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- J'étais dans l'immobilier. Et j'ai siégé de nombreuses années au conseil d'administration de notre école.

- Dieu créa d'abord les imbéciles. Histoire de se faire la main. Après quoi, il passa aux membres des conseils d'école.

Sam pouffa dans son lit au souvenir de la tête de l'autre.

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Sir Thomas Malory était mort pour la première fois, sur la Terre, en l’an 1471 après Jésus-Christ.

Ce chevalier anglais franchit le cap des effroyables semaines qui suivirent le Jour de la Résurrection sans que son corps reçût de trop nombreuses blessures, mais le choc mental l’éprouva terriblement. La nourriture que lui fournissait son petit « graal » le fascina ; elle lui rappelait les paroles que, dans son Livre du Roi Arthur, il avait prêtées à Galahad et aux autres chevaliers découvrant celle que leur dispensait le Saint-Graal : « … vous goûterez à cette table mets plus doux qu’oncques chevalier ne savoura. »

Il arrivait parfois à Malory de songer qu’il avait perdu la raison. La folie l’avait toujours attiré, car le fou lui apparaissait comme un être à la fois touché par la grâce divine et invulnérable aux tourments de ce bas monde, pour ne rien dire des siens propres. Mais pour avoir passé tant d’années en prison sur la Terre sans devenir cinglé, il fallait qu’il fût d’une trempe à toute épreuve. L’une des choses qui lui avaient permis de garder l’esprit clair dans sa geôle avait été la rédaction de la première épopée en prose de la littérature anglaise. Il s’attaquait maintenant à une nouvelle œuvre ; elle n’aurait, il le savait bien, qu’un nombre infime de lecteurs, mais il s’en moquait éperdument. Alors que son premier ouvrage, inspiré de ceux des grands écrivains français, relatait les exploits du Roi Arthur et des Chevaliers de la Table Ronde, celui-ci traiterait des reniements dont avait et était encore victime le doux Jésus, mais aussi de son triomphe final. Contrairement à tant d’anciens dévots, Malory s’accrochait à sa foi en affectant superbement d’ignorer les « faits », ce qui, à en croire ses critiques, constituait en soi une preuve évidente de sa folie.

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Ce fut grâce à Loghu et Alice que Burton et ses compagnons purent embarquer sur le bateau du roi Jean.

Ils avaient remonté le Fleuve jusqu’à l’endroit où le Rex faisait escale pour subir des réparations et permettre à son équipage de descendre à terre. Une foule de gens se pressaient sur les lieux, composée de curieux qui désiraient voir le grand bateau de près et, pour certains, être enrôlés dans son équipage. Le bruit courait que six matelots avaient déserté après avoir été réprimandés trop durement par le capitaine, qui les accusait de négligence dans le service. Celui-ci ne semblait pas trop pressé de les remplacer.

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Les visiteurs se dirigèrent vers la proue du bateau en empruntant une coursive qui longeait d’autres cabines. La dernière porte à tribord donnait sur la suite de Clemens, et celui-ci la leur montra. Leurs exclamations de surprise et d’admiration le flattèrent agréablement. Il précisa que la cabine d’en face était celle de son garde du corps, Joe Miller, et de sa compagne.

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La poursuite reprit.

Dans une heure, le soleil arriverait au zénith et le bateau fabuleux mouillerait à proximité d’une pierre à graal. On coifferait celle-ci d’une demi-sphère en cuivre qu’un câble d’aluminium très épais relierait au bataciteur du vaisseau. Quand la pierre libérerait sa formidable décharge électrique, elle rechargerait le bataciteur et remplirait les graals, restés à bord sur une plaque de cuivre, de nourriture, de boissons et d’articles divers.

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Sir Thomas Malory était mort pour la première fois, sur la Terre, en l’an 1471 après Jésus-Christ.

Ce chevalier anglais franchit le cap des effroyables semaines qui suivirent le Jour de la Résurrection sans que son corps reçût de trop nombreuses blessures, mais le choc mental l’éprouva terriblement. La nourriture que lui fournissait son petit « graal » le fascina ; elle lui rappelait les paroles que, dans son Livre du Roi Arthur, il avait prêtées à Galahad et aux autres chevaliers découvrant celle que leur dispensait le Saint-Graal : « … vous goûterez à cette table mets plus doux qu’oncques chevalier ne savoura. »

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« On ne devrait jamais redouter qu’une seule personne, et cette personne, c’est soi-même. »

Telle était l’une des maximes favorites de l’Opérateur.

L’amour tenait également une grande place dans ses propos.

« La personne que l’on redoute le plus, il faut aussi beaucoup l’aimer », disait-il.

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