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À Turdera, les Nilsen, qui s’étaient perdus dans l’imbroglio (qui était aussi une routine) de cet amour monstrueux, voulurent renouer avec leur ancienne vie d’hommes vivant entre hommes. Ils recommencèrent à jouer aux cartes, à assister aux combats de coqs, et ils reprirent, à l’occasion, leurs fredaines. Peut-être crurent-ils, à un moment donné, qu’ils étaient sauvés, mais ils prenaient l’habitude de s’absenter chacun de son côté de façon inexplicable, ou plutôt qui n’était que trop explicable. Un peu avant la fin de l’année, le cadet dit qu’il avait à faire dans la capitale. Cristián alla à Morón ; attaché à la barrière de la maison close il reconnut, à ce qu’on dit, le cheval aubère d’Eduardo. Il entra ; l’autre était là, attendant son tour. Il paraît que Cristián lui aurait dit :
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