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Si les miracles font vendre, les malédictions et les greniers hantés, apparemment pas.

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« Soyez bons avec cette terre et elle vous le rendra. Soyez brusques et irrespectueux et l'eau vous fera payer. »

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Chapitre 1 - Antoine :

"— Où suis-je ?

— Chez moi, me répond la jolie femme. Dans un hôtel.

— Un hôtel ? La dernière chose dont je me souviens est d’avoir survolé un établissement avec des gamins avant de finir dans un étang.

Les trois paires d’yeux s’écarquillent. Manifestement, ma description ne leur dit rien… Le médecin rassemble son courage pour me cuisiner.

— Que voulez-vous dire par survoler ?

— Bah, en avion !

Ils échangent des regards inquiets.

Étrange…

Depuis plusieurs mois, la population voit défiler au-dessus de leurs têtes ces engins, qu’ils soient ceux de la Luftwaffe allemande ou ceux de la RAF anglaise.

Pourquoi ne semblent-ils pas au courant ?

— Quel jour sommes-nous ?

Le toubib me questionne pour évaluer mon niveau de lucidité.

— Euh… je ne sais pas trop combien de temps j’ai été inconscient.

— Dans ce cas, quel mois ?

— Août.

Le médecin acquiesce.

— De quelle année ?

— Non, mais attendez, doc, je ne suis pas paumé à ce point !

— De quelle année ?

Il insiste d’une voix douce qui tranche avec mon impatience.

— 1942 !

Je crois que je les ai perdus. "

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Ne pas savoir ne doit pas nous empêcher d’avancer. Même si tu sais ce que l’Histoire réserve à notre monde, profite de cette paix pour écrire la tienne.

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« L'eau est le cœur de tout […] L'eau irrigue la Terre autant que les hommes. »

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Victoire :

" De sous le comptoir, l’épicier tire un registre de comptes. Il tourne les pages, une à une, avec une lenteur qui relève du supplice. Les conversations n’ont pas repris pour autant.

— Hôtel Miracle, marmonne ce bougre.

Les murmures s’élèvent dans mon dos. J’entends des « malédiction », « hanté », « meurtres » et j’en passe.

Il est certain que le dernier en date n’a fait que raviver la mémoire collective et écorner davantage notre image.

L’épicier met enfin de la bonne volonté à trouver la page concernée.

Ou plutôt les pages…

Je me décompose en comprenant l’étendue de notre dette.

Une de plus.

Et elle s’affiche aux yeux de tout le village.

Monsieur Joly, en parfait gentilhomme, attrape un carnet à côté de sa caisse enregistreuse. À l’aide du crayon qu’il décroche du dessus de son oreille, il y indique un chiffre à la longueur indécente.

Quand il retourne le calepin sous mes yeux avec un air de défi, je suis à deux doigts de pleurer.

Je n’ai pas de quoi le payer, ni maintenant ni dans les années à venir."

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