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Oublier ce printemps me semblait impossible. C'était une maladie récurrente, comme une mer de chagrin qui m'avait envahi la poitrine, et dont je devais, un jour sur deux, essuyer le ressac. Il y avait trop de larmes de sel en moi.
Afficher en entierCette maladie est une fleur du mal. Un ténébreux orage traversé çà et là par de brillants soleils. Une révolution, or toute révolution avait pour corollaire le massacre d'innocents.
Afficher en entierLa planète n'avait pas besoin de gens qui réussissent, la planète avis désespérément besoin de plus de faiseurs de paix, de guérisseurs, de conteurs d'histoires et passionnés de toutes sortes.
Afficher en entierD'Artagnan avait également dit qu'il n'y aurait pas de deuxième vague, les deuxièmes vagues, ça n'existe pas. Maintenant, il ne l'excluait plus.
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