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« CLAC.
Sa paume ouverte vient de claquer sur mon derrière. Durement. Là où il a du laisser une marque, ma peau me brûle. Il me balance dans la voiture, grondant comme un homme des cavernes, et claque la portière.
Je suis complètement perdue.
Folle de rage.
Transportée de joie aussi.
Brûlante de désir jusqu'à la douleur physique.
Je suis sacrément en rogne.
Je suis éperdument amoureuse.
Salopard. »
Afficher en entier« Je ne laisserai pas Bear mourir.
Il a déjà tout perdu.
Je ne le laisserai pas perdre la vie.
Je suis déchaînée. Je suis imprudente.
Je suis libre.
Et je sauverai mon biker… ou je perdrai la vie en tentant le tout pour le tout. »
Afficher en entier« Un homme très imposant, aux yeux très bleus, très torse nu, très musclé, très tatoué et TRÈS en colère relié à une arme. Bear…
J’ai la frousse. Je suis excitée. Je suis hors de moi. Je lutte contre le besoin de lui sauter au cou…
Je suis complètement perdue. Folle de rage. Transportée de joie aussi. Brûlante de désir jusqu’à la douleur physique. Je suis sacrément en rogne. Je suis éperdument amoureuse. Salopard. »
Afficher en entier« -Je suis ton chez-toi, bébé, de la même façon que tu es le mien, et si tu veux vraiment savoir, si tu voulais partir, je t’en empêcherais. Tu m’appartiens désormais, alors malheureusement pour toi, ce n’est pas une option, grogne Bear. »
Afficher en entierJe m’apprête à sortir, mon service au portail débutant prochainement, quand Joke dit quelque chose qui m’incite à me retourner.
– Quand le marteau te reviendra, gamin, tu changeras tout cela. C’est dans ton sang. Tu remettras de l’ordre ici. Je le sais. Je crois en toi.
Afficher en entierIl lâche mon gilet et me fait tomber à genoux, puis il me décoche un coup de botte dans le sacrum et je m’affale sur le sol, ma pommette s’écrasant sur le linoléum à damier noir et blanc.
– Sois un homme. Relève-toi et commence à me montrer du respect avant que je t’envoie au même endroit que ta connasse de mère.
Afficher en entier– Comment es-tu censé m’appeler, fiston ? crache Chop devant mon nez.
Je peux sentir la bière dans son haleine.
– Prez, réponds-je, les yeux baissés ainsi qu’il me l’a enseigné.
– Exactement. Prez. Les niaiseries comme papa ou p’pa, c’était bon quand tu étais gosse, mais tu as grandi. Pourquoi je veux que tu m’appelles Prez ? interroge-t-il en pressant son doigt sur mon torse.
– Parce que tu es le président, dis-je en récitant les mots qu’il exige de moi depuis que je suis officiellement devenu prospect et qu’il a décrété que p’pa était une marque d’irrespect.
– C’est ça, prospect. Moi, je suis ton fichu Prez. Je ne suis pas ton papa, ni ton p’pa, ni ton paternel.
Afficher en entierPuis cette fille à cheveux roses ressurgie du passé a déboulé dans ma vie, et c’était comme si pour la première fois, j’avais trouvé un but. Un authentique objectif bien réel, pas juste des ordres creux aboyés par Chop que moi et d’autres membres des Beach Bastards prenions pour paroles d’évangile, mais une véritable raison de revivre.
VOULOIR vivre à nouveau.
Quelqu’un pour qui vivre.
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