Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
717 765
Membres
1 027 777

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

François n'avait aucune envie de discuter avec M. Friot.

-"Laissez-moi passer, répéta-t-il, nous discuterons demain quand j'aurai parlé à mon oncle."

M. Friot n'avait pas du tout l'air de vouloir libérer le chemin.

Il dévisageait François avec un sourire sarcastique sur son visage mal rasé. Il n'était guère plus grand que le garçonnet.

François siffla. Il y eut un boum à l'étage au-dessus : Dagobert descendait du lit de Claude. Puis un bruit de pattes retentit le long de l'escalier et du couloir. Dago arrivait à la rescousse.

Afficher en entier

Dagobert acquiesce d'un coup de queue vigoureux. Il est tout aussi pressé que Claude de revoir François, Mick et Annie.

Afficher en entier

Ils sautèrent par-dessus le rempart et descendirent vers les rochers qui se dressaient en épis jusqu'en pleine mer.

De hautes vagues écumaient encore de temps en temps autour, mais le chemin paraissait relativement facile.

Afficher en entier

- Claude, tu ne veux pas rester tranquille deux minutes ? Tu ne peux pas savoir comme c'est fatiguant de te voir entrer et sortir sans arrêt avec ce chien sur tes talons.

- Excuse-moi maman, répond Claude en attrapant Dagobert par le collier. Ca fait trois semaines que je m'ennuie, toute seule. J'ai hâte d'être demain !

Claude Dorsel est interne dans le même collège que sa cousine Annie Gauthier. Généralement elles passent les vacances ensemble, en compagnie des frères d'Annie, François et Mick. Les quatre enfants et le chien Dagobert forment un groupe joyeux et uni qu'ils appellent le "Club des Cinq".

Afficher en entier

< < Ce sont peut-être les contrebandiers > >, murmura Claude qui eut soudain la chair de poule à cette idée. En plein jour, rencontrer les contrebandiers est une aventure amusante et souhaitable, mais la nuit...

Afficher en entier

Il faisait sombre dans la grotte, pas assez peut-être pour avoir besoin d'éclairage, mais la grotte était si belle à la clarté des bougies que les enfants ne résistèrent pas à la tentation. Dès qu'Annie eut frotté une allumette, des ombres fantastiques coururent sur les parois, transformant complètement la caverne familière.

Afficher en entier

Claude Dorsel était pensionnaire dans le même lycée que sa cousine Annie Gauthier, et d'habitude elle passait les vacances avec Annie et ses frères, François et Mick. Les quatre enfants et le chien Dagobert formaient un groupe joyeux et uni qu'on appelait le "club de cinq".

Afficher en entier

Le bateau de Claude n'était pas tout à fait prêt. Il était en train de recevoir sa dernière couche de peinture. Il promettait d'avoir bon air, car sa propriétaire avait choisi pour lui une belle couleur rouge vif. Les rames étaient également peintes en rouge.

- Pourrons-nous le prendre quand même cet après-midi ? demanda Claude au batelier.

Il secoua la tête :

- Surement pas ! A moins que vous n'ayez envie d'avoir de la peinture sur vos habits. Il sera sec demain, mais pas avant.

- Nous irons donc à l'île demain, dit François.

Déjeunons au bord de l'eau et promenons-nous ensuite.

Ils s'installèrent sur le sable sec en compagnie de Dagobert qui mangea à lui seul presque la moitié de leurs provisions. Les sandwiches n'étaient pas fameux. Le pain était rassis, coupé trop épais et insuffisamment beurré. Mais Dago ne fit pas le difficile. Il avala vaillamment sandwich après sandwich en agitant la queue avec tant de frénésie que le sable volait en nuage.

- Dag, mon ami, sors ta queue du sable si tu veux la secouer comme ça, s'écria François lorsqu'il eut reçu pour la quatrième fois une douche sablonneuse. S'entendant interpeller, Dagobert redoubla ses frétillements, ce qui provoqua une autre nuée de sable sur le pauvre François, et un éclat de rire général.

Afficher en entier

Une femme à l'air revêche vint les aider à décharger leurs valises. Les enfants ne la connaissaient pas.

- Qui est-ce? demandèrent-ils à voix basse.

- La nouvelle cuisinière. Maria est allée soigner sa mère qui s'est cassé la jambe. Alors maman a engagé cette cuisinière-là. Elle s'appelle Mme Friol.

- Exactement le contraire de Maria, commenta François avec malice, on dirait un squelette. J'espère que le dit squelette ne fera pas de vieux os ici et que Maria reviendra vite. Je préfère cent fois notre bonne grosse Maria. Sans compter qu'elle aimait bien Dago.

Afficher en entier

Le bateau de Claude n'était pas tout à fait prêt. Il était en train de recevoir sa dernière couche de peinture. Il promettait d'avoir bon air, car sa propriétaire avait choisi pour lui une belle couleur rouge vif. Les rames étaient également peintes en rouge.

- Pourrons-nous le prendre quand même cet après-midi ? demanda Claude au batelier.

Il secoua la tête :

- Surement pas ! A moins que vous n'ayez envie d'avoir de la peinture sur vos habits. Il sera sec demain, mais pas avant.

- Nous irons donc à l'île demain, dit François.

Déjeunons au bord de l'eau et promenons-nous ensuite.

Ils s'installèrent sur le sable sec en compagnie de Dagobert qui mangea à lui seul presque la moitié de leurs provisions. Les sandwiches n'étaient pas fameux. Le pain était rassis, coupé trop épais et insuffisamment beurré. Mais Dago ne fit pas le difficile. Il avala vaillamment sandwich après sandwich en agitant la queue avec tant de frénésie que le sable volait en nuage.

- Dag, mon ami, sors ta queue du sable si tu veux la secouer comme ça, s'écria François lorsqu'il eut reçu pour la quatrième fois une douche sablonneuse. S'entendant interpeller, Dagobert redoubla ses frétillements, ce qui provoqua une autre nuée de sable sur le pauvre François, et un éclat de rire général.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode