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— Sérieux, mec, reprit Jeremy. Si tu ne veux pas que je passe du côté obscur, faut qu’on se mette dans la file pour commander. Je suis sur le point de faire quelque chose qu’on regretterait tous les deux. J’ai assez faim pour ça.

— Tu es malade, tu le sais ?

Jeremy poussa un gros soupir et mit sa main sur son cœur.

— Si tu continues à me parler sur ce ton, je vais finir par croire que tu ne m’aimes plus.

[...]

Elle s’apprêtait à passer devant lui sans même lui accorder un regard ! Désespéré, Mason eut recours à une tactique qu’il n’avait jamais, en trente-trois ans d’existence, pensé à utiliser.

Un croche-pied.

Il avança discrètement son pied, et, l’instant d’après, elle basculait sur le carrelage. Soufflant et jurant à voix basse, elle se releva à genoux et tenta de nettoyer ses lunettes.

— Vous n’avez rien ? demanda-t-il en s’accroupissant à côté d’elle.

Son ton de voix bourru l’étonna lui-même. Elle se tourna vers lui, surprise. Il n’avait jamais vu d’yeux aussi grands ni aussi verts.

— Euh, non, je crois que ça va.

Puis une étincelle d’humour s’afficha dans son regard, et elle eut un petit rire de gorge qui déclencha en lui un violent frisson.

— Etre aspergée de soupe à la tomate, je n’ai jamais entendu dire que ça pouvait être mortel, dit-elle d’un ton léger.

[...]

Il lança un regard noir à Jeremy et, croisant les doigts pour que la foudre ne s’abatte pas sur lui, mentit sans honte.

— Je crois que tu me connais assez bien, Burns, pour savoir que le jour où je ferai un croche-pied à quelqu’un, les poules auront des dents.

Dix minutes plus tôt, il aurait pu dire cela en toute sincérité, mais les choses avaient changé à une vitesse inouïe, et il savait bien que la raison de ce bouleversement se trouvait à côté de lui.

— Eh bien, les coqs n’ont qu’à bien se tenir, dit Jeremy d’un air malin, parce que je t’ai vu lui faire un croche-patte.

— Arrête.

Il n’osait même pas la regarder. Adhérerait-elle à sa version des faits ? Il était hors de question d’admettre ce qui s’était vraiment passé.

— Je sais bien que les femmes tombent comme des mouches devant toi, mais je n’aurais jamais cru qu’un jour tu ferais un croche-pied à l’une d’elles pour la mettre à genoux…

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— Il était comment ? demanda Mick à mi-voix pour que Max ne l’entende pas.

Un soupir échappa à Torrance et, à sa grande horreur, elle s’entendit répondre :

— Supersexy.

Mick écarquilla ses yeux bleus et un gloussement sortit de sa bouche soigneusement maquillée.

— A ce point, vraiment ?

Torrance ne pensait pas que son visage puisse devenir plus rouge. Supersexy? C'était bien elle qui venait de dire ça ? Se laissant tomber sur son tabouret, elle secoua la tête avec incrédulité. Non seulement ce type était à tomber par terre, mais il avait également un effet désastreux sur son cerveau.

— Disons que ça devrait être interdit de l’être autant.

Mick eut un sourire narquois.

— Ma chérie, être trop sexy n’est pas un défaut.

— Eh bien, chez lui, c’en est un.

Elle soupira en se rappelant le vertige qui l’avait parcourue lorsqu’elle avait croisé son regard. Elle en tremblait encore ! Elle avait ressenti un désir si fort qu’il lui avait coupé le souffle. Elle n’avait eu qu’une seule envie : s’approcher de lui, se plaquer contre son corps, baigner dans cette chaleur animale et dangereuse qui émanait de lui. Son regard chocolat promettait des choses trop tendres, trop intimes pour qu’elle puisse les accepter de qui que ce soit, encore moins d’un inconnu. Seulement… il ne lui avait pas fait l’effet d’un inconnu, et cette étrange impression de le connaître, conjuguée au danger qu’elle sentait planer autour de lui, avait eu sur elle un effet dévastateur.

Tellement dévastateur qu’elle avait eu la peur de sa vie. C'était cela, plus que toutes les insanités qu’il débitait, qui l’avait fait partir en courant.

Il y eut un bref silence, puis Michaela se mit à rire doucement.

— Il était vraiment si bien que ça ?

Torrance acquiesça distraitement, puis secoua la tête pour chasser de son esprit toute pensée de l’inconnu. Comment l’avait appelé son copain ? Mase ? Mason ! C'était ça. Un nom viril qui lui allait à la perfection, tout comme son jean délavé et le T-shirt qui moulait son torse musclé.

[...]

— Oui, reprit-elle à l’intention de Michaela, il était trop sexy et certainement trop beau pour être vrai.

— Mais qu’est-ce qui s’est passé ? demanda Mick en regardant le polo taché de son amie.

— Il… euh… il m’a fait un croche-pied.

Mick la regarda d’un air ahuri.

— Quoi ?

— Il m’a fait un croche-pied, répéta Torrance en haussant les épaules. Pour attirer mon attention, sans doute.

— Eh bien, dit Mick avec un sourire désabusé, c’est la première fois que j’entends un truc comme ça. C'est original.

Sentant des gouttes de pluie sur ses joues, Torrance passa ses mains fraîches sur son visage et repoussa quelques mèches de cheveux humides.

— Je ne savais pas qu’il l’avait fait exprès. Mais son copain l’a dénoncé.

— Drôle de copain.

— Oh, il t’aurait plu, dit Torrance avec un sourire taquin. Il était drôle. Supersarcastique.

— Tout ce que j’aime chez les hommes, soupira Mick.

— En tout cas, Mick, je te jure, la première fois que j’ai posé les yeux sur ce type, j’ai failli m’étrangler. Il est…

Sa voix s’érailla.

— Oui ? dit Mick sur un ton intéressé.

Torrance chercha le mot exact. Il n’y en avait qu’un.

— Superbe.

— Génial, ma chérie, mais il me faut plus d’infos. Allez, décris-le-moi en détail pour que je m’en fasse une idée.

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— Je croyais t’avoir dit de ne pas sortir de la voiture, dit-il en essayant de réprimer la colère qui lui montait à la gorge.

— Oui, mais tu ne m’avais pas interdit de prendre le volant, rétorqua-t-elle calmement.

Elle le regardait avec défi et il avait bien envie de l’étrangler. En même temps, il brûlait de poser ses lèvres sur les siennes et d’envahir sa bouche de sa langue en un délicieux geste de possession.

Il prit une profonde inspiration ; il tremblait encore de rage à l’idée qu’il aurait pu lui arriver quelque chose.

— Dis-moi, Torrance, selon toi, en ce moment, tu es dans la voiture, ou hors de la voiture ?

— Je suis sortie parce que ces gros monstres étaient en train de défoncer le pare-brise. J’aurais dû faire quoi, attendre bien sagement de me faire dévorer ?

Il s’avança vers elle, mais elle ne broncha pas. En son for intérieur, il dut admettre qu’il était fier qu’elle lui tienne tête. Fier, et profondément exaspéré.

— Si tu étais restée allongée sur le sol, comme je te l’avais dit, j’aurais pu m’occuper d’eux avant qu’ils ne s’en prennent à toi.

Il s’interrompit pour respirer un bon coup, prévoyant d’enchaîner sur l’histoire de la branche et du Lycan qu’elle avait utilisé pour son entraînement de base-ball, mais elle ne lui en laissa pas l’occasion.

— Si tu arrêtais tes reproches ? A ta place, je dirais plutôt : « Merci, Torrance, c’était sympa d’avoir essayé de nous aider. Sans toi, j’aurais pu me faire arracher la tête. »

— Je n’étais sûrement pas sur le point de me faire arracher la tête, grommela-t-il.

Elle avait cru que Curry et ces autres avortons pouvaient avoir le dessus sur lui ; c’était tout de même vexant !

— De là où j’étais, rétorqua-t-elle tout aussi sèchement, c’en avait tout l’air. J’ai bien cru que…

— Les enfants, dit Jeremy, cette discussion est passionnante, mais on va devoir la remettre à plus tard. Pour l’instant, il faudrait plutôt dégager la route, appeler une équipe de nettoyage et rentrer à la maison.

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— Ça va comme tu veux ?

Elle fit un geste en direction du snack, où Mason attendait pendant que la blonde lui faisait les yeux doux.

— Les femmes craquent toutes pour lui, c’est ça ?

Jeremy sourit gentiment.

— Oui, mais ne te tracasse pas pour ça, Torry. Aucune d’entre elles n’a jamais été importante pour Mason, et il n’est pas du genre à aller voir ailleurs une fois qu’il est tombé amoureux.

— Arrête ! protesta-t-elle, qui a parlé d’amour ? Je ne crois pas au coup de foudre. Et Mason ne me connaît même pas.

— Si, il te connaît.

Son regard noisette pétillait de bonne humeur.

— Si tu ne crois pas au coup de foudre, on peut toujours appeler cela désir. Mais ça va beaucoup plus loin que ça. Dès qu’il t’a vue, Mason a su que tu étais son âme sœur. Evidemment, le désir existe… mais pas seulement. Maintenant qu’il t’a trouvée, aucune femme ne peut plus lui tourner la tête… c’est comme ça.

Il se tut un instant comme pour peser ses mots.

— Bien sûr, il pourrait aller avec d’autres femmes, mais il devrait se forcer à le faire, et détruire le lien qui existe désormais avec toi serait pour lui comme s’arracher le cœur.

Une certaine émotion dans la voix de Jeremy fit penser à Torrance qu’il parlait d’expérience, mais il n’alla pas plus loin, et elle n’osa pas lui poser la question.

— Euh, qu’entends-tu, au juste, par « rencontrer l’âme sœur » ? demanda-t-elle cependant.

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Il n’osait même pas la regarder. Adhérerait-elle à sa version des faits ? Il était hors de question d’admettre ce qui s’était vraiment passé.

— Je sais bien que les femmes tombent comme des mouches devant toi, mais je n’aurais jamais cru qu’un jour tu ferais un croche-pied à l’une d’elles pour la mettre à genoux…

Lançant un rapide regard en direction de la fille, Mason vit l’étincelle dans son regard laisser place à une expression de doute et de méfiance.

— C'était un accident, marmonna-t-il.

Il l’aida à se relever, et elle se laissa faire avec réticence.

— D’accord, c’est bon, murmura-t-elle en se penchant de nouveau pour récupérer son livre.

Il l’aida à se relever pour la deuxième fois et en profita pour frôler un sein rond et délicieusement ferme. L'avait-elle remarqué ? Sans doute, à en croire son expression sévère. Avec ses lunettes et cette tresse ridicule, elle ressemblait à une bibliothécaire enragée… et elle le foudroyait du regard. L'affront qui se lisait sur son visage était en complète contradiction avec la passion fiévreuse qu’il sentait bouillir juste en dessous de la surface sage et lisse.

— Vous sentez tellement bon que j’ai envie de vous dévorer, lâcha-t-il d’une voix enrouée.

A l’instant où il s’entendit dire cela, il sentit son visage s’enflammer. Elle le dévisagea avec stupéfaction.

Jeremy lui décocha un regard appuyé, puis renversa la tête en arrière et partit d’un grand éclat de rire.

— Bon sang, j’ai jamais rien vu d’aussi drôle… Mon vieux Mason, si tu pouvais te voir dans une glace…

— Burns, ferme-la, d’accord ?

— Depuis toutes ces années que je te connais, je ne t’ai jamais vu te rendre aussi ridicule devantune gonzesse.

— Ce n’est pas une gonzesse ! lança-t-il sèchement.

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— Tu n’es pas un bon parti pour une fille comme moi.

— C'est bien ce que je disais : c’est à cause de ce que je suis.

— Non ! répéta-t-elle en serrant les poings d’impatience. Et j’aimerais que tu arrêtes de retourner tous mes propos contre moi. Tu sais très bien à quel point je… Enfin, Mason, il suffit que tu me regardes pour que je…

Il eut un rire un peu étranglé.

— S'il y a un compliment dans tout ça, Tor, je ne suis pas sûr de le comprendre.

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— Salut ! dit-elle en l’apercevant.

Elle lui tendit une cuillerée de glace au chocolat.

— Tu veux partager ?

Mason s’avança vers elle en souriant.

— J’avais peur que tu aies fait un cauchemar.

Elle posa la coupe derrière elle d’un geste qui fit glisser l’une des bretelles de sa nuisette en coton, et partit d’un petit rire espiègle.

— Non, j’avais faim, tout simplement. Toute cette activité physique m’a ouvert l’appétit.

Elle posa le bout de ses doigts frais sur le visage brûlant de Mason et son expression se remplit de douceur.

— Tu sais, ça m’étonnerait que je fasse encore des cauchemars. Je crois que j’ai vaincu mes peurs, Mase. Grâce à toi.

— Dans ce cas, articula-t-il en souriant malgré le nœud d’émotion qui se formait dans sa gorge, je crois qu’il faut fêter ça, ma chérie.

Il prit une petite boule de glace du bout des doigts et la déposa doucement sur l’épaule de la jeune femme.

— Espèce de démon ! gémit-elle.

— C'est une protestation ?

Ses yeux sombres pétillant de malice, il lécha la glace de sa langue brûlante tout en posant ses grandes mains sur les cuisses nues de la jeune femme.

Elle fronça les sourcils, mais les coins de sa bouche se retroussaient déjà en un sourire.

— Ça ne servirait sans doute à rien, admit-elle. Vu la manière dont on s’est rencontrés, j’aurais dû me douter que tu étais diabolique.

— Pourtant, tu n’as encore rien vu, chuchota-t-il à son oreille.

Il referma ses longs doigts autour des cuisses de Torrance et l’attira vers lui pour qu’elle sente à quel point il avait envie d’elle. La jeune femme se serra contre lui en tremblant, stupéfaite que leur désir puisse s’enflammer de nouveau si vite.

— Et insatiable ! ajouta-t-elle.

— Je vais te montrer si je suis insatiable.

Il lui arracha un soupir en lui mordillant la gorge, puis, d’une pression de ses reins, frotta le tissu rêche de son jean contre la culotte en coton que Torrance avait enfilée avant de quitter la chambre.

— Et carrément débauché ! murmura-t-elle sur un ton de provocation, le souffle court.

— Attends, attends.

D’une main, il tira sur sa nuisette ; de l’autre, il enduisit de glace la pointe raidie de son sein. Elle fut choquée par la sensation de froid ; quand il referma sa bouche brûlante autour de son mamelon glacé, elle émit un cri de plaisir et s’arc-bouta pour laisser la sensation rayonner en elle.

— Prends la coupe de glace, dit Mason.

L'instant d’après, il la soulevait dans ses bras. Avec passion, elle noua les jambes autour de lui et ils passèrent le reste de la nuit dans un ravissement érotique, découvrant à quel point la crème glacée peut être différente lorsqu’on la déguste à deux.

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— Tes parents ? répéta Torrance comme si c’était la première fois qu’elle entendait ce mot.

— Oui, mes parents. Mon père et ma mère, tu vois ce que je veux dire ? Je ne suis pas une progéniture du diable, quoi que tu puisses en penser.

— Mais pourquoi ? Pourquoi viennent-ils ici ?

— Parce que si je ne les avais pas appelés pour leur annoncer que j’avais trouvé mon âme sœur, ils m’auraient tordu le cou quand ils l’auraient appris. Crois-moi, mieux vaut faire les présentations tout de suite, ce sera plus facile.

— C'est complètement dingue, gémit Torrance.

Elle se prit la tête entre les mains, elle sentait déjà les signes avant-coureurs d’une terrible migraine.

— A ta place, je me dépêcherais, dit Mason.

Puis, sans un mot de plus, il passa devant elle et quitta la pièce.

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— Non, il a juste essayé de me faire tourner en bourrique. Tu connais Simmons, il faut toujours qu’il en rajoute. N’empêche que mon instinct me dit que c’est lui qui l’a tuée.

— Et moi, tu sais ce qu’il me dit, mon instinct ? lança Hennessey.

Une jambe fléchie, une botte noire calée contre un tronc d’arbre, l’Irlandais porta sa cigarette à ses lèvres.

— Je t’écoute, Hennessey.

— Je suis certain qu’il n’a pas choisi au hasard cette magnifique rousse. Et, puisque Simmons est tellement déterminé à te nuire, je me demande si l’un de nous ne devrait pas prendre ta copine en charge.

Mason sentit une étincelle de rage pure crépiter en lui.

— N’aborde même pas le sujet, Hennessey. Pas maintenant.

Mais son collègue n’avait pas l’air d’humeur à se taire.

— C'est simplement une suggestion amicale, dit-il d’une voix traînante. Si l’un de nous la marquait en faisant le pacte avec elle, peut-être qu’il la laisserait tranquille. Tu pourrais reprendre la chasse aux rebelles, comme avant, sans avoir à te soucier d’elle. C'est bien ce que tu veux, non ? Une vie simple, facile, sans attaches sentimentales ?

— Cian…, murmura Brody sur un ton d’avertissement.

— Un mot de plus, dit Mason en écrasant sa cigarette au pied d’un arbre, et tu vas le regretter, Hennessey.

— Je te propose ça par amitié, Dillinger. Si tu ne veux pas que je la touche, je suis sûr que Brody sera partant… même si j’imagine mal la réaction de la petite quand elle verra sa bête. D’autant que Jeremy n’est pas au top de sa forme.

Il haussa les épaules comme s’il venait de prendre une décision, puis un sourire malicieux s’afficha sur ses lèvres.

— On dirait qu’il va falloir que je me dévoue. Ça ne me dérange pas, d’ailleurs. Cette petite m’a l’air… comment dire… assez affriolante.

— Je t’avais prévenu, enfoiré !

Brody se précipita pour les séparer, mais Mason s’était déjà jeté sur l’Irlandais. Ils atterrirent durement sur le sol humide, et la forêt s’emplit de leurs rugissements.

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Il était là, derrière elle, au pied du lit, juste au-dessus de son épaule droite… Haut de plus de deux mètres, couvert de poils, avec de grandes dents blanches et une gueule effrayante qui ressemblait à celle d’un loup.

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