Réponses au commentaire de Belami77
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Stefan Zweig qui se qualifiait de « juif par hasard » n’aura jamais, dans aucun de ses livres, démontré, comme il le fait dans « le chandelier enterré » son attachement à la foi juive et sa connaissance encyclopédique du judaïsme dont pourtant il n’avait reçu aucun enseignement. Il y a fort à penser que les persécutions dont étaient déjà victimes les juifs en 1937, date de parution du livre, ne sont pas étrangères à l’élan qui poussa cet humaniste à crier au monde son appartenance. Défiant ainsi Hitler !!
Un livre très émouvant et magnifique dont les trois nouvelles, la légende de la Ménorah, Rachel et Virata, ont pour constantes le mysticisme, l’humilité, l’humanité et l’espoir.
Trois nouvelles aux accents tantôt de La Bible, tantôt de Quo Vadis d’Henryk Sienkiewicz, tantôt de Salammbô de Gustave Flaubert.
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