Commentaires

J'ai trouvé ce roman beau et philosophique.

Il y a des morales et des leçons de vie (et ça j'adore vous commencer à le savoir)

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La plume de l'auteure est fluide et donc très agréable à lire.

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On en vient quelques fois à se remettre en question sur certaines choses donc ça aussi c'est vraiment un bon point ;)

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Bon après, devoir se retaper tour ce qu'il s'est passé avec le coronavirus c'était pas le top. Après ce roman montre quand même à quel point la France a prit pour de la rigolade le virus, et à quel point les gens ont été naïfs à tout croire ce que les politiciens et autres disaient.

⠀Il y a eu des passages avec des remarques à propos du Coronavirus, où je me suis mise à haïr des personnages tellement ils étaient cons. Donc voilà pour vous dire.

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Bon après il y a des fautes de mots, des mots manquant par endroit donc voila.

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Sinon j'ai beaucoup aimé les thèmes abordés dans ce roman : la danse, les accidents, l'acceptation de devoir renoncer à quelque chose, le courage, la motivation, l'ambition, mais aussi les difficultés financières et beaucoup d'autres thèmes très diverses.

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Ce roman est vraiment un melting pots de pleins de sujets intéressants et important et j'ai beaucoup aimé.

Et puis je finirai par dire que la fin m'a surprise, m'a fait sourire et j'ai enfin eu l'impression d'être réellement dans un roman feel good et c'était vraiment agréable. Et je ressors de ce roman avec une seule phrase en tête :

Toujours croire en soi et en ses rêves ;)

A la fin de ce livre, on a une impression d'inachevée ce qui est bien dommage.

L'histoire dans le fond est bien avec différents personnages qui ont leurs propres caractéristiques mais qui sont tous réunis ensembles tous les jours au restaurant : la petite fabrique du bonheur. On a une vue de leur vie et de leur envie pour la suite mais le coronavirus s'emmêle et je trouve ça vraiment dommage. ça coupe la rythmique de l'histoire et tout s'enchaîne trop vite à la fin.

Je vais lire : Mes yeux pour ton coeur pour peut-être avoir une suite mais malheureusement en lisant le résumé, je m'aperçois que j'aurai du commencer par celui-ci vue que c'est la rencontre avec la chienne Flora. J'espère quand même qu'il y aura une suite dans ce livre qui est en lien avec la petite fabrique du bonheur car on est quand même resté sur notre faim. Avoir un saut dans le temps où tout le monde a repris sa vie normalement et que les personnages reprennent leurs espoirs. Mêmes les animaux ont leur quelques moments de gloire. Tout ce beau monde se mélange très bien et chacun apporte sa touche.

On veut vraiment une suite. ça serait très plaisant de retrouver toute la troupe de la petite fabrique du bonheur qui porte bien son nom. Tout le monde s'entraide et retrouve le chemin de leur vie.

Comment vous parlez du café « La petite fabrique » sans vous parler de Meryl qui est arrivée là par hasard.

Rien ne la destinait à atterrir là, pourtant les épreuves de la vie l’y ont porté et il n’y avait pas meilleur nouveau départ.

De sa simple présence et de ses quelques idées, elle illumine la vie des gens.

Elle devient le porte bonheur et aussi le liant de tous les habitués du café ainsi que des nouveaux venus.

J’ai vraiment beaucoup aimé tous les personnages que j’ai rencontré en même temps que Meryl.

L’histoire d’amour entre Meryl et Robin, l’un des habitués du café, se crée tout en douceur, au détour des révélations sur leurs épreuves respectives.

La chronologie étant basée sur la crise du coronavirus permet de nous situer dans une période proche et la projection est d’autant plus importante.

D’ailleurs j’ai pu observer dans l’évolution du livre ce que j’ai pu constater lors de cette période de crise (de laquelle nous ne sommes pas encore sortie malheureusement) les réactions aussi différentes les unes que les autres mais la plus grande crainte du confinement pour certains, que de la maladie en elle-même.

Outre cet aspect, la plume de l’auteure est extrêmement fluide. Le déroulement du roman peut paraître prévisible mais j’ai eu d’excellentes surprises et de beaux rebondissements que j’ai vraiment apprécié.

La découverte de « La petite fabrique » et de tous ses habitués de plus ou moins longue date m’a donné envie de pousser la porte d’un tel café où il y règne une belle ambiance et une vraie entraide entre tous.

Un roman feel-good à consommer sans modération comme l’excellent chocolat chaud servi à « La petite fabrique », du bonheur !

Je vous le recommande !

Un roman feel-good avec une histoire d'amour toute douce, vraiment mignonne. Le premier roman, je crois, que je lis en rapport avec le Coronavirus, quelque chose de familier et de compréhensible. Tout comme pour la majorité des gens dans ce roman ce n'est pas la maladie qui fait peur mais bien le confinement, la solitude, l'éloignement des personnes aimées, ça a été plutôt bien mis en avant ici. Ce café, cette fabrique du bonheur est un endroit que j'aimerais beaucoup visiter, l'ambiance y est agréable et la solidarité est de mise. C'est une sorte d'encouragement pour ces temps si compliqués. Une chose que j'ai bien aimé aussi c'est le thème de la danse qui est très présent. J'ai eu un coup de coeur pour le personnage de Meryl, elle est touchante, volontaire, obstinée, généreuse. Les autres personnages ne sont pas en reste mais Meryl est vraiment le point fort du roman. L'autrice a un style fluide et agréable, facile à lire qui nous permet de dévorer ce roman. Je le conseille à tous les amoureux de l'amour et de la douceur.

https://leboudoirdulivre.wordpress.com/2020/05/15/la-petite-fabrique-du-bonheur-dalice-quinn/

2006.

Meryl est l’enjeu des rêves de son père. Pour être sa fille parfaite, elle s’entraîne pour intégrer une prestigieuse école de danse. A l’inverse des autres pères, le sien ne fait que l’entraîner, ne fait que la juger, elle est devenue sa marionnette, sa chose. Pour espérer son amour, elle s’auto-culpabilise en permanence comme ce fut le cas lorsqu’elle n’a pas été retenue à l’audition dont son père rêvait pour sa carrière de danseuse étoile.

Janvier 2020.

C’est sous un déluge que Meryl arrive à La Petite Fabrique, le café local tenu par Amanda et Antoine où se côtoient des habitués comme Hélène, une bibliothécaire qui fait tout pour rester invisible ; Amédée, aveugle accompagné de sa chienne Flora, Amanda qui tient à sauver les âmes perdues, humains ou animaux…

C’est ici que Meryl qui se sent coupable de tout va découvrir qu’elle peut aider beaucoup de gens et va retrouver goût à la vie.

Serveuse, elle se sent bien dans La Petite Fabrique avec ses habitués et notamment Robin qui est comme elle, une âme égarée.

Réciproquement, ils sont attirés l’un par l’autre mais leur culpabilité et leurs secrets vont-elles ruiner toutes tentatives de premier pas ?

Meryl retrouvera-t-elle le goût de son rêve perdu avant même qu’il ait commencé ? Robin saura-t’il trouver un sens à sa vie qui lui paraît si vide, si inutile ?

Le combat s’annonce rude et il leur faudra lutter pour une fin heureuse !

Sur fond de Coronavirus, Alice Quinn dévoile un beau feel-good sur ces lieux improbables où on soigne les vies brisées.

Les rêves, les espoirs, l’amour… La liberté d’Alice et celle que prennent ses personnages sont une force et que dire de la manière dont perçoivent les habitués de La Petite Fabrique du confinement, des mesures du gouvernement… C’est ce qu’ont pensé les français, de par leurs avis, leurs caractères, on a l’impression d’échanger nos points de vue avec eux.

Plus qu’un feel-good, Alice Quinn nous fait connaître des gens pour qui l’entraide est le quotidien, un moment de partage où le temps de notre lecture, on a l’impression de faire partit nous aussi d’une famille. Hommage à mes racines italiennes, l’auteur donne son avis sur le plan mis en place par le gouvernement face à cette pandémie, amenant une réflexion et une prise de conscience.

La résilience et la renaissance quand tout nous semble perdu, que notre vie est décidée d’avance, l’impression de n’être plus libre de ce que l’on veut être, d’être incompris, de ne pas se sentir intégré dans une société où on ne rentre pas dans les cases… Cette histoire a fait écho en moi de par les ressemblances avec Meryl, je suis très fière d’avoir pu découvrir son histoire grâce à la gentillesse de son auteur.

Dans ce lieu si accueillant, Meryl va prendre confiance en elle et se lancer dans des initiatives pour éviter que son refuge ne soit fermé.

Un club de lecture entre mélange des sens et du goût, un chat particulier, un bon chocolat chaud, une écoute et un intérêt dénué d’intérêts pour chacun, La Petite Fabrique a une âme, celle des nombreuses personnes qui veulent une fin heureuse.

Tout comme ce virus dont on ne sait quasiment rien et qui a semé la paranoïa dans toute la France, le Coronavirus sème le chaos parmi les habitudes des clients quotidiens de La Petite Fabrique…

N’hésitez pas à découvrir le nouveau roman d’Alice Quinn, une vraie bouffée d’oxygène et de vie qui permet une certaine réflexion sur ce qui est important en ces temps où notre vie n’est qu’un chiffre pour certains et où l’humain est au cœur de la vie pour d’autres !

Prenez le temps de vous installer confortablement avec un bon chocolat chaud accompagné d’une madeleine au cours d’une séance de lecture avec un chat polydactyle sur vos genoux… Vous êtes au bon endroit, à La Petite Fabrique où on répare les âmes brisées !