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Une fois dehors, il fit quelques pas en direction du Range Rover, mais une petite voix dans sa tête lui souffla de ne pas se précipiter. Il contourna le véhicule et s’approcha d’une des fenêtres du musée qui donnaient sur la rue. Se tenant bien à l’écart du cadre, il regarda à l’intérieur.

Spoiler(cliquez pour révéler)Comme il s’y attendait, le conservateur était en train de composer un numéro de téléphone.

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Cassiopée s’efforçait de maîtriser sa respiration. Au cours de son existence, elle s’était colletée avec toutes sortes de dangers : incendies, noyade, explosifs, armes en tout genre. Rien, cependant, absolument rien, ne soutenait la comparaison avec cette dernière expérience. Bien que le vertige ait toujours été un problème pour elle, elle avait jusqu’ici été en mesure de garder le contrôle quand elle avait eu à l’affronter. Mais jamais elle n’avait seulement imaginé avoir un jour à dégringoler de plus de mille mètres en plein ciel avec une autre personne agrippée à elle sous un unique parachute !

« Tu vas bien ? demanda Cotton, qui arrivait vers elle en courant.

— Non, je ne vais pas bien, répondit-elle d’une voix qui montait dans les aigus, sa respiration refusant décidément de se calmer. Je viens de sauter d’une saleté d’avion. Tu vas peut-être me dire que tu trouves ça normal ? Ça passe tout ce que j’aurais pu imaginer de pire ! »

Son cerveau répétait la scène en boucle et les mots se bousculaient sur ses lèvres.

« J’ai sauté d’un avion ! Ou plutôt, non, on m’a tirée de force dans le vide ! »

Il s’agenouilla devant elle.

« Au moins, je t’ai embrassée avant, murmura-t-il.

— Vraiment ? Et ça change quelque chose ?

— Je te comprends », assura-t-il en prenant son visage entre ses mains.

Trois mots qui disaient tout. Le regard de Cassiopée se perdit dans les yeux verts de Cotton tandis que lui revenait le souvenir de ce qui s’était passé une fois, dans un souterrain, à Washington, où les rôles étaient inversés et où c’était lui qui paniquait, en proie à sa pire hantise.

Que lui avait-elle dit, à ce moment-là ? Il n’y a personne d’autre que nous, ici, et je suis là pour toi. Les paroles mêmes qu’il lui avait adressées avant qu’ils sautent.

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« Je suis venue en Allemagne pour remettre ceci, reprit-elle en désignant l’enveloppe. Pas pour me faire arrêter. Et maintenant un président américain veut me parler ?

— On dirait que c’est votre jour de gloire. Je suis ici à la demande d’une amie. Marie Eisenhuth.

— Oma ? La chancelière allemande bien-aimée ? »

Oma. Le surnom le fit sourire. Grand-mère. La grand-mère de la nation. Un sobriquet qui faisait sans doute référence tout autant à l’âge de Marie Eisenhuth qu’à sa longévité dans ses fonctions. Le nombre de mandats n’était pas limité, en Allemagne. On restait en poste tant que les gens voulaient de vous. Un système qui plaisait bien à Danny, en fait. Hanna Cress tira une dernière bouffée de sa cigarette puis écrasa le mégot dans un cendrier.

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