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Une découverte sympathique, une idée originale qui fait converser une maison québécoise et sa nouvelle occupante française. A découvrir !

Belle histoire pleine d'humour, de souvenirs, de discussions entre une maison et une jeune femme. Elles s'entraident, chacune prenant le positif de l'autre. J'ai adoré et j'aurais aimé rencontrer cette maison

Mon premier coup de coeur de l'année 2023, et il faut dire que j'avais beaucoup d'espoir et d'attentes envers ce livre, et sa lecture ne m'a pas déçue !

Tout d'abord, je dois souligner la beauté de la couverture, qui associée au titre "La Maison Poussière" ne pouvait que m'attirer et m'a fait l'effet d'un coup de foudre visuel. Je devais posséder ce livre, et je l'ai reçu en cadeau d'anniversaire l'année dernière <3

Cette illustration, quelle harmonie des couleurs et des traits, cette façade aux lattes de bois peintes en bleu, la fenêtre, et ces branches d'arbre mauves et nues couvertes d'une épaisse couche de neige devant, qui jettent leur ombre discrète sur la paroi de la maison, un vrai régal pour les yeux ! Les traits sont précis mais doux, j'adore.

Pour en venir à l'histoire, elle m'a conquise. Les chapitres alternent entre la voix de la jeune femme qui emménage seule dans cette maison et entreprend de la décaper et la retaper de fond en comble, avec une telle rage et énergie que cette entreprise ne peut que être motivée par la douleur et la tristesse, on le comprend rapidement. Et la voix de la maison, qui raconte l'arrivée de cette inconnue en son sein, et à travers les yeux de ses murs, on découvre et fait connaissance avec la mystérieuse habitante. Les intrigues secondaires, les histoires familiales des anciens habitants de la maison, les jumelles Dumontine et Emérencienne, et leurs proches, le passé de la jeune femme, sont importantes bien sûr, mais ces intrigues restent au second plan pour moi.

Le plus important, ce qui m'a marquée et charmée et emportée, c'est la relation qui se développent entre la maison et l'habitante. Leur adversité face à la perte, à la colère, la peur, face à l'hiver impitoyable du Québec, cette glace et ce froid meurtrier. Face au passé aussi.

Quel bonheur, mais quel bonheur ! Je n'ai pas honte de l'avouer, j'aimerais avoir pour amie la maison Poussière, une amie comme elle. J'aime les maisons. Et j'ai aimé découvrir celle-ci en particulier.

Merci à l'autrice, Valérie Péronnet, pour cette lecture, un pur moment de bonheur !

Un merveilleux petit livre à lire avec une bonne tasse de chocolat chaud de préférence en hiver... Je n'ai pas pu résister dès que je l'ai acheté je l'ai dévoré. Ce livre est un gros câlin qui fait du bien. C'est rempli de tendresse... de nostalgie. Une petite. D'autant plus si on aime les veilles maison qui craquent.

Un joli roman, original tant dans le thème que dans la structure, les deux protagonistes se répondant l'une l'autre, la maison et la femme blessée.

La plume est délicate, sensible et parfois même poétique. Et malgré tout cela il m'a manqué un petit quelque chose afin que j'adhère pleinement.

Un court roman qui met en scène une âme en peine française dans une charmante bicoque québécoise. Le texte est savoureux avec les nombreuses expressions locales et plein d’émotions et de douceur. Une jolie découverte.

Belle découverte.

Très poétique.

C'était parfait. C'était essentiel, ce roman est venu au bon moment et j'ai fini en larmes. Ça faisait très longtemps que je n'avais pas lu une histoire d'une traite, en commençant au petit matin sans me préoccuper du reste, et je ne pensais pas que cette Maison Poussière m'emporterait aussi loin. Malgré toute la peine que ce livre peut porter, il m'a fait me sentir en sécurité. Tout comme pour cette jeune femme, il m'a délié petit à petit pour réchauffer mon cœur grâce à la douceur d'un foyer.

Je n'ai pas vraiment les mots. C'était beau, c'était tendre. J'en avais besoin.

Merci.

A suivre pour savoir qui parle, que viens faire cette française dans l'histoire, qui sont tous ces personnages olé olé mais tellement sympathique de cette petite maison qui nous parle. Et oui les objets ne font pas tout la famille ça fait beaucoup