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Liste des extraits

Extrait ajouté par Twax 2016-09-14T16:07:03+02:00

-"Je n'ai fait qu'une erreur dans ma vie, dit Peppone sur le pas de la porte. Celle de vous mettre des pétards dans votre cloche au lieu d'y flanquer une tonne de dynamite !"

-"Errare humanum est, lui fit observer don Camillo."

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Extrait ajouté par RMarMat 2015-09-24T21:40:25+02:00

Ce sont choses qui arrivent dans ce pays de fous où le soleil tape comme un marteau sur la tête des gens, où l'on raisonne à coups de pied mais où, du moins, on respecte les morts.

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Extrait ajouté par RMarMat 2015-09-21T10:16:16+02:00

- Quand mon Père créa le monde, il fit une distinction formelle entre les animaux et les hommes ; tous ceux qui appartenaient à la catégorie des hommes, restent à jamais des hommes quoi qu'ils fassent, et doivent en conséquence être traités en hommes. Autrement, il aurait été beaucoup plus simple de les supprimer, au lieu de me faire mettre en croix pour les racheter.

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Extrait ajouté par RMarMat 2015-09-21T09:57:07+02:00

Mais les Rouges que Don Camillo n'arrivait pas à digérer, c'étaient ceux de la ville. Les prolétaires de la ville se tiennent normalement tant qu'ils sont en ville ; mais à peine lâchés hors de leur milieu naturel, ils se mettent à faire les citadins et ils deviennent plus odieux que des moustiques. Naturellement ils sont particulièrement odieux quand ils voyagent en groupe - mettons en camion. Ils traitent de "vieux tableaux" les malheureux billageois qu'ils rencontrent sur la route. Ils les gratifient en outre de "grosses tripes" ou de "sac de graisse" s'ils sont gras. S'ils tombent sur une femme, alors n'en parlons pas.

Mais le vrai spectacle commence quand ils sont arrivés et qu'ils descendent de camion. Ils prennet aussitôt un pas de conquérant et, avec leur cigarette collée au coin de la bouche comme si elle avait été fichée là par une fronde, ils s'en vont caracolant sur le cheval du pantalon ; et il en résulte quelque chose qui tient du matamore et du marin néerlandais en goguette. puis ils s'entasse devant une table de café et, retroussant leurs manches, ils montrent des bras blancs dévorés de puces, parlent comme des charretiers, tapent à coups de poing sur la table et hurlent en tirant leur voix du fond de leurs boyaux. Tout cela couronné par le massacre d'une poule si, au retour, ils en rencontrent une qui erre par la compagne. Car naturellement ils ne la laissent pas échapper.

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Extrait ajouté par RMarMat 2015-09-21T09:44:46+02:00

Dans les grandes villes, les hommes sont surtout préoccupés de trouver un mode de vie original ; ils ne découvrent rien qui vaille et leur théorie de l'existence n'a pas le moindre sens, mais il donnent l'impression d'avoir trouvé du nouveau.

Dans le Bas-pays, au contraire, on naît, on vit, on aime, on déteste et on meurt selon les vieux systèmes et les gens se moquent absolument de recommencer "Roméo et Juliette", "Cavaleria Rusticana", "Tristan et Yseult" et autres histoires anciennes. Ainsi c'est l'éternel recommencement, une répétition sans fin des mêmes faits ordinaires, des histoires vieilles comme le Pont-Neuf. Mais à la fin, quand le trait est tiré et que la sommes est faites, ceux du Bas-Pays finissent sous terre exactement comme les gens qui ont des lettres, avec cette différence que les gens des villes, quand ils meurent, sont plus enragés que les autres parce qu'ils sont furieux de mourir d'une façon aussi banale, tandis que ceux des campagnes regrettent seulement de s'en aller de la vie. La culture est la plus sale invention du monde parce que, outre la vie, elle gâche la mort.

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-02T20:36:51+01:00

— La culture ne compte pas, don Camillo, répondit en souriant le Christ. Ce qui compte, ce sont les idées. Les beaux discours ne mènent à rien, si les belles paroles ne recouvrent pas des idées pratiques. Avant de les juger, mettons-les à l’épreuve, ces braves

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-02T20:36:43+01:00

Elle avait quatre-vingt-six ans et elle les connaissait tous du premier au dernier pour leur avoir enseigné l’alphabet à eux, à leurs pères et à leurs enfants. Elle avait tapé à coups de règle sur les caboches les plus importantes du pays. Elle s’était retirée de l’enseignement depuis peu, et vivait seule dans cette maison isolée. Elle pouvait sans crainte laisser toutes portes ouvertes, « Mme Cristina » était un monument public ; personne n’aurait osé y toucher

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-02T20:36:29+01:00

— À vrai dire, je ne me rappelle pas exactement ; le fait est que ça ne lui revenait pas de voir un curé sur un vélo de course ; alors j’ai fait en sorte qu’il ne me voie plus. — Je comprends parfaitement. Il est déjà de retour ? — Il sera là dans un instant. Le voyant dans le fossé, j’ai pensé qu’il serait un peu mouillé et qu’il ne pédalerait pas commodément ; alors j’ai ramené sa bicyclette. — C’est une pensée délicate, don Camillo, dit le Christ avec un air de grave approbation

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-02T20:36:21+01:00

Il y avait une lune splendide et à quatre kilomètres de Castellino, don Camillo vit un homme assis sur le parapet du pont du Fossone. Il ralentit aussitôt parce que, lorsqu’on voyage la nuit, il faut être prudent ; il s’arrêta à quelque dix mètres du pont, serrant dans sa main un joujou qui s’était trouvé par hasard dans sa poche

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-02T20:36:11+01:00

Mais don Camillo l’interrompit : — Hors d’ici, race sacrilège ! — Don Camillo, ne pensons pas à la politique ! Vous savez, ce maudit, qui avait essayé d’assommer Peppone ? Eh bien, on l’a libéré ; il est à Castellino. Don Camillo alluma un cigare. — C’est à moi que tu viens le dire, camarade ? Je n’ai pas fait l’amnistie, moi ! Et puis, qu’est-ce que ça te fait, tout ça ? Alors elle se mit à crier 

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