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Argent

L’HISTOIRE: Neuf est une enfant vive et au caractère bien trempé, qui vit dans le nid, un lieu digne des héros de Charles Dickens, où les enfants, contre une paillasse pleine de puces et un quignon de pain, volent dans la rue pour le compte du bien nommé Poches et de son affreuse tête de fouine. Chaque jour, Neuf part donc faire les poches des badauds, guettant tel un chat sa proie. Et quand elle cible cette femme dans la rue et qu’elle lui fonce dessus… pour lui voler ce qu’elle tient, elle découvre son minuscule et étonnant butin , elle n’a pas le temps de dire ouf que… Dans sa main, se trouve un bibelot, tout petit, c’est une minuscule maison, comme “la maison de poupée d’une poupée” et zouh la voilà qui s’étend, s’allonge, cumule les étages et s’agrandit sous ses 👀 de sa vie. « Sa peau était du même gris que l'écorce, une queue noueuse pendait à son postérieur, et elle arborait deux grands yeux jaunes et deux dents ressemblant à des défenses... ainsi qu'un tablier blanc à froufrous et un plumeau glissé à la ceinture. « Mais... », fit Neuf, hébétée, en fixant la créature. Elle n'était plus sûre de savoir comment faire marcher ses jambes. « Toi en retard, gronda la chose. Nous attendre. » Et d'une large main rugueuse, elle saisit la jeune fille par le col, l'attira à l'intérieur et claqua la porte. » Et voilà Neuf introduite dans cette maison à l’orée de la magie, où elle découvre trois locataires pour le moins hors du commun parmi lesquels le troll majordome me à la syntaxe aussi réduite que cette maison, qui vient de l’extraire un peu brutalement de la rue dans laquelle elle se trouvait ! Vexant en plus le troll “Toi dame ?” Et ils l’attendent pour quoi ? Rompre une malédiction qui les empêchent de sortir ? Cela ne la regarde pas… Non, non et… bon après tout, si comme promis cela peut la rendre riche…

AVIS: Alors, la cible, ce sont les enfants à partir de 8 ans mais franchement j’ai apprécié ma lecture, entre Miyazaki et le marais qui pue, saupoudré de Crookhaven avec une once de Damsel… Drôle de mélange, mais drôle tout court et bien écrit. Neuf est une peste aux bords tendres, les personnages qu’elle prend sous sa coupe sont charmants, un peu trop pour moi qui aime la douce pétillance de Calcifer ou la ténébreusité d’Hauru du Château ambulant . Mais j’aurais adoré lire cela enfant, c’est charmant, gambadant, alerte, drôle et nul doute que ceux qui tomberont dedans se lanceront dans les suites qui existent déjà en anglais.

📚 Chronique et mise en scène photographique à retrouver sur @harper.a.lu.chat sur Instagram 📚

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Lu aussi

"La maison à l'orée de la magie" nous a été envoyé en service de presse, je remercie donc la maison De Saxus pour ce don.

Malheureusement, malgré un monde créatif et deux personnages attachants, avoir deux personnages désagréables et une tournure un peu exagérée me laisse perplexe.

Neuf est une jeune orpheline devenue voleuse pour le compte d'un individu nommé Poches, qui exploite d'autres enfants de la même manière. Quand Neuf tente de dérober la bourse d'une femme vêtue de rouge, elle ne se doute pas qu'à l'intérieur de celle-ci, elle va y trouver une toute petite maison. En frappant le minuscule heurtoir, elle permet à la maison de croitre, entre deux ruelles. Dans cette étrange bâtiment vit trois énergumènes, un jeune magicien, un troll majordome et une cuillère de bois docteur. L'étrange maison, qui défi toutes les lois de la logique et de la physique, est également maudite et il incombe à la personne qui a frappé à la porte de lever le sort. Ça, c'est si Neuf le veut bien, car dans les faits, elle trouve les habitants, la maison et la magie en général insupportable, sentiment partagé par le propriétaire de la maison vis-à-vis de leur "sauveuse".

Bon, commençons par le mat qui blesse: Neuf elle-même. J'ai déjà beaucoup de mal avec les personnages exécrables, dont les romans ados sont pollués en masse en ce moment avec tous ces saloperie de bad boys à la con, narcissiques et arrogants, qui se cachent derrière leur passé difficile pour se justifier d'être absolument imbuvables ( et stupides). Neuf me fait penser à eux. Oui, c'est une orpheline, comme des milliers de personnages de la littérature intermédiaire, d'ailleurs. Les auteurs anglais adorent les orphelins, j'aimerais bien savoir pourquoi. Cela-dit, comment peut-on éprouver quoi que ce soit envers ce genre de personnage hostile, au verbe violent, aux répliques cinglantes inutilement, même envers les gestes gentils, incapable de dire "merci" et motivée uniquement par la perceptive d'avoir de l'argent? On lui a promit un bijou précieux en échange de son sauvetage. Neuf évolue peu, sauf à la fin, quand elle a une révélation soudaine. J'ai lu souvent sur des anti-héros et des canailles attachantes, mais dans la plupart des cas, le travail autours de la psyché du personnage nous permettait de voir comment leur pensée évoluait et permettait aussi de mieux cerner comment certains gestes et paroles de la part du personnage laissaient entendre des qualités émergentes et un "bon fond" un "potentiel". On peut être un personnage bourru du fait d'une éducation carencé, mais rester avec un "bon fond", qui dans un contexte plus sain, se met à doucement s'épanouir. Mais ce n'est pas le cas de Neuf. À proprement parler, elle est interaction négative tout du long et j'étais déstabilisé devant la méchanceté qu'elle faisait preuve envers le gentil et empathique Éric, le troll majordome. Cette façon de se braquer est souvent traité par le biais de son enfance, où pleurer, accueillir la gentillesse et se laisser approcher constituent des faiblesses. Néanmoins, je m'interroge: Est-ce que sont des excuses? Est-ce qu'on en reviens à tous ces couillons allergiques aux couleurs qui en veulent au monde entiers qui ne veulent rien savoir de travailleur sur eux-même et se permettent d'être exécrables envers tous les autres? La réalité avec les personnages, tout comme les vraies personnes, c'est qu'ils ont tous des passé avec des difficultés. Certains choisissent la voie facile, celle de la lâcheté, de la violence et du matériel ( voie préférée des bad boys en somme) et d'autres optent pour l'émancipation, le travail sur soi et les projets d'avenir. Neuf semble faire parti du premier groupe presque tout le roman, avant de changer assez brutalement d'idée. J'ai également observé son milieu naturel. Certes, elle n'a aucune possessions et doit voler pour survivre ( comme des tas de personnages intermédiaire, je réitère), mais c'est à peu près tout. Je pense qu'il manque beaucoup de travail sur la psychologie du personnage principal pour mieux cerner sa vision du monde, car à mes yeux, elle est aussi unidimensionnelle que peu aimable et c'est malheureux. Elle me fait penser à cette brute stupide et profondément haïssable Feyre dans la série "Palais de roses et d'épines" un personnage absolument abjecte car inconstante, violente, méprisable envers les mauvaises personnes et complètement stupide. Neuf n'est pas stupide, mais elle manque de jugement et ne sait pas distinguer un ennemis d'un allier. Bref, elle restera dans ma mémoire comme un personnage raté à laquelle il est difficile de s'attacher et qui ne constitue ni un modèle ni un archétype rafraichissant.

Dans un moindre mesure, Sidéro n'est pas plus attachant. Dans le roman, sont "titre" de famille est resté inconnu, mais j'en propose un "Sidéro le narcissique". C"est un magicien, dont je mentionne tout-de-même l'amusant accoutrement constituer d'un pyjama et des pantoufles fort amusant, qui a une haute opinion de lui même et qui centre ses besoins au détriment des autres. Il ne sait pas reconnaitre ses torts, est généralement peu constructif dans ses commentaires et ne semble même pas réaliser la chance qu'il a d'avoir un cercle de proches. Il est à bout de toutes les altérations de sa maison, je peux comprendre, mais nivelai compétences sociales, c'est pauvre et tend vers le sabotage. Quand on apprend qu'un certain autre personnage lui en veut, c'est drôle, ça ne me surprend pas le moins le monde! La technique est complètement mauvaise, néanmoins et tend à me faire penser que ce même personnage est aussi très égocentrique.

Pour faire contrepoids, le personnage d'Éric était savoureux, même si lui aussi n'a guère évolué. Éric est une sorte de troll, mais à cause de la couverture où l'on voit sa silhouette, je l'imagine un peu comme un mélange entre Pumba du "Roi lion" et "Kronk" de "Un empereur nouveau genre". Éric a un tablier blanc, un plumeau qu'il affectionne et globalement, prend soin de la maisonnée. Neuf et Sidéro sont terribles avec lui, alors qu'Éric est le seul personnage à se soucier des autres. Il remarque les blessures, psychologique et physiques, il essai à maintes reprises de réconforter les deux jeune gens, avant de se faire rembarrer aussi sec, et vient même au secours une fois ou deux, pour se faire rembarrer une fois encore. Mais c'est quoi leur problème à ces deux morons! Bon sang, vous ne méritez pas Éric, bande d'ingrats, ses bonbons, ses mots gentils et son empathie sincère. Et je n'ai pas vu la moindre excuse dans tout ça. Honnêtement, je ne comprend pas ce que l'autrice a voulu faire avec ce personnage, qui est carrément une victime de violence sociale. Ce n'est ni drôle, ni constructif, ni pertinent. C'est juste triste.

Monsieur Cuillère ( "Docteur", en fait) me semblait le plus cool des personnages, il est même sur la tranche du livre...mais il est formidablement absent du deux tiers du roman, occupé à faire des expériences inconnues dans sa chambre. On n'aura pas le moindre indice sur ce qu'il y fait. Là encore, pourquoi donner autant de place à deux personnages détestables alors qu'il y en a deux tellement plus intéressants et rafraichissant? Il a un kilt et une moustache, c'est un bretteur en plus, et on ne nous le présente réellement que vers la fin?

La maison elle-même est une sorte de croisement entre l'univers loufoque d'Alice au pays des merveilles, l'hôtel parallell et la maison de Baba Yaga. Son extérieur ne correspond pas du tout à l'intérieur, les chambres sont innombrables et choisissent leur occupant, elle peut voyager entre deux craques de mondes, a des escaliers qui grincent pour de vrai, un squelette dans un placard ( ohoho, le jeu d'expression), des tableaux posé de travers avec les membres de la famille de Sidéro aux titres accrocheurs, un sucrier vivant, un débardas pas commode, un jardin-cimetière, etc. J'aime bien les maisons qui ont une âme comme c'est le cas ici, même si en soit, ça n'a rien de nouveau. Il a quand même de bonnes idées et la famille de Sidéro semble à la fois gothique et décalée, si je me fis à leur titres. Je réitère, il y a du bon dans ce roman, mais les bonnes idées sont éclipsées par des personnages principaux que j,avais fréquemment envie de tasser du bras: "Bon, ok, bouclez-là deux minutes, y a une maison génial derrière vous, je peux visiter?" Il y a pleins de détails sur cette maison que je n'ai pas eu, du coup, il y a un léger vide quand j'ai terminé le roman.

Côté rythme, là je dirais que s'est bien exécuté. Je l'ai lu en deux temps. J'ai remarqué quelques choix de verbe un brin exagéré et mal ponctué, comme par exemple "tonitruer" ou encore "vociféra". Ce sont des verbe qui sous-entende des hurlements, mais ni le contexte, ni la ponctuation suivent. Ça donne l'impression que Neuf passe son temps à beugler à la moindre insatisfaction, et des insatisfactions, elle en a.

Attention, il y aura des divulgâches à partir d'ici.

L'antagoniste est la mystérieuse sorcière rouge qui a posé une malédiction sur la maison. si elle m'est apparue effectivement mystérieuse au début, quand on découvre son vrai visage...quelle déception. On dirait une enfant immature, mesquine, égocentrique et un peu intense sur les bords, qui est chicane avec son frère pour une idiote histoire de "qui est le meilleur". Vraiment? C'est absurde, comme tournure. On parle d'un sort qui a le potentiel de tuer les habitants de la maison et on apprend que c'est pour une vengeance aussi futile qu'immature? On nous a décrit la sorcière comme une "vraiment maligne", mais je suis désolée pour elle, avec un magicien comme Sidéro, franchement, pas besoin d'être maligne. Et quand Sidéro admet enfin avoir tort, en se disant meilleur en magie qu'elle, il se rétracte juste après. Il ne semble pas l'admettre, finalement. Bref, où allons-nous avec tout ça? Il n'y a finalement pas grand chose qui ait réellement évoluer, la sœur et le frère sont toujours en froid, la maison est encore partiellement maléfique, Sidéro est toujours aussi con et personne ne reconnait l'importance de la présence d'Éric. Et je viens de voir que c'est une série, ce qui signifie que le petit groupe va vivre d'autres aventures. J'espère qu'Éric sera mieux traité et que les deux enfants/presqu'ado/ados ( Ils ont quel âge ces personnages au final?) vont trouver un peu d'humanité quelque part dans leur voyage, ça leur fera du bien.

Pour la fin, j'ai du mal à comprend le volte-face de Neuf. Elle peste de long en large sur la maison, insulte ses habitants, répète à moult reprises qu'elle déteste la magie ( une magie loufoque et pas toujours agréable, je concède), mais passer de "je vais regagner ma liberté grâce à un gros bijou" à "Je suis exactement à la bonne place" a de quoi laisser perplexe. Il n'y avait pas beaucoup de préparation pour cette transition et aucune réelle évolution psychologique en ce sens. Elle se déouvre même soudainement une compassion et une générosité entre offrant un "thé aux fraises" ( référence à la devise de Poches, "la vie ne donne pas de fraises") à Poches, dans une sorte de "cadeau de départ" et offre le fameux bijou au bibliothécaire qui lui a apprit à lire pour qu'il rénove ladite bibliothèque et regarnisse ses rayons. Un beau geste, mais un geste un peu sorti de nul part. Par ailleurs, je n'ai pas comprit la fin: D'où sort le blason? Comment a-t-elle retrouver la maison? Pourquoi la sorcière rouge se donnerait la peine de porter le thé?

Donc, ce roman avait du potentiel, mais les deux personnages principaux ne m'ont pas convaincu. La chimie entre les personnages est un peu malsaine, et le final un peu bâclé. C'est dommage, il y a avait de bonnes idées.

Pour un lectorat intermédiaire du 3e cycle primaire, 10-12 ans+

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Or

Hello! J'espère que vous passez un bon dimanche !! À la recherche d'une lecture jeunesse ? Ne passez pas à côté de "La maison à l'orée de la Magie"

Une jolie histoire nimbée de magie avec des personnages improbables. Neuf est une petite voleuse intrépide, mais voilà qu'en dérobant ce qui semble être un simple bibelot, elle se retrouve dans une maison incroyable. Un magicien, une cuillère, un troll et bien d'autres sont prisonniers à l'intérieur et seule Neuf pourra les délivrer de la malédiction que leur a jetée la sorcière. On enchaîne les situations loufoques et on s attache à cette petite orpheline qui n'a jamais connu l'amitié ou la famille.

Neuf bougonne beaucoup, s'agace mais elle a bon fond et on comprend rapidement que ce n'est qu'une carapace qu'elle s'est construite pour survivre. Éric le troll et les maladresses de Sidero feront rire les plus jeunes et le côté famille d'adoption saura toucher les plus grands.

J'ai passé un très bon moment, bien que là on soit vraiment sur un roman jeunesse à partir de 8 ans je dirais. Si vous cherchez un roman à offrir, n'hésitez pas en plus la cover est vraiment canon!

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Argent

Petit jeunesse vraiment sympa.

Il est assez court, très addictive, l'intrigue de fond est très chouette mais surtout il est à mourir de rire.

J'ai grandement apprécié nos différents protagonistes et cette maison mystérieuse, fantastique et un peu loufouque.

Et la petite morale à la fin qui fait toujours plaisir !

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Argent

Ce roman jeunesse s’est lu comme on déguste une guimauve, c’était léger avec un goût de pas assez !

Neuf est une petite fille qui a dû apprendre tôt à se débrouiller dans la rue. Hébergée par Poche, un vieux qui oblige les enfants qu’il recueille à voler en échange d’un toit miteux, toujours rabaissée, elle a appris à ne compter que sur elle même, et que montrer ses sentiments c’était être faible. Elle m’a extrêmement touchée car sous sa carapace on sent que Neuf est sensible et espère des jours meilleurs.

Elle finit par voler une petite maison qui est en réalité magique et elle y fait la rencontre de personnages aussi étranges qu’attachants : Éric le majordome troll, Dr Cuillère (une cuillère en bois en kilt) et le maître de maison, un magicien dépouillé de ses pouvoirs, coincés dans ce manoir loufoque aux multiples pièces incongrues.

J’ai littéralement a-do-ré Éric le troll ! Il est tellement sensible et empathique, j’aime sa façon de s’exprimer avec seulement 2 mots, d’appeler Neuf « Dame », et son côté maladroit un peu nigaud m’a bien fait rire.

L’histoire regorge d’aventures palpitantes et de rebondissements inattendus qui m’ont tenue en haleine jusqu’à la dernière page ! J’ai hâte de lire la suite des aventures de Neuf et des habitants de cette fabuleuse maison.

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Argent

Neuf, orpheline, vit de vol à la tire. Un jour, elle vole une maison miniature dans la bourse d'une dame fortunée. Alors que la maison devient immense, elle toque à la porte et se retrouve dans un lieu sans dessus dessous subissant une malédiction.

Ce roman jeunesse commence sur les chapeaux de roue et le rythme ne faiblit pas ensuite. Je l'ai lu rapidement et je l'ai bien aimé !

Après un début qui a un petit côté Oliver Twist, avec Neuf qui est orpheline et vit sous le joug d'un homme à qui elle doit rapporter ses larcins, on rentre dans un monde beaucoup plus merveilleux et surtout complètement loufoque.

Un magicien sans pouvoir, un troll en tablier et une cuillère épéiste en kilt, ce sont les personnages surprenants que vous rencontrerez. Ils se chamaillent beaucoup et ils m'ont fait bien rigoler. J'aurais aimé qu'ils soient quand même un peu plus développés.

L'histoire est classique : il faut résoudre une énigme pour lever la malédiction, par contre le traitement, lui, est original. L'auteur a mis beaucoup d'inventivité dans son texte que ce soit au niveau de ce qu'il se passe dans les différentes pièces de la maison ou des créatures rencontrées.

Neuf est une héroïne qui n'a pas de relations faciles avec les autres mais j'ai beaucoup aimé son amour pour les livres qui "sauvent" sa vie qu'elle soit quotidienne ou dans l'épreuve de la maison.

Bref, La maison à l'orée de la magie est un petit bonbon acidulé qui plaira beaucoup aux jeunes.

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Or

Neuf, une orpheline vole pour le compte de Poches, qui lui offre en échange le gîte et le couvert jusqu'à ce qu'elle trouve une maison miniaturisée susceptible de lui ouvrir les portes de la liberté en vivant une histoire des plus extraordinaires...

On plonge dans un univers étrange et original avec ce roman, qui peut se lire dès l'âge de huit ans. Neuf est une gamine attachante qui trouve dans la lecture et l'imaginaire une échappatoire à sa vie de misère. Dégourdie et pleine de vie, elle fonce tête baissée dans des aventures divertissantes et potentiellement risquées.

L'univers dans lequel elle bascule est exquisément farfelu, avec des situations à se tordre de rire. Les personnages ont une excentricité et une personnalité propre et dégagent ce qu'il faut de "creepy" et de magique pour nous séduire. Les objets ne sont pas en reste, et que dire des créatures en tous genres ou encore des Parfois morts, non-morts ?

L'écriture est rythmée, facétieuse, avec une maison dont les charmes à la fin n'ont plus de secret pour nous. L'auteure nous invite ici à jouer et à nous divertir dans une comédie tragique qui heureusement finit bien...

Laissez-vous surprendre, et n'oubliez pas que la magie existe, elle est en vous, il suffit juste d'ouvrir la porte et d'y croire un peu !

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Lu aussi

Super livre magique pour jeune ado. Beaucoup d'humour avec des personnages haut en couleur.

J'ai beaucoup aimer ma lecture, Spoiler(cliquez pour révéler)le faut que toute l'histoire sois une querelle de fratrie est vraiment drole

J'ai découvert grâce à booknode qu'il y avait 4tomes en vo. Je continuerais de les lire quand les vf sortiront

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