Extraits

Je crois que tu as les capacités nécessaires pour être une bonne esclave. Je vais t’éduquer pour que tu me serves au mieux.Je vais te dresser, comme on dresse un animal, jusqu’à ce que tu sois la chienne obéissante que je veux que tu sois. Je ne veux pas de toi si tu es constamment imparfaite, si je dois te reprendre à chaque instant. Si tu ne te sens pas à la hauteur, tu es libre de partir, c’est la seule liberté que tu as. La seule.

Extrait donné par l'auteur :

(...) il avait envie d’utiliser son esclave. Très envie. Il en profita longuement, la prenant par tous ses orifices, l’empêchant de jouir selon ses nouvelles règles. Il aimait la voir se tordre d’envie, l’entendre le supplier, presque au bord des larmes. Il aimait la regarder, lorsqu’il lui permettait de céder au plaisir dans un cri libérateur qui la laissait déstabilisée, et un peu perdue durant quelques secondes. Il aimait la voir, les joues rouges, le regard pétillant, le souffle court. Il aimait l’entendre le remercier, juste d’un murmure troublé, avant de bouger à nouveau son cul sur sa queue, comme pour quémander un encore qu’il ne se privait pas de lui donner, à grands coups de reins. Il ne cédait à son propre plaisir que lorsqu’elle n’en pouvait plus, qu’elle n’était qu’un corps sans force ni énergie, alors souvent, il jouissait sur son visage ou son ventre, et se nourrissait de cette étincelle qui éclairait son regard. Un bonheur pur, d’avoir su le servir et lui donner du plaisir. Un don de soi, sincère et précieux. Elle était à sa place dans ces moments-là, intensément. Elle le ressentait au plus profond d’elle-même, et lui aussi. Il la gardait alors contre lui, pour un moment tendre. Elle se sentait compter pour lui. Elle était comblée. (...)