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Extrait ajouté par Venus13013 2019-05-25T18:00:21+02:00

Pas de mensonges, pas de masques, pas de conneries, pas d'entourloupes.

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“Il resserra l’un de ses bras autour de moi, le deuxième remonta le long de mon dos pour prendre l’arrière de ma tête dans sa main. Il se pencha tout près de moi, me pressant contre le comptoir.

— Je t’observais, dit-il brusquement. Calhoun avait promis qu’il ferait attention avec toi. Je gardais un œil sur lui au cas où il ne tiendrait pas parole, histoire d’être sur place et de pas perdre de temps pour lui arracher la tête, putain.

Je me figeai sur place, les lèvres entrouvertes, les yeux écarquillés.

Brock poursuivit.

— Il n’a pas fait attention. Il t’a poussée à bout jusqu’à ce que tu craques, chérie. Et ce que t’as dit à ce moment-là, je l’ignorais. Calhoun aussi. Tout le monde, putain. Mais laisse-moi te dire, ces quatre putains de mots sont gravés dans ma mémoire, merde. Pour toujours. Ces quatre putains de mots resteront accrochés à mes tripes à tout jamais, je le sais. Les gars ont été obligés de me sortir de force pour éviter que je m’en prenne à lui ou que j’essaie de te rejoindre.

Abasourdie, je le dévisageai toujours.

— Et puis tu t’es barrée et je savais que t’avais besoin de temps, même si ça me foutait les boules parce que t’avais pas tenu ta promesse. Mais t’en avais besoin. Après ça, t’as pas cherché à me contacter et je me rends compte maintenant que c’était pour te forger une carapace. Mais ça, je m’en fous, putain. Cette nuit-là, j’ai découvert que ma femme avait été violée et j’ai dû vivre avec ça pendant trois putains de longs mois. Alors maintenant, c’est terminé. Fini de me demander constamment ce qui se passe dans ta tête. Terminé, Tess. Ce soir, vingt et une heures, je reviens ici et on discute de toute cette merde et on voit ce que ça donne. T’as aucun lien avec Heller. T’es au courant de rien. Tu n’as rien à voir avec cette enquête. La voie est libre pour nous et on va voir où ça nous mène. Mais pour l’instant… ma jolie, il faut que tu me dises pourquoi il y a ce panneau « à vendre » dans ton jardin, alors que tu m’as dit que tu aimais tellement cette maison que tu serais prête à y vivre jusqu’à ta mort.

— Ce bruit, murmurai-je sans réfléchir.

Il battit des paupières.

— Hein ? demanda-t-il sèchement.

— Quand… quand l’agent Calhoun… quand je…

Je m’interrompis et passai la langue sur mes lèvres.

— J’ai entendu un gros bruit de l’autre côté de la salle d’interrogatoire. C’était toi.

— Ouais, chérie. Moi qui balançais une chaise contre le mur.

Lui qui balançait une chaise contre le mur.

Lui.

Lui qui balançait une chaise contre le mur.

Je fermai les yeux et laissai ma tête retomber contre son torse, tout mon corps s’affaissant contre lui.

Brock avait balancé une chaise contre un mur quand il avait appris que j’avais été violée.

Cette information s’infiltra en moi, comme un puissant jet d’eau bien chaude qui me débarrassait d’une moisissure accumulée depuis des années.

Seigneur.

— Tess, dit-il.

Il me serra contre lui, appuyant doucement contre l’arrière de ma tête.

J’ouvris les yeux sur son T-shirt.

— C’est vraiment ton T-shirt préféré ? murmurai-je contre le tissu.

Il s’immobilisa une fraction de seconde, puis fit glisser sa mâchoire contre ma tête, sa barbe accrochant quelques mèches de mes cheveux au passage.

— Ouais, chuchota-t-il à mon oreille.

— Il est tout vieux et miteux, déclarai-je.

— Exactement.

Je refermai les yeux et souris. Mon sourire s’évanouit quand je penchai la tête en arrière et rouvris les yeux pour les planter dans ses iris couleur mercure.

— Est-ce que tu veux que je passe acheter de la bière sur le chemin du retour après la baby shower ? demandai-je doucement.

L’atmosphère de la pièce changea encore une fois, elle devint douce et chaude, lourde et presque suffocante.

Mon humeur préférée. Et de loin.

Bon sang, ça aussi, ça m’avait manqué.

— Ça marche, chérie, répondit-il doucement.

— Ok, murmurai-je.

Il ferma les yeux, les rouvrit et se pencha vers moi.

Son baiser fut d’abord léger et tendre, puis se mua en quelque chose de doux et chaud, lourd et presque suffocant. Je sentis mes orteils se recroqueviller sous le plaisir tandis que je serrais le dos de son vieux T-shirt entre mes mains.

Ok, ok, sérieusement.

C’était ça qui m’avait le plus manqué.”

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“— T’as passé une journée de merde.

— Je n’en mourrai pas.

— Mon boulot, c’est pas de t’aider à ne pas mourir, Tess, répliqua-t-il en secouant la tête. Mon boulot, c’est de faire en sorte que dès que tu franchis ma porte, tu sois en sécurité, que tu te sentes bien. Hors de question que ma femme aille se coucher le ventre vide, tout ça parce que mon ex-femme est une pétasse et que son ex-mari est un sale enfoiré. Elle va manger, elle va se blottir contre moi et montrer à mes fils qu’elle va bien. Ensuite, on va se coucher et je lui fais oublier la journée qu’elle vient de passer. Ok ?

J’étais plutôt d’accord avec son plan. Un excellent plan, d’ailleurs, pourquoi n’y avais-je pas pensé moi-même ?

Je lui prouvai que j’étais d’accord en répondant :

— Ok.

Il sourit et se pencha pour déposer un léger baiser sur mes lèvres.”

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“J’eus l’impression que mes entrailles s’étaient volatilisées.

— Quoi ? soufflai-je.

— Chérie, laisse tomber le riz et viens par là. Je veux que tu sois dans mes bras quand je te dis que je t’aime.

Mais je restai immobile, les yeux fixés sur lui. Même privé de ses organes internes, mon corps parvint à produire des larmes qui roulèrent en silence le long de mes joues.

Deux secondes plus tard, Brock murmura :

— Tess, ma jolie, viens là.

J’obéis. Il écarta les jambes et m’attira vers lui dès que je fus assez près pour me serrer contre lui. Un bras autour de moi, une main derrière ma tête, ma joue plaquée contre son torse. Je passai les bras autour de sa taille et le serrai fort.

Il baissa la tête pour chuchoter à mon oreille :

— Je t’aime, ma douce Tess.

J’étouffai un sanglot et m’agrippai encore plus fermement à lui.

— Bon sang, ma chérie. Ma douce, putain, murmura-t-il contre mes cheveux.

Je hoquetai en étouffant un sanglot et redressai la tête. Je glissai une main derrière la nuque de Brock et l’attirai à moi pour un baiser.

Je l’embrassai de toutes mes forces pour lui montrer à quel point ses mots comptaient pour moi.

À en juger par sa réaction, il comprit. Il décolla ses lèvres des miennes et marmonna :

— En fait, peut-être que c’est pas toi que j’aime, mais ta bouche.”

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“— Il a disparu, murmurai-je.

Le sourire de Brock s’évanouit et il fronça les sourcils. Il me serra plus fort contre lui et demanda :

— Quoi donc, chérie ?

— Ce truc empoisonné dans mon ventre.

Il se figea dans mon dos, ses yeux plantés dans les miens. L’instant d’après, il me fit tourner vers lui et me souleva. J’enroulai automatiquement bras et jambes autour de lui tandis qu’il sortait de la salle de bain pour se rendre dans la chambre. Il posa un genou sur le lit et pivota. Je me retrouvai allongée sur le dos, tête sur l’oreiller, mon homme au-dessus de moi.

Sans dire un mot, il étudia mon visage. Je le laissai faire.

“Et entamai ma propre recherche. Avec tous mes sens.

Je caressai son visage : sa barbe de trois jours sur son menton et sa mâchoire, ses lèvres, ses tempes, ses sourcils fournis. Mes mains glissèrent jusqu’à son cou, juste au-dessus des clavicules. Je levai les yeux vers lui.

— Mon homme indomptable, chuchotai-je. Mon charmeur de serpents.

Il ferma les yeux et enfouit le visage dans mon cou.

— Tess, putain, grogna-t-il.

J’approchai les lèvres de son oreille. Pas de mensonges, pas de masques, pas de conneries, pas d’entourloupes.

— Je t’aime, Brock, murmurai-je.

Il poussa un gémissement et releva la tête. Il retroussa ma nuisette en satin et la fit passer au-dessus de ma tête. Ses mains caressèrent mon corps jusqu’à ce qu’il entrelace nos doigts.

Il maintint mes deux mains en place sur l’oreiller au-dessus de ma tête.

— Ma douce Tess, putain. Mais qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire de toi ?

— Eh bien, vu que je suis à toi, je dirais… tout ce que tu veux.

Il serra mes doigts entre les siens et plaqua sa bouche contre la mienne, un baiser fort, intense et doux, et surtout, putain, surtout incroyablement beau.”

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“Je glissai une main le long de son torse solide puis de son cou musclé pour la poser contre sa mâchoire recouverte d’une barbe de trois jours.

Je plantai les yeux dans les siens.

— Je ne sais pas quoi dire, admis-je.

Il resserra son étreinte et approcha son visage du mien sur l’oreiller.

— Tess, murmura-t-il. Y a un truc que j’ai vite compris chez toi. T’es la seule femme que je connaisse qui a pas besoin de mots. Tu t’exprimes avec tes actions et tu mens jamais. Ta main posée sur moi, chérie, elle a déjà tout dit.

Il soutint mon regard et je retins mon souffle : il avait dit ça comme si ça lui plaisait énormément.

Je hochai la tête et son expression se radoucit. Il déposa un léger baiser sur ma bouche.”

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“— Cette ordure devait tomber, grommela-t-il.

— Je comprends bien, mais ça ne m’enchante pas trop d’apprendre que le premier homme à qui je fais confiance, à qui j’accorde du temps et de l’attention depuis la fin d’un mariage vraiment, vraiment épouvantable, était avec moi uniquement parce qu’il enquêtait sur ma potentielle relation avec mon ex-mari et ses activités manifestement criminelles.”

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« — Tu as gardé la même voiture pendant vingt ans mais tu changes de TV tous les ans ? demandai-je, incrédule.

— Ben… ouais, répondit-il sur le ton de l’évidence. Euh… c’est la base.

Cette conversation se rapprochait dangereusement de celle au sujet de la bouteille de lait.

Je décidai donc de ne pas trop m’attarder sur cette discussion.

Passons. »

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« — Toi, tu sais ce qui se passe entre nous deux, ce que tu ressens quand je t’embrasse. Tu sais ce que tu ressens assise comme ça avec moi. Tu sais ce que t’as ressenti quand j’étais encore en toi après t’avoir fait jouir. Et toi seule sais ce que tu as ressenti dans ta putain de cuisine il y a six heures. Elle, elle sait que dalle, merde.

— On ne peut pas vraiment dire que j’ai beaucoup de flair en matière d’hommes, fis-je remarquer. »

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Extrait ajouté par iarld 2020-11-11T19:39:30+01:00

J’aimerais qu’il ressente ce que Slim ressent, ce qui le fait se rapprocher de toi dès que tu n’es pas tout près de lui. Comme si un lion pouvait surgir à tout moment et se jeter sur toi. Comme s’il voulait se tenir entre toi et l’animal pour te protéger.

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