Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 897
Membres
1 014 129

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par cdv25 2016-01-12T07:29:41+01:00

– Je peux en placer une, oui ? sourit-il.

– Non.

– Pourquoi ?

– Parce que tu vas aller trop loin. Tu es euphorique, sous le choc, tu vas dire des choses que tu regretteras ensuite.

– Des choses comme… ? souffle-t-il en jouant avec mes mèches blondes.

– Comme des mots doux, murmuré-je timidement.

– Parce que je ne t’en dis jamais, des mots doux ?

– Des mots trop doux, alors.

– Je ne suis pas sûr qu’il existe de mots trop doux pour toi, Liv Sawyer…

Afficher en entier
Extrait ajouté par anne-sou0309 2016-04-22T15:26:52+02:00

-Tu étais où? demande-t-il doucement.

-Sur la route

-Tu es partie loin?

-J'ai fait mille kilomètre en tout

-Pour me fuir?

-Non. Pour... Pour mieux revenir

Afficher en entier
Extrait ajouté par LilyAsh 2016-04-02T15:34:52+02:00

''– Liv, pourquoi tu attends que Tristan fasse le premier pas ? reprend-elle, sérieuse.

– Parce que personne n’a envie d’être rejeté… Encore moins par l’amour de sa vie.''

Afficher en entier
Extrait ajouté par Paulinette11 2016-05-03T20:09:28+02:00

-Qu'est-ce que ça veut dire? chuchoté-je.

-Tu sais ce que ça veut dire...

-J'ai besoin que tu traduises.

-J'ai toujours si que tu n'étais pas une lumière, Saywer, se marre-t-il doucement.

Afficher en entier
Extrait ajouté par anne-sou0309 2016-04-22T15:30:54+02:00

-Personne ne sait quel effet tu fais à cet homme... souffle la voix rauque.

-Lui, Il le sait, rétorqué-je tout bas, en plaquant ma main sur son sexe.

-Elle, elle le sait mieux que personne, me contredit-il encore.

Afficher en entier
Extrait ajouté par anne-sou0309 2016-04-22T15:30:49+02:00

-Arrête de réfléchir et ouvre, Sawyer, ajoute-t-il sur un ton plus léger.

Je découvre deux joncs entrelacés, un bracelet en or jaune et l'autre en or blanc.. Que j'aurais pu choisir moi-même, si on me l'avait demandé. Jamais je n'aurais cru que Tristan m'offrirait un jour un cadeau de ce genre, précieux, romantique. Mais plus que le bijou, lui-même, c'est l'attention qui me touche. Et le fait que Tristan me connaisse si bien

-Tu vas dire quelque chose ou... ?

-Il est parfait, bredouillé-je. Pourquoi deux? Pourquoi deux bracelets?

-Parce que seul, on n'est rien..soupire-t-il. C'est à deux qu'on marche le mieux. Regarde tous ces duos du tonnerre : Ton père et toi, ta grand-mère et toi, Bonnie et toi, ma guitare et moi, énumère-t-il lentement.

-Harry et toi, ajoutè-je à voix basse

-Toi et moi, conclut-il en noyant son regard dans le mien

Afficher en entier
Extrait ajouté par anne-sou0309 2016-04-22T15:28:11+02:00

-Ce que j'ai dit hier... Que je ne voulais pas revenir en arrière...

-Oui ?

-C'est faux.

-Traduction? demandé-je d'une voix presque timide.

-Tu refuses de sortir de ma tête. Alors je ne vais plus lutter.

Le sang bat dans mes tempes, je me pers dans ses yeux azur et bois ses mots.

-Je ne sais plus si c'est une malédiction ou un mircale, mais je t'ai dans la peau, Sawyer.

-I... Idem

Afficher en entier
Extrait ajouté par tortuejessy 2016-04-02T15:48:42+02:00

J’ai juste eu le temps de téléphoner à ma grand-mère sur le chemin du poste de police. Et d’envoyer un texto laconique à Tristan pour lui dire de m’y rejoindre. Depuis, rien. On m’a tout pris, téléphone portable, sac à main, et on m’a enfermée dans une pièce vide, à l’exception d’une table et deux chaises. Plusieurs policiers différents se sont assis en face de moi pour me poser les mêmes questions, dix fois. Une femme est aussi venue prélever des choses sur mes mains, la peau de mes bras, mon chemisier blanc, sans m’expliquer quoi que ce soit.

Mais je sais pertinemment ce qu’ils cherchent : la même chose que moi. Savoir qui a glissé cette photo dans mon sac à main, quelques heures plus tôt. Savoir qui se cachait dans la foule de Mallory Square, pendant cette cérémonie contre l’oubli dédiée à la mémoire d’Harry. Savoir qui a écrit ces mots terribles, au dos de la photographie :

« Il est vivant. Il va bien.

Elle ne le méritait pas. »

Je retourne ces trois phrases dans mon esprit depuis des heures. Si Harrison est bien vivant et que cette photo en soit la preuve, qui l’a prise ? Celui qui l’a kidnappé, il y a six ans ? Mais alors, pourquoi sortir de l’ombre maintenant ? Pourquoi m’avoir contactée, moi ? Pourquoi ne pas m’avoir parlé directement au lieu d’écrire ce message énigmatique ? Et qui est ce « elle », cette femme qui ne méritait pas Harry ? Sa mère, Sienna Lombardi ? J’en ai froid dans le dos.

Je ne sais pas combien d’heures se sont écoulées depuis que je suis arrivée ici, je n’arrive plus à réfléchir. Je ne sais même plus si on est le soir, la nuit, déjà le matin. Et j’ignore pourquoi on ne me parle pas, pourquoi on ne me libère pas. Je meurs de chaud, de soif, de fatigue, de peur et de froid à la fois.

– Miss Sawyer, désolé pour l’attente.

– Lieutenant Boyle !

Je suis à la fois surprise et soulagée de retrouver le visage familier de l’enquêteur. C’est lui qui avait dirigé les recherches au moment de la disparition d’Harry. Lui que j’ai eu au téléphone il y a deux mois, quand j’essayais de comprendre le message que voulait me faire passer mon père dans sa dernière lettre. Mais je ne l’avais pas revu depuis. Et le physique inchangé du lieutenant Boyle me ramène brusquement six années en arrière. C’est exactement le même bonhomme ventru et transpirant, à la respiration bruyante et laborieuse, dont la ceinture peine à retenir le pantalon et dont le mouchoir trempé ne peut plus rien éponger sur son front. J’en viens à me demander s’il porte le même costume beige qu’à l’époque, les mêmes lunettes sans monture qui glissent sur son nez à cause de la sueur. Il sort calepin et stylo de la poche intérieure de sa veste, comme je l’ai vu faire des dizaines de fois, puis s’installe face à moi.

– Encore désolé pour votre père. J’aurais aimé vous revoir dans d’autres circonstances. Il y a des dossiers qui refusent de se refermer…

– Non ! C’est une bonne chose ! le coupé-je. Ça fait une nouvelle piste, non ? Vous avez vu la photo ?

– Nous ignorons encore si cette photo est authentique, miss Sawyer. Il pourrait s’agir d’un montage, d’une photo vieillie d’Harrison. Ou tout simplement, d’un autre enfant qui lui ressemble. Avec Internet et toutes ces séries d’Experts à Miami ou à Manhattan, tout le monde se croit capable de résoudre des affaires en faisant mumuse sur un ordinateur.

Pessimiste. Désabusé. Direct et sans tact, ça non plus, ça n’a pas changé.

Boyle soupire. Retire ses lunettes et se tapote les tempes. Je le regarde faire son rituel en sentant mes espoirs fondre sous la chaleur oppressante de cette salle sans fenêtre. Il sort une minute, revient avec une petite bouteille d’eau fraîche pour moi, une autre pour lui, qu’il vide à moitié.

– J’ai besoin que vous repassiez tout le fil de la soirée, miss Sawyer. Quelqu’un aurait-il pu vous suivre jusqu’à Mallory Square ? Qui savait que vous vous rendiez à cette cérémonie ? Un inconnu vous a-t-il approchée de trop près ? Vous devez réfléchir à tout ce qui vous a semblé anormal pendant ce rassemblement. Une personne avec un comportement étrange ou…

– J’ai déjà dit tout ça à vos collègues. Il y avait des centaines de gens et tout le monde se ressemblait, habillé en blanc… La seule personne à qui j’ai parlé, c’est ma meilleure amie, Bonnie Robinson…

– Ebony, me corrige-t-il comme si ça pouvait avoir une quelconque importance.

– Tristan est venu nous remettre une lanterne…

– Donc, vous avez parlé à au moins deux personnes, m’interrompt le lieutenant. Comment était-il ?

– Rayonnant de bonheur, ironisé-je, agacée.

– Est-ce qu’il a fait ou dit quelque chose de spécial ?

– Il nous a remerciées d’être là et…

– Et quoi ? J’ai besoin de tout savoir, insiste-t-il froidement, comme si je cachais quelque chose.

– Et il m’a serrée dans ses bras… Mais c’est juste parce que j’avais des chaussures vertes et… c’était la couleur préférée de… Vous ne pouvez pas comprendre, renoncé-je à expliquer.

– Je dois comprendre, miss Sawyer.

– Pourquoi vous avez toujours l’air de suspecter la terre entière ? commencé-je à m’énerver.

– Parce que si le suspect était juste sous mon nez, ça fait longtemps que je l’aurais trouvé

Afficher en entier
Extrait ajouté par SherCam 2018-04-17T22:56:19+02:00

-Liv,tu as gagné...murmure-t-il en déplaçant la mèche qui barrait mon front.

- gagné quoi? Le droit d'être jetée à l'eau ? Fais-je en repoussant sa main.

-tu crevais de chaud, sourit-il insolemment.

-tu es mauvais perdant.

-et toi, la pire des musicienne.

-tu n'as aucune patience.

-toi, arrogant.

-ton cul est adorable, quand tu cours.

-pervers...

Afficher en entier
Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2021-03-08T03:24:34+01:00

– Tu vas dire quelque chose ou… ?

– Il est parfait, bredouillé-je. Pourquoi deux ? Pourquoi deux bracelets ?

– Parce que seul, on n’est rien…, soupire-t-il. C’est à deux qu’on marche le mieux. Regarde tous ces duos du tonnerre : ton père et toi, ta grand-mère et toi, Bonnie et toi, ma guitare et moi, énumère-t-il lentement.

– Harry et toi, ajouté-je à voix basse.

– Toi et moi, conclut-il en noyant son regard dans le mien.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode