonjour, comment puis je vous satisfaire? demanda-t-elle d'une voix suave, ayant reconnu le numéro.

-Oh la vilaine! s'exclama Naomi. je vois que tu es rentrée en un seul morceau. Mais je dois reconnaître que je suis surprise par tes choix.

-Ce n'est pas parce que Mitchell a soudain compris que j'existais que ça lui donne le droit de se conduire comme un abruti. D'ailleurs, tu aurais dû voir sa tête quand je l'ai repoussé. C'était tordant.

Un éclat de rire retentit dans l'écouteur, et Francine éloigna le combiné en ayant un mouvement de recul qui fit sourire Alejandro entre deux gorgées de bière.

-Bon, quand dois-je m'attendre au retour de la boule de poil qui sert de frère à Javier?

-Demain

-Pardon? Francine ne me dis pas que tu as l'intention de coucher avec lui!

Elle leva les yeux au ciel.

-Bien sûr que non. Mais je me suis dit qu'il préférerait mon canapé à ta chambre d'amis bruyante.

- Ma chambre d'ami n'est pas.. Oh, la garce! Comme si tu étais discrète, toi.

- Je sais que ce n'est pas le cas.

Elle se mit à gémir dans le téléphone, ce qui fit rire Naomi de plus belle et écarquiller les yeux à Alejandro. Elle arriva rapidement au moment où elle criait en haletant:"Oh oui, oh oui!" avant de redescendre, Naomi gloussant comme une hystérique à l'autre bout du fil. Le pauvre Alejandro la regardait fixement, le yeux vitreux. Elle lui fit un clin d’œil.

-A plus tard, copine. Oh, et fais attention à ne pas accoucher trop vite, à force de faire des folies de ton corps.

Naomi lui répondit en imitant un bruit de pet avant de raccrocher. Francine but une gorgée de bière, jetant un coup d’œil à son invité encore bouche bée.

-Quoi?

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Selon les points de vues, un spoiler.

...

- Comment Francine l'a t-elle pris? Etait-elle en larmes, terrifiée, furieuse?...

- Elle est morte de rire.

-Il faut le croire pour le croire. Ne te méprends pas, elle est en pétard, mais elle n'arrête pas de lancer des vannes et de glousser comme si elle était droguée.

...

- Quel genre de vannes?

-Euh, alors, la premiere chose qu'elle est dite en apprenant l'identité de celle qui a fait saccagé sa maison ça a été:

<<Cette pute d'anorexique était sans doute à la recherche de cookies.>>

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- tres bien j accepte. mais si vous le faite tomber, je vous mets une fessee, le previent elle.

- c'est promis?

- cochon.

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— Dis-le, lui ordonna-t-elle de nouveau avec autant de pitié qu'un tueur en série.

Il savait très bien ce qu'elle voulait. Jamais, au grand jamais, il ne le dirait. Plutôt mourir. Il serra les lèvres et la regarda dans les yeux d'un air de défi.

Passablement agacée, elle fronça les sourcils.

—Arrête de faire ta tête de cochon. Tu sais très bien qu'on est faits l'un pour l'autre. Dis-le.

Que de certitude de la part d'une fillette de dix ans qui jouait encore à la poupée.

Connaissant ce visage familier et ces nattes rousses depuis qu'il était né pour les voir presque quotidiennement, il grimaça.

— Beurk, Francine. C'est dégoûtant. Tu es comme une soeur, pour moi.

Comme il s'y attendait, elle ne le prit pas très bien.

Profondément agacée, elle prit un air plus dur.

—Je ne suis pas ta soeur ! vociféra-t-elle en se redressant et en plantant les mains sur sa taille d'un air indigné.

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Francine a Alejandro:

Comme si elle allait le laisser l'emporter si facilement.

—Parfait. N'oublie pas d'aller faire quelques courses, pendant que tu y es. Je n'aimerais pas qu'on meure de faim.

J'aimerais bien quelques saucisses, longues et grosses, dans lesquelles planter mes crocs. Et un beau morceau de viande bien juteux, du genre qu'on peut glisser entre deux petits pains grillés mais tendre au milieu. Oh, et des Mr. Freeze. J'adore les sucer quand j'ai chaud. Et de la crème. Plein de crème.

Elle parvint à se retenir de sourire en le voyant écar- quiller légèrement les yeux.

Il se mit à gémir et à se cogner la tête contre le comptoir en marmonnant :

—Et dire que mon frère craignait que je profite de la situation. Tu es la plus cruelle des femmes que je connaisse.

— Quoi ? Qu'est-ce que j'ai dit ? s'indigna-t-elle en feignant l'innocence.

Incapable de garder son sérieux plus longtemps, elle se mit à ricaner.

—Je t'aurais, la prévint-il en débarrassant le comptoir.

Et alors là, tu ne riras plus. Tu crieras, peut-être, et tu mouilleras ta culotte, mais ce sera terminé, les gloussements.

—Je suis prise, lui rappela-t-elle entre deux éclats de rire, incapable de s'empêcher de réagir à sa promesse.

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—Cesse de le chercher. Mitchell, ne fais pas attention à ce qu'il raconte. Francine ne l'intéresse pas du tout. C'est juste pour t'emmerder. Il est très doué pour ça.

— Calomnies ! répliqua-t-il d'un air faussementindigné.

— Que tu dis.

—Oh, je ne parlais pas du fait de vouloir l'emmerder. Ça, je ne le nie pas. Mais laisse-moi te dire que Francine m'intéresse au plus haut point. Assez pour que je fasse quelque chose que je n'ai encore jamais fait, annonça

Alejandro. J'ai rencard avec elle.

Sa remarque fut accueillie par un silence de mort.

Javier chuchota :

— Oh, merde. Il est sérieux. Naomi, il faut que tu l'en empêches. S'il sort avec Francine, ça signifie qu'il ne partira plus jamais et que je devrai le supporter (il déglutit) presque tous les jours.

Naomi, qui était passée à l'ennemi, se mit à frapper dans ses mains.

—Oh, ce serait génial ! J'ai toujours trouvé qu'Alejandro était le plus drôle de tes frères.

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—C'est la conversation la plus débile que j'aie jamais eue. Je présume que tu parles de ta suggestion d'être avec toi à tour de rôle ? Tu serais partante, toi ?

—S'il faut en passer par là pour que je puisse vous avoir tous les deux, alors, oui. Je peux faire des compromis.

J'ai envie de t'avoir auprès de moi, Mitchell. Ça fait des années que j'en rêve. Même si je n'avais jamais imaginé que je devrais te partager avec quelqu'un d'autre,surtout un homme.

— D'accord, ça a un côté dégoûtant quand tu le dis comme ça.

Elle éclata de rire.

-Tu vois très bien ce que je veux dire.

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Sa vie conjugale lui convenait parfaitement, d’autant plus que ses hommes avaient fini par apprendre à partager. Même si les occasions de se chamailler ne manquaient pas, elles s’achevaient en général très rapidement dès qu’elle déclarait doucement :

— Si vous continuez, je me masturberai toute seule, ce soir.

Ils modifiaient alors instantanément leur attitude.

Naomi avait tellement raison à propos des ménages à trois. C’est nettement plus commode d’avoir deux hommes plutôt qu’un seul.

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