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Respirant a fond, Mat se faufila entre deux treillages de rosiers au prix seulement de quelques piqûres et accrocs dus aux épines et s'engagea sur l'allée dallée à la suite des soldats. Il tenait la lettre d'Elayne devant lui de façon que le sceau au lis d'or soit nettement visible, et mit mentalement au point ce qu'il avait exactement l'intention de dire. Quand il s'était déplacé furtivement, les gardes n'avaient cessé de surgir comme des champignons après la pluie mais, maintenant, il parcourut presque la longueur du jardin sans en apercevoir un seul. Il dépassa plusieurs portes. Entrer dans le Palais sans permissions ne serait pas une bonne idées, les Gardes pourraient faire d'abord des choses désagréables et écouter ensuite mais il commençait à songer à franchir une porte quand elle s'ouvrit et un jeune officier non casqué, avec un unique nœud doré sur l'épaule, sortit à grand pas.

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Ils disent aussi que je suis le Dragon Réincarné. Tous le disent. Les vivants le disent, et les morts. Cela n'en est pas vrai pour autant. J'étais obligé de les laisser me proclamer tel. Par devoir. Je n'avais pas le choix, mais cela n'en fait pas une réalité.

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— Que la Lumière consume mon âme ! vous n’avez pas d’hommes sous la main ? Ils ne sont pas bons à grand-chose, à part soulever des objets lourds et nous traîner dans les jambes – sans oublier les baisers et tout ce qui va avec – mais quand il faut livrer une bataille ou capturer des voleurs, il n’y a pas mieux ! Andor est aussi civilisé que Tear. Vous n’êtes pas des Aielles.

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Les hommes oublient mais ne pardonnent jamais. Les femmes, en revanche, pardonnent mais n'oublient jamais.

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-Pas de questions, tu te souviens ? Et je m'appelle Perrin, Zarine. Pas "paysan", ni "forgeron" ni je ne sais quoi d'autre. Perrin Aybara.

-Moi, c'est Faile, grand chevelu ébouriffé !

Avec un ricanement mauvais, Perrin talonna Trotteur, qui démarra en trombe. Pour ne pas basculer de son dos, Zarine dut s'accrocher à Perrin comme a un marin à son mât, pendant une tempête.

Le jeune homme crut l'entendre rire aux éclats.

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Et c'était écrit que nulle main autre que la sienne ne se servirait de l'Épée enfermée dans la Pierre, mais il l'en a sortie, comme du jeu dans sa main, et il a brûlé le monde par sa gloire. Ainsi cela a-t-il commencé. Ainsi donc chantons-nous Réincarnation Ainsi donc chantons-nous le sa commencement.

Extrait de : Do'in Toldara te, Chants de la Dernière Ère, In-Quarto Neuf: La Légende du Dragon composée par Boanne, maîtresse de Chant a Taralan, Quatrième ère.

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L’homme en noir n’avait pas crié, mais ça n’était pas utile, car ses yeux et sa bouche se transformèrent en trois trous ouverts sur une abominable fournaise. De quoi calmer les protestataires les plus virulents…

Perrin reconnut alors le personnage. C’était Ba’alzamon ! Perché il ne savait où, l’apprenti forgeron regardait Ba’alzamon en personne. La peur lui enfonçant dans le corps des dizaines de piques acérées, Perrin se serait volontiers enfui, mais ses jambes refusaient de lui obéir.

Tire-d’Aile s’agita nerveusement. Sentant l’épaisse fourrure, sous ses doigts, Perrin la serra très fort. Se raccrocher à quelque chose de réel ne pouvait pas lui faire de mal. De plus réel, en tout cas, que la scène qu’il contemplait.

Mais tout était vrai, hélas…

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Les hommes se pressèrent les uns contre les autres, tremblants de peur.

— Vous aviez des missions à accomplir ! tonna Ba’alzamon. Certaines furent remplies, et d’autres non. (De temps en temps, les flammes remplaçaient ses yeux et sa bouche, leur rougeoiement se reflétant dans les miroirs.) Ceux qui ont été désignés et marqués pour mourir doivent mourir. Et ceux qui doivent m’appartenir ont l’obligation de se prosterner devant moi. Trahir le Grand Seigneur des Ténèbres est impardonnable.

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Se penchant sur sa selle, Perrin plissa les yeux pour mieux voir la dalle de pierre à moitié dissimulée par les mauvaises herbes, près du bas-côté de la piste. Cette artère de terre battue, appelée la route de Lugard depuis que les voyageurs approchaient de la rivière Manetherendrelle (et donc, de la frontière du Murandy), était jadis pavée, du moins d’après ce qu’avait dit Moiraine quelques jours plus tôt. De temps en temps, des vestiges comme celui-là émergeaient encore à la surface. Et la dalle que contemplait Perrin portait une très étrange marque. L’empreinte d’un gros chien, aurait-il juré, si les canidés avaient été capables de laisser une trace dans la pierre. De toute façon, il n’y avait aucune patte de chien imprimée dans la terre et aucune odeur canine ne venait agresser les narines de l’apprenti forgeron. En revanche, il captait dans l’air une senteur de brûlé – presque comme les relents de soufre qui planaient longtemps sur le site d’un feu d’artifice, les lendemains de fête. À l’endroit où la route rejoignait la rivière, une cité se dressait dans le lointain. Des enfants avaient peut-être chipé quelques fusées aux Illuminateurs, histoire de s’amuser un peu…

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