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Liste des extraits

Craindre de mourir, c’est craindre de vivre.

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— Qu’est-ce que tu fabriquais là-bas ? Pourquoi est-ce que tu es allé la voir ?

— Parce que je voulais des réponses. J’ai tenté de te parler, non ? Mais tu avais plus important à faire. Genre prendre une cuite avec une navigatrice pélagienne.

Agnès pouffa.

— J’avais effectivement des choses pressantes à régler, précisa-t-elle.

— C’est ce que je constate. (Leo se gratta la nuque.)

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— Qu’est-ce que tu as vu ? demanda Agnès.

— Grand-mère McLellan, charmante comme à son habitude, ironisa Leo. Robert et sa mère, avec qui je faisais des anges dans la neige. J’ai vu son amie lui donner le collier et j’ai aperçu ses trois mères. C’est bizarre, hein ? Trois mères ?!

— Je les ai vues moi aussi. Ainsi que sa cité de verre.

— Comment conçoivent-elles les bébés ? Je n’ai pas vu d’hommes !

— Je sais. C’est merveilleux, non ? (Elle se rallongea.) Une cité sans hommes !

— Merci…

— Parthénogenèse ! s’exclama Agnès en redressant soudain le buste.

— Euh… à tes souhaits !

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Agnes avait horreur des mondanités.

Surtout lorsque son père et son frère étaient présents. Elle aurait largement préféré se faire porter un plateau-repas dans sa chambre pour le manger parmi ses grenouilles, ses rats et ses lapins. Ces créatures étaient de bien meilleure compagnie que la plupart des fréquentations de son père. Et plus intelligentes, qui plus est."

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- Qu'est-ce que tu fabriques ici ? bougonna Leo. Tu n'as pas une grenouille à disséquer ?

- Un rat, rectifia Agnes. Et c'est déjà fait.

- Beurk !

- Pour un homme grand et fort comme toi, je te trouve atrocement délicat.

- Pour une femme délicate, je te trouve atrocement dégoûtante."

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La Cité du Ciel n'avait rien de comparable aux autres planètes de l'univers. Pour commencer, ce n'était pas une planète à part entière. Elle n'était pas ronde comme un ballon mais plate, un disque ovale flottant avec un temple en son centre et un jardin tentaculaire à ses deux extrémités. Une fine membrane de magie l'englobait comme une coquille d'œuf, la protégeant du danger et sécurisant ses rebords pour empêcher les Céruléennes imprudentes de s'égarer et de tomber dans l'espace...

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- Père, chuchota-t-elle. (D'un geste, il la somma de se taire.) Père, insista-t-elle.

- Quoi ?!

- Tu attendras la fin du spectacle.

- Non, c'est pressant. C'est... (Agnes prit son courage à deux mains.) Ce sont mes menstruations,Père.

Xavier devint blanc comme un linge. A croire qu'elle venait de lui avouer avoir assassiné quelqu'un.

- File, dit-il sans la regarder.

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" - Tu es notre plus grand amour, dit-elle d'une voix qui se brisa. Tu nous a changées. Ta joie est contagieuse, ton cœur énorme et ton âme sublime. (elle prit la main de Sera dans la sienne.) Souviens-toi de ce que je t'ai dit.

- Tant que les étoiles brilleront dans le ciel, tu m'aimeras, chuchota Sera. "

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« — Je te connais.

La voix surgit de nulle part ; elle résonna dans la tête de Sera comme celle d’Errol. A cette différence près que cette voix, grave et profonde, était clairement féminine.

— Tu as entendu ? s’exclama-t-elle.

— Quoi donc?

Errol leva le menton ; il avait la bouche pleine de fleurs.

— Je te connais, répéta Boris.

Cette fois, Sera était certaine que ces paroles lui étaient entièrement adressées. Les trois yeux de l’arboréal se tournèrent dans sa direction. Ils étaient sombres et lisses comme des galets sur les berges d’un lac, et emplis d’une sagesse et d’une tristesse infinies.

— Mère, fredonna-t-il. »

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« Son cœur battait si fort qu’elle se demanda s’il n’avait pas été volé durant la nuit et remplacé par les ailes d’un colibri »

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