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Ce livre est une INCITATION à la HAINE. Un long flot de VICTIMISATION et de PARANOÏA.

Du simple fait que l'auteur est née au Maroc, elle se saisit de ce prétexte pour ACCUSER les blancs, pleurer sur son sort et attiser la haine raciale. Cette auteur est folle et paranoïaque en plus d'être "indigéniste", "racisée", raciste, "colonisée", "wokiste", "intersectionnelle", anti-flic, et incitatrice au désordre (cf. brûler, brûler), etc.

Avec de telles insultes contre la République française, qui est pourtant le pays le plus généreux du monde envers les migrants, il ne faut pas s'étonner que les partis de Marine Le Pen et Eric Zemmour soient de plus en plus populaires. Ne pas s'étonner qu'Anne Hidalgo soit surnommée Mme 3% dans les sondages des présidentielles 2022. Car la gauche, en quête d'électeurs, n'a fait que cultiver et renforcer ce discours victimaire depuis 40 ans.

À un moment, l'auteur écrit :

"Comment pourrait-on laisser nos enfants grandir sans nos repères culturels et spirituels alors que nous savons que, dans cette société, c’est l’aliénation qui attend ceux et celles qui grandissent sans héritage solide ? Comment accepter que nos enfants soient ainsi amputés dans leur construction, et aliénés, alors que nous-même expérimentons à quel point il est difficile de s’en remettre, qu’une vie entière ne suffit pas à reconstruire ce qui a été détruit?"

Ses enfants ne grandiront pas sans culture puisque c'est le principe même de l'assimilation à la française : l'étranger doit faire sienne la culture française. Il a un devoir d'assimilation.

D'ailleurs le droit de la nationalité française stipule bien cette condition d'assimilation pour devenir français (note). Qui hélas a été de moins en moins exigée par les gouvernements successifs, nous menant aux tristement fameux "territoires perdus de la République".

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Mme Ouassak conteste les conditions mêmes de la naturalisation, elle refuse les devoirs d'être Français, en revanche, elle en accepte bien les avantages : école, université, santé, etc. Elle affiche résolument une posture ANTI-COTOYENNE.

Mais alors, pourquoi ne retourne-t-elle pas dans son pays d'origine, le Maroc, puisque la France l'a tellement malmenée ? Le Maroc lui aurait-il offert les mêmes conditions de réussite dans ses études ? Serait-elle moins malmenée par le roi marocain ? Lui accorderait-il la même liberté d'expression ?

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2ème extrait

"[...] les jeunes Noirs et Arabes vivant dans les quartiers populaires, qui, lorsqu’ils sont excédés par les violences et les humiliations qu’ils subissent, n’ont d’autres choix que de brûler quelques voitures et quelques poubelles pour exister dans l’espace public et se faire entendre. "

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VICTIMISATION, c'est de la victimisation.

Remarquons tout de même qu'implicitement l'auteur reconnait que ce sont bien "les noirs et arabes" qui incendient les cités. Pas les petits blancs.

Il est clair qu'elle justifie ces violences ! Mettons cela en parallèle avec les milliards dépensés pour la politique de la ville, donc pour des étrangers et descendants d'immigrés, délaissant d'un autre côté les "Français de souche". Car autant d'argent n'a jamais été injecté en province, les services publics, les médecins les ont désertées. S'il n'y avait pas tous ces saccages récurrents depuis des décennies, peut-être les villes de banlieue seraient-elles plus vivables. La culture des "indigènes" ne leur permet pas d'avoir conscience que mettre le feu, c'est voir l'argent partir en fumée ? Autant d'argent qui fera défaut à leurs petits frères et sœurs (on est prolifique en banlieue) quant on met le feu à leurs écoles et à leurs bibliothèques.

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PARANOÏA et HAINE ANTI-FLIC

Extrait 3 - Idéologie du flic tueur, propagée aussi par LFI, NPA, la famille Trahoré.

"Tous les bâtiments de France et de Navarre réunis ne valent pas la vie d’un seul de nos fils assassinés impunément. Cela devrait être une évidence. Que brûlent toutes les bibliothèques si cela peut apaiser un peu de la douleur et de la tristesse des familles de victimes de crimes policiers, et celles de l’ensemble des enfants des quartiers populaires dont la vie, aux yeux de l’État, vaut moins que la brique et le béton."

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Ce à quoi nous répondons : les Territoires perdus de la république, sont des tueurs de flics.

Si elle lisait les chiffres, elle verrait le nombre de policiers blessés, tués par les habitants des banlieues. Mais l'auteur ne veut pas entrer dans cette réalité. Sinon son discours d'idéologue forcenée et irresponsable s’effondrerait.

Exemple de message anti-flic adressé aux parents :

“On a peur que nos enfants soient blessés ou tués” : comment des familles noires et arabes apprennent à leurs enfants à vivre avec les forces de l’ordre" (Réf. Blog asso, voir page Couverture).

On voit par ce type de propagande que l'on instille une haine anti-flics dès le plus jeune âge. A noter que les rixes entre-bandes, grandes pourvoyeuses de mort ne sont pas organisées par la police.

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Note : Selon l’article 21-4, « le gouvernement peut s’opposer, par décret en conseil d’État, pour […] défaut d’assimilation, à l’acquisition de la nationalité française par le conjoint étranger dans un délai d’un an… ». Selon l’article 21-24, « nul ne peut être naturalisé s’il ne justifie de son assimilation à la communauté française, notamment par une connaissance suffisante selon sa condition de la langue française ».

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Fatima Ouassak est désormais sous les feux de la rampe, qui est porte-parole de l'association Front de mères à Bagnolet.

Le journal Le Figaro enquête et titre :

"Dans cette commune de Seine-Saint-Denis de 36.000 habitants, la polémique enfle autour du soutien apporté par la municipalité à une association indigéniste. Un territoire miné par l'idéologie communautariste et racialiste."

"Un petit groupe d'indigénistes est désormais aux manettes de la mairie et s'en donne à cœur joie, soupire une habitante. Ces individus ont décidé d'en faire leur petit laboratoire à ciel ouvert du racialisme et du communautarisme. Cette conquête de leur idéologie toxique a été rendue possible par la main tendue du maire socialiste Tony Di Martino. Bagnolet est dorénavant une véritable BARONNIE ISLAMO-INDIGÉNISTE, un terrain sur lequel ils imposent leurs propres règles du jeu.»

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