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— Belle soirée, Travis, dit-il en acceptant la bière pression que le père de Jessie lui tendait.

Grand, blond et bourru, l’homme semblait adorer sa fille unique, songea Liam. Son père à lui ne lui avait jamais porté une affection déclarée. Jusqu’à ces derniers temps, tout au moins. Le cancer de sa mère avait eu un seul avantage : il avait resserré les liens familiaux.

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Liam se maudit : il n’était même pas capable de tenir vingt-quatre heures sans parler à Aubrey !

L’envie de partager avec elle ce qu’il découvrait dans le ranch de Travis Clayton le démangeait. L’endroit dépassait tout ce qu’il avait imaginé. Il écarquillait les yeux comme un enfant. Où que son attention se tourne, tout était différent : l’environnement, les sons, les odeurs. L’air pur l’enchantait. Ici, il pourrait faire son jogging sans emplir ses poumons de l’air vicié de New York. L’absence des bruits de la ville le déroutait presque. Oh bien sûr, le ranch avait ses bruits propres. Mais rien à voir avec le bourdonnement incessant des grandes villes.

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La semaine de Liam avait été une lutte de chaque instant entre ses devoirs familiaux, son amitié pour Cade et son désir pour Aubrey. Il s’était parfois senti proche de craquer.

Il avait passé le plus clair de son temps au bureau, à éviter les regards entendus de Cade, et à faire des pieds et des mains pour pacifier les annonceurs nerveux afin d’apaiser les tensions entre les collaborateurs de la Elliott Publication Holding. Le soir, il retrouvait Aubrey chez lui. Elle dissipait ses maux de tête. Il cuisinait pour elle. Ensuite, ils faisaient l’amour encore et encore. Ils parlaient, aussi. De tout, de rien. Le seul fait d’être ensemble était un cadeau.

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— Le week-end prochain, je prends l’avion pour le Colorado. Ce sont les fiançailles de Cade.

Un soupir résigné échappa à Aubrey. Voilà ce que serait leur histoire : des interludes volés au temps. Bientôt, le casse-tête de trouver des instants de liberté deviendrait davantage un fardeau qu’un plaisir. A ce moment-là, l’un des deux romprait. S’était-elle attendue à autre chose ? Elle n’avait pas réfléchi si loin dans l’avenir. D’ailleurs, depuis sa rencontre avec Liam Elliott, elle semblait privée de réflexion.

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— Puis-je vous offrir un verre ?

Jamais elle ne buvait pendant les heures de travail, songea Aubrey. Mais que diable ! Jamais non plus elle n’avait tenté d’extorquer des informations à un concurrent. Cette idée lui laissa un goût amer dans la bouche. Son estomac se contracta. Dans moins de trente minutes, quand il arriverait, elle allait devoir agir à la déloyale avec le directeur financier du groupe Elliott. Dans ces conditions, un petit remontant ne lui ferait pas de mal.

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— Jambon, poivrons et Havarti, avec du pain irlandais et une petite vinaigrette d’une finesse à faire chanter vos papilles. A moins que vous n’optiez pour les travers de porc à la mode Guiness. Si vous acceptez de vous salir les doigts, ils sont délicieux. Tendres et moelleux à souhait.

Tendre et moelleuse, c’était ainsi qu’elle se sentait en cet instant précis. Ecouter parler cet homme équivalait à une expérience érotique. Sa voix basse et vibrante lui remuait les tripes. Le moindre battement de ses cils blonds lui donnait la chair de poule. Comment résister ?

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A vingt-neuf ans, elle avait eu son lot de sollicitations. A l’occasion, elle permettait à un homme de lui offrir un verre. Mais jamais, au grand jamais, elle n’avait eu envie de se dénuder de but en blanc devant un homme. Or, cet inconnu aux yeux bleus magnifiques la chamboulait de fond en comble. Galvanisée, elle se voulait nue devant lui. Nue et moite. Ici. Ailleurs. N’importe où. Le plus tôt serait le mieux. Avec lui, elle mettrait sur-le-champ en œuvre ses fantasmes les plus fous, ceux qu’elle réservait pour le secret de son lit, dans son appartement solitaire.

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Bien sûr, elle ne se sentait pas très fière d’elle-même. Tirer les vers du nez à un concurrent par un moyen détourné ne lui semblait pas digne d’elle. Sa préférence allait aux méthodes de travail plus directes et loyales. Mais si elle voulait prouver sa valeur à son père, avait-elle le choix ? Elle devait adopter ses façons à lui, aussi déplaisantes soient-elles. Que la tâche présente lui convienne ou pas, elle s’y attellerait et l’accomplirait de son mieux.

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Rêvait-elle ? Le type installé au bar la détaillait-il vraiment de la tête aux pieds ?

Aubrey Holt en doutait. Les hommes de la trempe de celui-ci ne s’intéressaient pas aux femmes dans son genre. Avec ses chaussures plates, sa coupe de cheveux à la Jeanne d’Arc, ses seins trop petits, comment chatouillerait-elle le taux de testostérone d’un mâle dans tout l’éclat de sa force ? Mais qu’importe ! Elle n’avait pas de temps à perdre à ces petits jeux entre hommes et femmes.

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