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« CLAUDE ! Reste donc tranquille une minute ! s’écria François. C’est déjà bien assez que le train nous secoue comme ça, sans que tu viennes me marcher sur les pieds à chaque instant. Tu n’arrêtes pas d’aller d’une portière à l’autre pour regarder le paysage.
— Nous approchons, répondit Claude d’un air heureux. Je reconnais les prés et les champs. Bientôt, nous serons à Kernach… presque à la maison ! Je n’arrive pas à tenir en place. J’ai hâte de retrouver mes parents, et aussi mon brave Dagobert ! Si vous saviez comme mon chien m’a manqué ce trimestre ! Pensez-vous qu’il viendra nous attendre à la gare ?
— Ne dis pas de sottises ! jeta Mick. Dagobert est intelligent, c’est un fait, mais pas au point de consulter un indicateur pour y lire l’heure de notre train.
— Il n’a pas besoin d’indicateur, riposta Claude. Il sait toujours quand je reviens à la maison
Afficher en entierFrançois, Mick et Annie Gauthier regardèrent leur cousine avec un air d'indulgence amusée. Claude ressemblait toujours à une pile électrique quand elle était sur le chemin du retour. Elle ne pensait qu'à la joie de retrouver ses parents, M. et Mme Dorsel, et aussi son bien-aimé Dagobert.
Afficher en entierLe club des cinq,Pilou et Berlingot dégustent les chaussons aux pommes tout chauds de Jeanne et de savoureuses crèmes à la vanille. Ayant ainsi repris des forces, ils se décident à aller planter leurs tentes dans le pré. La petite bande se dirige en courant vers l'endroit où se trouve le matériel de camping. Les jeunes vacanciers regardent par dessus la haie qui sépare le pré du jardin de la villa. Tous sont fascinés... sauf Pilou. Dans le pré, de grosses voitures sont garées. Dessus, on peut lire le nom "barbarino" en lettres rouges. Il y a également de nombreuses caravanes, dont les petites fenêtres s'ornent. Claude a les yeux qui brillent.Elles aimerait tant pouvoir vivredans une roulotte, elle aussi ! - Regardez les chevaux ! s'écrie Mick.
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