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J’ai découvert la plume d’A.D grâce à sa saga dystopique, mais j’ai aussi découvert un autre aspect de sa personnalité avec sa comédie romantique de Noël. Avec ce spin off de Je vais buter mon boss, je peux vous dire que j’adore son côté déjantée.

Alexis obtient une place de garde du corps chez Electronic Dreams. Le premier pallier de son plan est en marche. Son objectif : tout mettre en place pour son patron tombe sous son charme. Mais rien ne va se passer comme prévu.

Alexis est un héros totalement fou. Dès le premier chapitre, nous découvrons un ancien militaire à double visage : sérieux et discipliné au travail, drôle et burlesque en dehors. J’ai beaucoup aimé sa personnalité et j’ai hâte de continuer ses aventures.

Il est bien entouré. Que ce soit avec sa soeur ou Andrew, les héros de l’histoire originale. Qu’est-ce que j’ai envie de découvrir ce titre. Je me pose beaucoup de questions sur ce couple hors du commun et sur les événements passés. Ma curiosité me perdra.

S.J est un patron très mystérieux. Tellement que je ne sais que penser de lui. Bruce est un collègue terriblement prise de tête et ne parlons pas de David qui cache beaucoup de choses. Entre les menaces du boulot et ses trois fortes têtes, Alexis a du boulot sur la planche.

Un premier opus terriblement addictif. L’auteure nous transpose dans son histoire avec une facilité déconcertante. J’avais vraiment l’impression d’être dans un film d’action et j’aime ce sentiment donc je valide cette première partie.

L’intrigue est à son prémice : Alexis arrivera-t-il à ses fins avec son patron ? Qui ne cesse de menacer l’entreprise ? David sera-t-il une nouvelle cible ? Que cache cet assistant ? J’ai hâte de plonger dans le second tome pour avoir toutes mes réponses.

Vous l’aurez compris, je vous recommande ce roman avec joie.

Franchement drôle, le personnage d'Alexis est charmant. Il est à la fois sûr de lui, plein d'humour et pourtant assez passionné. J'ai été un peu frustrée par le manque d'interaction entre lui et SJ...j'aime les slowburn mais là, c'est vraiment lent. La fin m'a laissé sur ma faim! Vivement la suite !

Une première partie qui débute doucement, pleine d'humour et attendez la deuxième partie, vous ne serez pas déçu, elle est géniale.

AD Martel continue sur sa lancée et nous offre encore une comédie parfaite pour l'été.

Je vous le dis tout de suite, on ne tombe pas dans la patho/mélodramatique. Au contraire !

ON se retrouve à suivre les déboires d'Alexis, le frère de Christine (pour celleux qui ont lu Je vais chopper mon boss ).

IL est beau, très beau, multiplie les conquêtes. C'est un ancien militaire qui a vécu des choses pas très cool. IL est volage, a du mal à faire face aux conflits. Il se retrouve à habiter avec sa sœur et son beau-frère.

Il postule pour un boulot comme garde du corps pour Sung-Jae Park, PD-G d’Electronic Dreams. Il tombe amoureux de celui-ci et fait tout le choper.

Dans le premier tome, c'est vraiment l'intrigue principale. La découverte des personnages ainsi que leurs liens et leur rôle.

Pour le tome 2 (qui est mon préféré) on se retrouve plongé dans une enquête et une grosse histoire familiale. ON découvre Alexis sous un autre angle même si parfois le naturel revient au galop.

Ce tome est plus rythmé, les actions s'enchaînent, et un personnage secondaire du tome prend presque la place de rôle principal.

On se retrouve plongé dans une enquête, mêlant sentiments et actions. J'ai été surprise quand même de la tournure de l'histoire. C'est émouvant, doux et fort à la fois.

AD MArtel a encore une fois su me toucher et me faire apprécier un genre littéraire que je lis vraiment très peu. Elle a une plume magique, je l'adore ! Elle malmène ses personnages et c'est nous faire l'aimer et la détester en même temps!

J’ai réussi à sortir de ma panne de lecture. L’envie revenant, j’ai décidé de me lancer dans le service presse qu’A.D. Martel m’a gentiment proposé début juillet. D’un, car c’est une histoire légère et de deux, parce que l’extrait du premier tome de cette série ( Je vais tuer mon boss) m’avait interpellé par sa belgitude, c’est-à-dire : la localisation à Bruxelles et l’humour. Je précise que Je vais choper mon boss n’est pas une réelle suite, mais plus un spin-off qui peut se lire indépendamment. Étant donné qu’il s’agit de romance, il n’y a pas de grands spoils vu qu’on sait que les protagonistes meurent tous à la fin ! C’est le principe même d’une Happy Ending. Bon, j’arrête de dire des âneries à cause de la chaleur, place à Je vais choper mon boss :

Depuis toujours, Alexis Janssens et sa sœur, Christine, s’entendent comme chien et chat. Ils se défient, se disputent, se réconcilient en boucle sur une piste de marathon pour prouver qui est le meilleur. Alors quand celui-ci décide de postuler au job de garde du corps du nouveau PDG d’Electronic Dreams (Sung-Jae Park), c’est en partie pour lui prouver sa force. En partie, car il a complètement craqué sur le Coréen. Après un entretien pour le moins…atypique, il le prendra pour cible. Arrivera-t-il à l’entraîner dans son lit ? Saura-t-il le protéger comme il se doit lorsqu’une situation dangereuse se profile, surtout quand les soupçons portent sur des êtres chers ?

L’autrice nous plonge dans une histoire riche en rires et en détournements. Elle joue sur des clichés et des comportements stéréotypés pour, tout à coup, renverser la situation en l’intégrant dans le contexte, le fil conducteur du chapitre. Ainsi, mes émotions ressemblaient à un yoyo : je souriais là où une seconde auparavant je levai les yeux au ciel. Très vite, je me suis retrouvée incapable de lâcher le roman tant il me faisait du bien.

Élaborer des personnages nuancés, profonds et humains n’est pas une tâche facile dans l’écriture d’un récit. C’est eux qui touchent l’âme des lecteurs et qui les emmènent dans une valse de sentiments et d’aventures qui les marquent, et ce, même si l’histoire porte l’étiquette du déjà-vu. Étant à mon troisième roman d’A.D. Martel cette année, et la première dans une comédie romantique, je salue et j’admire son habileté à créer de tels protagonistes.

Dans Je vais choper mon boss, on découvre un Alexis à la fois cynique et justicier dès les premières pages. Il sauve une mamie indécise de l’impatience d’un gars en costard, pressé d’avoir son café. Plus on avance, plus cette belle image s’effrite . Sous la couche du héros, ancien militaire de carrière, il est imbu de lui-même. Il connaît ses charmes et en joue auprès de la gent féminine pour arriver à ses fins (sans dépasser les limites de la bienséance, bien sûr), il a un côté m’as-tu-vu ? L’apparence et l’image qu’il montre aux autres sont importantes pour lui. Il adore attirer le regard sur son corps, sa beauté, sa force. De plus, le machiavélisme coule dans ses veines. Quand il n’apprécie pas quelqu’un, il recourt à la menace et au harcèlement. Le pauvre David Langlois en fait les frais tout au long du récit alors que c’est un ange sensible qui le défend au lieu de le dénoncer, car la sécurité du patron et de l’entreprise lui tient à cœur.

Si Alexis est détaillé tel un kaléidoscope, Sung-Jae Park est, quant à lui, plus opaque. Il revêt le costume habituel du Big Boss asiatique dont les émotions restent personnelles. Ils dévoilent quelques expressions seulement devant ses amis et un peu plus en face d’Alexis. Cependant, il n’est pas moins douloureux de lire ses interactions à travers le regard de son garde du corps préféré. On ressent le poids que la succession à la tête d’Electronic Dreams, pèse sur ses épaules. Il incarne l’homme qui doit rester droit dans ses bottes, qui ne s’ouvre pas facilement, d’autant plus que chaque parole, chaque attitude, et même, sa vraie identité peuvent avoir des retombées négatives sur des centaines d’employés.

La plume d’A.D. Martel est efficace et témoigne de sa belgitude. L’humour est de la pure dérision de notre pays. Tout est passé sous ce filtre, des immeubles vitrés, aux comportements jusqu’à l’hygiène des tables de pique-nique. Les coups bas entre les personnages (Alexis VS Christine et Alexis VS Bruce) sont juste exquis.

En bref, Je vais choper mon boss est une comédie romantique aux délicieux accents d’humour belge. À travers une histoire drôle et pleine d’émotions, elle secoue les clichés et les préjugés grâce à des personnages authentiques qui ébranlent de manière intelligente et subtile les visions. Même notre protagoniste n’en ressortira pas indemne. Vivement la suite !

« Je vais choper mon boss » est le spin off de « Je vais buter mon boss » (qui avait été un coup de cœur => ma chronique ici !!). Effectivement, nous suivons, ici, Alexis, le frère de Christine, l’héroïne du « premier » tome.

Le récit se déroule entièrement du point de vue d’Alexis et autant vous dire qu’être dans sa tête n’est pas de tout repos. C’est, en effet, un personnage haut en couleur, fantasque et imprévisible. Son apparition dans le précédent opus avait d’ailleurs été explosive et inoubliable ! C’est donc avec beaucoup de plaisir que je l’ai retrouvé dans ce spin off ! Et, cerise sur le gâteau, le second protagoniste central de cette histoire n’est autre que SJ, l’énigmatique et flegmatique PDG d’Electronic Dreams.

Alexis, avec toute la mesure et l’équilibre qui le caractérisent, est tombé amoureux de SJ avant même de l’avoir réellement rencontré : d’une part, à travers les images et photos qu’il a pu voir de ce dernier dans la presse, d’autre part, via les déclarations enthousiastes de sa sœur…Il est convaincu que c’est l’Homme de sa vie. Ayant mis sa carrière militaire en pause, il décide de postuler en tant que garde du corps du bel asiatique. Il espère ainsi entrer en contact rapproché avec celui-ci et….laisser son charme agir. Cependant, tout ne va pas être aussi simple que prévu.

Alexis est un personnage, de prime abord, sympathique mais très superficiel. Bourré d’humour, il adore titiller ses amis et collègues, faire des blagues, provoquer,… S’il amuse ainsi la galerie, ce trait de caractère cache également certaines fêlures. Clairement, c’est sa manière à lui d’esquiver : il fuit les conversations sérieuses et les remises en question comme la peste, préférant tout tourner en dérision. Autre aspect marquant de sa personnalité : sa certitude d’avoir un sex apple de haute voltige ! Il est persuadé que n’importe qui, qu’il soit homme ou femme, ne peut que saliver devant son corps musclé et son visage sans défaut ! De plus, notre beau militaire fait régulièrement preuve d’un orgueil et/ou d’une fierté mal placé(e)… À côté de ça, il a un cœur en or et n’hésite pas à défendre la veuve et l’orphelin quand il est en présence d’une situation qu’il juge injuste ! La guerre, aussi, ne l’a pas laissé indemne…(à vous de découvrir pourquoi..). Finalement, un homme aux multiples facettes, bien plus complexe qu’il n’y parait.

Alexis est, de ce fait, très attachant tout en étant….un peu lourd ! J’avoue que son humour et son côté « Je suis beau gosse et je le sais » m’ont lassée au bout d’un moment. Ses blagues et ses réflexions m’ont fait lever les yeux au ciel et beaucoup moins rire. J’ai regretté alors que l’on suive uniquement son point de vue ! Être dans la tête d’un autre protagoniste m’aurait, peut-être, évité cette sensation de « trop plein ». En même temps, je comprends totalement le choix d’A.D. Martel de garder un aura de mystère autour de SJ ! Cela colle si bien au personnage que ça aurait été dommage qu’il perde cette aura en lui donnant la parole ! Et puis, heureusement, ce ressenti de « lourdeur » a été assez bref puisque, rapidement après, Alexis m’a prouvé qu’il pouvait être davantage qu’une façade sans profondeur ! Que derrière celle-ci se cachait cet homme plus complexe dont je vous parlais, capable aussi de se remettre en question !

SJ…<3 J’adore ce personnage, son côté impénétrable et ténébreux, et c’est un plaisir de percer sa carapace et de découvrir l’humain derrière l’image lisse et sans tache du PDG à travers les yeux d’Alexis. Nous apprenons à le connaitre, à voir ses failles, en même temps que notre extravagant héros !

Un autre protagoniste que j’apprécie de plus en plus, c’est David Langlois ! Alexis ne l’épargne pas, le pauvre, et on sent qu’il n’est pas du tout à l’aise dans ses échanges avec ce dernier mais…il se défend à sa manière ! Il a des convictions bien ancrées et, même le malaise qu’il éprouve en présence du garde du corps, n’arrive pas à les ébranler ! Il maintient ses positions coûte que coûte et fait preuve d’une sacrée dose de courage !

Andrew et Christine sont présents également, vous vous en doutez sans doute ! Evidemment, ils sont un peu en retrait (puisque ce n’est plus leur histoire) mais leur présence est indéniable. J’avoue, par contre, avoir parfois du mal à les reconnaitre dans ce spin off. Leur relation est étrange et…j’attends de lire la suite pour me faire une opinion ne sachant pas ce que l’autrice nous/leur réserve !!

En bref, une romance légère portée par un personnage complètement barré, drôle et pétillant…qui cache pourtant certaines failles ainsi qu’une grande complexité derrière son apparence de bout en train ! Je suis vraiment curieuse de voir son évolution dans la partie 2 ! Ce premier « tome » était, en tout cas, pleine de rebondissements, d’humour, d’amour, de loyauté et d’amitié ! Je suis impatiente de me plonger dans la suite (et fin) qui, j’en suis sûre, me réserve encore bien des surprises !!

Alexis, ancien militaire en pleine reconversion à postulé pour le poste de garde du corps du PDG D'Electronic Dreams, Sung-Jae Park. Son objectif est tout autre que seulement assurer sa protection :) Le déroulement de l'histoire est vraiment attrayante, le jeu de séduction entre Alexis et Sung-Jae est tellement torride mais trop frustrante je trouve.

Après j'ai vraiment aimé l'histoire et les personnages. Hâte de lire le tome 2 :)

Après Je vais butter mon boss, j’ai sauté sur l’occasion de découvrir son spin-off quand elle m’a proposé ce SP! J’ai retrouvé avec plaisir les personnages d’électronic dreams, et j’ai été transportée dans ce feel-good mêlé à un suspens prenant. L’histoire avance et on se pose de plus en plus de questions….. j’ai tellement hâte de lire la suite à présent!!!

Un coup de blues? Lisez ce livre!!! On rit pratiquement à chaque page.

Le personnage principal, Alexis, est aussi le narrateur, on a donc accès à son esprit pour notre plus grand plaisir.

J'ai du mal à croire que des personnes n'ont pas aimé ce personnage, il fait désormais parti de mes favoris, tous livres confondus lus dans ma vie.

Les personnages secondaires sont savoureux ou intrigants, et drôles eux aussi.

Une fois terminé, on regrette de ne pas avoir commandé le tome 2 à l'avance comme c'est mon cas... pfff

Nous repartons en Belgique pour retrouver les personnages et l’univers de Je vais buter mon boss, dont je vous ai parlé il n’y a pas si longtemps. Et, qui dit roman spin-off, dit peu de changements dans l’univers. Si l’on met de côté les changements internes dans l’entreprise d’Electronic Dreams, il n’y en a d’ailleurs aucun, si ce n’est quelques mois/semaines de différence par rapport au roman original. De ce fait, dans ce tome-ci encore les descriptions sont parfaitement adaptées, elles ne ralentissent pas la lecture et permettent une plongée de la psyché de notre personnage principal Alexis.

Alexis qui a décidé de devenir maître de sa propre histoire, et ce en commençant par une bonne chose : choper son boss, le meilleur ami de son tout nouveau beau-frère, le délicieux Sun-Jae. C’est ainsi qu’il se retrouve dans les locaux de la société, à jouer au garde du corps avec un collègue qu’il déteste déjà… Ce livre est tout à fait différent de son prédécesseur : il en est même le miroir à plusieurs égards, mais comme on dit l’histoire se suit mais ne se ressemble pas. On a une vraie innovation au sujet des événements et des révélations, très agréable à découvrir pour le lecteur.

Alexis en personnage principal, c’est quelque chose à la fois de très différent mais de très similaire à Chris, l’héroïne du tome précédent. Si l’on reste dans la fratrie Janssens, Alexis n’a pas du tout le même passé que Chris. D’ailleurs, ce passé est plutôt bien mis en scène, passant par des cauchemars récurrents et de plus en plus détaillés, bien qu’il reste tout de même une part de mystère en refermant la première partie du roman. Et le mystère plane également beaucoup sur Sun-Jae. Parce que même si nous l’avons rencontré dans le tome précédent (puisqu’il est un peu plus présent qu’Alexis), on le découvre un peu plus ici tout en restant très en retrait. Par ailleurs, la relation qui lie les deux personnages est plutôt pas mal et son évolution me plait beaucoup !

Je l’ai dit précédemment et je le redis ici : la plume de l’autrice est incroyable et la comédie romantique lui va plutôt bien je trouve. Certains moments sont absolument adorables et d’autres hilarants. Le lecteur est de ça fait pris entièrement et complètement dans l’histoire et se retrouve aux côtés d’Alexis, à vibrer pour lui et à s’y attacher. Ça le rend tellement vivant et c’est très agréable. Pour reprendre les points comme d’habitude, l’atmosphère est comme toujours très bien travaillée, avec de nombreuses évolutions, toujours adaptées aux événements.

Une lecture drôle et vibrante pour le lecteur.