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Extrait ajouté par Alias-Rosiel 2021-06-28T15:09:28+02:00

Les types sont corrects jusqu'au jour où on se rend compte qu'ils ne le sont pas !

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Extrait ajouté par Alias-Rosiel 2021-06-28T13:57:24+02:00

Je souffre, donc je vis !

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Extrait ajouté par Gryfondor 2021-06-28T09:45:06+02:00

- C'est une figure locale, elle habite Bagnères. C'est une socio-anthropologue de renom ! précise-t-elle fièrement.

- Ah, balbutié-je, confus...

- Elle a écrit plusieurs ouvrages reconnus... Autour de la vie tribale et des croyances comme socle social...

Enfin, quelque chose dans le genre, ajoute-t-elle en pouffant.

Je l'interroge du regard.

- Eh bien... Pour être honnête, ça n'est pas vraiment le genre de lecture, comment dire... Autant lire un bon Denjean, en fait !

- Denjean ?

- Ben oui ! L'auteure de polars ! Elle est originaire de Bagnères, elle aussi.

Elle voit à ma tête que je ne sais pas là non plus de qui elle parle.

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Extrait ajouté par TommyRollrbox 2021-03-26T05:36:30+01:00

Jacques rentra à la SR en milieu d’après-midi. Depuis la veille, il arpentait le bitume. Relançait ses indics. Poussait les portes des squats. Interrogeait des familles entières de réfugiés de l’Est. Glissait des billets dans les mains qui espéraient. Et distribuait des dizaines de photos de la fille à des contacts susceptibles de les faire circuler jusque dans les réseaux d’immigrés clandestins. Désormais, il ne restait plus qu’à attendre.

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Extrait ajouté par TommyRollrbox 2021-03-26T05:36:14+01:00

Vicenti s’installa sous le parasol et descendit la moitié de son Perrier tranche. Coup d’œil à sa montre. Ses collègues n’allaient pas tarder. Le gendarme alluma une cigarette, la première de la journée, songea-t-il avec fierté. La brûlure dans la gorge lui arracha un soupir d’aise, mais la détente fut de courte durée. Une main derrière lui s’empara de la clope qui s’envola par une simple pichenette au-dessus de la barrière encerclant la terrasse de caillebotis.

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Extrait ajouté par TommyRollrbox 2021-03-26T05:36:03+01:00

L’aube claire perçait par la fenêtre du bureau. Au-dessus de lui, l’ampoule allumée n’éclairait plus la pièce, grignotée qu’elle était par le jour naturel. Mathieu Vicenti but une longue lampée de café noir et âpre. Juste comme il l’aimait. Les yeux cloués sur le mur face à lui, il tentait de récapituler les éléments de cette enquête qui commençait plutôt mal. Une fille sans identité. Abattue comme un chien après une tentative de fuite infructueuse. Une fille d’origine étrangère, à en croire les conclusions du légiste, et qui avait dû vivre à la dure…

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Extrait ajouté par TommyRollrbox 2021-03-26T05:35:51+01:00

Mathieu tapotait fiévreusement sur son ordinateur quand Agathe franchit la porte du bureau qu’ils partageaient avec Jacques. L’espace trop exigu était plein comme un œuf. Dossiers entassés sur les étagères affaissées. Bureaux engloutis par des tas de paperasses. Murs tapissés d’avis de recherche, de fiches signalétiques et autres papiers punaisés anarchiquement au gré des enquêtes révolues ou en cours.

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Extrait ajouté par TommyRollrbox 2021-03-26T05:35:41+01:00

Le soleil rasant s’éparpille entre les feuilles des arbres, dessinant dans la clairière un camaïeu en clair-obscur de lumières pâles et d’ombres fraîches. Tu baisses la tête et tu fermes les yeux. La voix de Virinaë s’élève, tremblante et indignée. Comme chaque fois. Tu les connais par cœur, mais les mots vibrent en toi et résonnent de leur écho percutant.

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Extrait ajouté par TommyRollrbox 2021-03-26T05:35:31+01:00

Agathe poussa la porte de l’institut médico-légal de Nîmes. Situé au sein du CHU, l’institut avait bénéficié d’une réouverture en 2010 après une longue bataille politique. Agrandi et refait à neuf, il couvrait désormais toutes les autopsies du Gard, du Vaucluse et de la Lozère. Bien plus pratique que d’aller jusqu’à Montpellier ! songea la gendarme.

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Extrait ajouté par TommyRollrbox 2021-03-26T05:34:57+01:00

Bien calé dans le sens de la marche, je regarde les quais de la gare de Paris-Montparnasse défiler avant de disparaître dans le lent tacatac du train. Destination Carnac, Morbihan. Quatre heures et demie de trajet. Mon regard se perd dans le wagon, tentant vainement d’agripper une aspérité de cette réalité qui m’environne et m’échappe pourtant depuis la mort de mon père. Trois mois ont passé. Trois longs mois pendant lesquels je n’ai pas un seul jour été épargné par cette question : « Suis-je bien Louis Barthes ? »

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