Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
721 224
Membres
1 042 813

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Commentaire de Jonathan-58

Le Monde après nous


Commentaire ajouté par Jonathan-58 2022-09-08T09:16:23+02:00

Alors voilà. le genre de mots qui font peur. Enfin, qui font peur à moi. Apocalyptique, post-apocalyptique, encore et encore classer les romans (ou pire, les écrire) dans un genre bien défini, comme si l'item qui lui correspondait devait correspondre à son écriture et non l'inverse.

Bon ben tant mieux, parce qu'ici vous pouvez oublier les zombies et autres créatures, de même que toute effusion de sang ou même un brin d'action stimulante. Ce qui ne veut pas die que la lecture n'est pas addictive ; c'est même tout le contraire.

On est là dans en présence d'un texte d'une minutie rare, emplie de détails qui pourraient sembler secondaires voire carrément inutiles alors que, tous, absolument tous, font leur part du gâteau ; NOUS SOMMES ces détails. NOUS SOMMES cette accumulation de faits et micro-faits, précisément. Et, plus que tout, la question se pose de savoir QUI nous sommes, donc, lorsque ces détails n'ont plus lieu d'être ou ne peuvent plus se concrétiser.

Je parle de détails, mais jamais ils n'ont été aussi importants, aussi éprouvants ; nous sommes là dans un texte d'une qualité qui se situe dans un hybride de DON DELILLO et, disons, un RICK MOODY. L'horreur n'est pas celle du sang. Elle peut être celle d'un bruit. L'épouvante ne naît pas de nos moyens de survie, mais des questions qu'on se pose, souvent, trop souvent, sans avoir de réponses.

Et puis, je l'ai dit plusieurs fois, mais quand même : accumuler cette multitude de faits sur les uns et les autres est aussi signifiant qu'on peut l'imaginer du rôle de l'écrivain. L'observateur, celui qui regarde, ne juge pas, ne condamne pas, mais regarde VRAIMENT avant de retransmettre le monde tel qu'il est aujourd'hui.

Afficher en entier

Répondre à ce commentaire

Réponses au commentaire de Jonathan-58

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode