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Lorsqu'il était plongé dans un livre, un monstre marin aurait pu enserrer la ville entière dans ses tentacules qu'il se serait contenté d'allumer une bougie pour mieux y voir. Il parvenait même à enjamber les lézardes dans les pavés sans les regarder.

(p.120)

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"Quelle maison ? fit-il. Les maisons sont insignifiantes. Seuls le temps et le cœur... Daphné est prisonnière du Souffleur, et son coeur est fait de ronces."

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« Le meurtre est le dernier de nos recours, lorsque l’éloquence et la corruption ne suffisent plus. »

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"Tu as vu ce que ton duc a fait de cet endroit, gronda-t-elle. Un cimetière. La Cité pleure ses morts.

– C'est faux, dis-je avec gravité. La Cité ne pleure pas. Elle continue de chanter, comme toujours. Les morts ne l'émeuvent pas."

(p.276)

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"Je dispose mes figurines dans votre camp, messire duc, dis-je. Mais jamais, je vous en donne ma parole, jamais je ne chercherai à en prendre le contrôle."

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Je me précipitait à la fenêtre. La nuit était tombée en ce lieu mais, comme la première fois, une lune immense permettait d’y voir comme au crépuscule. Les rues étaient vides. Je reconnus les toits des maisons qui déclinaient là où se trouvait l’escalier qui conduisait au Moineau. Un peu plus loin, la vue était bouchée. Les bâtiments étaient plus hauts que dans la Cité, leurs ombres couraient dans les venelles, qui me semblaient encore plus étroites

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Je n’avais plus deux rythmes distincts, mais un seul. Mieux : les séquences du poème s’enchainaient dans ma tête, y compris celles que je n’avais pas retenues. . Cité et poème réunis en un enchevêtrement de vagues qui allaient et venaient. Et j’eus une curieuse sensation, celle d’avoir accompli quelque chose. Comme si, machinalement, j’avais fait s’emboîter ensemble deux roues dentées pour qu’elles tournent au même rythme. Comme si j’vais mis un peu d’ordre dans un chaos indescriptible.

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Le nécessaire, comme tu dis, n'est rien d'autre qu'une barbarie utile. Ce que je fais n'est pas plus odieux, c'est juste que personne d'autre que moi n'en voit le sens.

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Je n'avais avec moi que ma besace, quelques pièces de cuivre, deux dagues tranchantes comme des rasoirs, un couteau et un livre mystérieux.

Je m'assis sur les marches qui menaient à la mer. Laissai la houle venir lécher mes pieds. La clameur des batailles tombait vers le port depuis la Cité. Et je savais que rien ne serait plus comme avant.

(P.382)

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De mon côté, j'ironisais en me disant qu'entre le chant de la Cité et la danse des poignards, j'allais devenir un article complet.

(P.300)

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