Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
716 424
Membres
1 021 553

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Il lui avait reproché de ne pas lui avoir avoué la vérité dès le début. La réponse avait fusé : « Comment aurais-tu réagi quand tu étais petit, si je t’avais dit que tu étais le fils d’un homme riche, d’un comte ? Tu n’aurais pas manqué de t’en vanter auprès de tes petits camarades, à l’école. Tu imagines les moqueries ? Tu sais à quel point ils t’auraient détesté à cause de ta prétendue supériorité ?

— Mais plus tard...

— Je ne sais pas, avait-elle soupiré d’un air las. Ce n’était jamais le bon moment. »

Afficher en entier
Extrait ajouté par Alyer 2021-02-17T12:27:02+01:00

Le lundi 30 avril 1945, Adolf Hitler mettait fin à ses jours dans son bunker de Berlin. Une semaine plus tard exactement, à dix-neuf heures quarante, à Londres, le ministère de l'Information annonçait la capitulation de l'Allemagne. Le lendemain, mardi 8 mai, fut déclaré férié.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Alyer 2021-02-14T16:31:47+01:00

Walter pointa le doigt vers la caisse, qui était ouverte, son tiroir béant et vide à l'exception de quelques petites pièces. "Les policiers se seraient-ils transformés en cambrioleurs de nos jours ?

- Un client a dû profiter de la confusion provoquée par ces hommes lorsqu'ils se sont opposés à leur arrestation."

Plusieurs Chemises brunes ricanèrent d'un air entendu.

"Je crois me souvenir, dit Walter, que vous avez été un jour un policier chargé de faire respecter la loi et l'ordre, inspecteur. Ou bien fais-je erreur ? En ce temps-là, vous pouvez être fier de vous. Qu'êtes-vous devenu aujourd'hui ?

- Nous faisons respecter l'ordre, pour protéger la patrie, rétorqua Macke, piqué au vif.

- Où avez-vous l'intention de conduire vos prisonniers ? insista Walter. Dans un lieu de détention officiel ? Ou dans quelque sous-sol plus ou moins clandestin ?

- A la caserne de la Friedrichstrasse", répondit Macke indigné.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Alyer 2021-02-14T16:03:57+01:00

Jörg bougea.

Robert lui parla tout bas : "Ne t'agite pas, mon chéri. Tout va bien. Je suis là." Mais Jörg ne paraissait pas l'entendre.

Macke entra alors, suivi de quatre ou cinq Chemises brunes. Attrapant Robert par le bras, il le tira en arrière. "Alors ! grinça-t-il. Vous savez maintenant comment nous traitons les pervers de votre espèce."

Lloyd ne put se retenir. Montrant Jörg du doigt, il lança, furieux : "Le vrai pervers, c'est l'homme qui est responsable de ça." Et, rassemblant toute sa colère et tout son mépris, il ajouta : "L'inspecteur Macke."

Afficher en entier
Extrait ajouté par Alyer 2021-02-14T15:27:41+01:00

Boy n'était pas dans l'assistance, mais Daisy reconnut Fitz et Bea, et passa toute la cérémonie les yeux fixés sur la nuque de son beau-père, songeant qu'elle était tombée amoureuse de deux de ses fils. Boy avait hérité de la beauté de sa mère et du caractère résolument égoïste de son père. Lloyd avait hérité de la beauté de Fitz et du grand cœur d'Ethel. Pourquoi ai-je mis tout mon temps à m'en rendre compte ? s'interrogea-t-elle.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Gollum 2020-05-20T19:13:33+02:00

« Daisy était amoureuse.

Elle savait maintenant qu’elle n’avait jamais aimé personne avant Lloyd. Elle avait éprouvé du désir pour Boy, certes, mais ce n’était pas de l’amour. Quant au pauvre Charlie Farquharson, Elle avait tout juste ressenti un peu d’affection pour lui. Elle avait cru que l’amour était un sentiment dont elle pouvait investir un homme qui lui plaisait, sa principale responsabilité étant de le choisir intelligemment. Elle comprenait maintenant qu’elle s’était lourdement trompée. L’intelligence n’avait rien à voir là-dedans, et elle n’avait pas le choix. L’amour était un séisme. »

Afficher en entier
Extrait ajouté par Myrajane 2019-11-17T14:31:04+01:00

Les allemandes ont des choix douloureux à faire. Nous payons les décisions faciles que les hommes de notre pays ont prises il y a quinze ans. Des hommes comme mon père, qui pensaient que l’arrivée d’Hitler au pouvoir serait bonne pour les affaires, ou comme le père d’Heinrich, qui ont voté la loi sur les pleins pouvoirs. Les péchés des pères retombent sur les filles.

Afficher en entier

Les péchés des pères retombent sur les filles.

Afficher en entier

Pourquoi ceux qui s'acharnaient à détruire tout ce qu'il y a de bon dans leur pays étaient ils les plus prompts à brandir le drapeau national ?

Afficher en entier

Quand elle songeait au temps qui s'était écoulé depuis, elle éprouvait mille regrets, mais le plus douloureux était la mort de son père. Il lui manquait constamment, et elle pleurait encore lorsqu'elle repensait à lui, gisant dans l'entrée, si cruellement torturé qu'il était mort avant l'arrivée du médecin.

Mais tout le monde mourait un jour, et son père avait donné sa vie pour un monde meilleur. S'il y avait eu plus d'Allemands aussi courageux que lui, jamais les nazis n'auraient triomphé.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode