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" Je peux les entendre, vous savez.
- Mes pensées? paniqua Sophronia, soupçonnant que les loups-garous avaient des capacités inconnues?
- Non, idiote, vos battements de cœur. Ils me donnent de l'espoir.
- Je ne pensais pas qu'ils étaient si forts."
Afficher en entierSavon s’interrompit, sa voix s’étranglant presque. « Je ne pourrai jamais te remercier.
— Vous voyez ? Voilà. Je ne veux pas qu’il y ait de dettes entre nous. »
Elle se rapprocha infinitésimalement de lui et plaça deux doigts légers sur l’avant-bras de Savon, là où il était plié, à hauteur de sa taille.
Savon baissa les yeux en sentant le contact, puis les releva aussitôt.
« Dans ce cas, que voulez-vous qu’il y ait entre nous ?
— De l’amitié, pour commencer.
— Non, mademoiselle, de l’amitié, ce serait la fin. »
Afficher en entierIl y avait de beaux plats pour les invités humains, des assiettes de viande crue à la présentation exquise pour les loups-garous, et du champagne mélangé avec du sang pour lord Akeldama.
Afficher en entierSi je dois tuer quelqu'un, je le ferai plus élégamment. Les armes à feu sont d'une lamentable grossièreté.
Afficher en entierSophronia aurait payé cher pour une bonne tasse de thé. Elle songea même à se glisser jusqu'à la cuisine pour s'en préparer. Elle pensait être capable de se débrouiller toute seule. Mais même un thé ne valait pas qu'on prenne un tel risque - les temps étaient vraiment durs.
Afficher en entier[... ]mais elle ne cessait de revenir, comme la graisse à la surface de l'eau de vaisselle.
Afficher en entierPenser à Savon sembla permettre à son épaule de lui faire encore plus mal, ce qui la fit pleurer encore plus. Ce qui lui fit encore plus mal.
Afficher en entierPlus d'amitié, Sophronia. Cette chaudière est à sec.
Afficher en entierTomber du ciel était une chose, mais pour des raisons inconnues était inacceptable.
Afficher en entierL'aube du Nouvel An naquit, humide et maussade, pour une journée semblable à un torchon mouillé.
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