Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 805
Membres
1 013 902

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

"Je te veux, Amora. Je te veux tout entière. Aujourd'hui et pour toujours, c'est tout ce que j'ai toujours voulu."

Afficher en entier

"Tu te comportes comme si je t'avais fait du mal, comme si c'était mon choix. Je n'ai pas jeté cette malédiction sur nous Amora. Je n'en veux pas plus que toi. Mais les dieux t'en gardent, sois honnête avec moi, pour que nous puissions travailler ensemble, plutôt que d'essayer de tout faire toute seule. Les dieux m'en préservent, que je ne sois pas malheureux chaque jour, à me dire que la femme que j'aime fait semblant de chercher un mari ! Que je n'aie pas à la regarder parader pendant que le royaume essaie de l'assassiner alors qu'elle ne me laisse même pas essayer de la protéger !"

Dès que les mots franchissent ses lèvres, Bastian se fige, les yeux aussi ronds que ceux d'une chouette quand il se rend compte de ce qu'il a dit.

Afficher en entier

"Qui a parlé de te laisser tranquille ? Ton plan est de rencontrer les célibataires les plus convoités de tout Visidia, c'est bien ça ? Et de voir si tu as des affinités avec l'un d'eux ?"

Je l'observe avec méfiance, les yeux plissés. "C'est exact."

Sa respiration se calme. Bien que ses yeux soient sombres, la détermination les rend durs. Le sourire qu'il arbore suffirait presque à me faire fondre, chaleureux, radieux. "Dans ce cas, si c'est ce que tu décides, n'oublie pas que je suis également célibataire. Et que je suis très, très convoité."

Afficher en entier

« Vous n’oseriez pas, vieil homme… » La phrase de Bastian se termine par un cri quand le cheval d’eau part au galop et que Bastian n’a d’autre choix que de s’accrocher. Pendant tout ce temps, Lord Bargas rit avec tant de verve que son ventre est pris de tremblements.

Afficher en entier

« Il faut vraiment qu’on travaille notre tendance à tomber dans les pommes. Peut-être qu’on pourrait se limiter à une fois par aventure ?

—Et si vous le faisiez zéro fois par aventure ? intervient Ferrick, faisant semblant de ne pas voir le nez de Bastian qui se fronce. Je n’ai pas signé pour être votre soigneur attitré.

—Je ne suis pas sûr qu’on pourrait qualifier quoi que ce soit d’aventure si personne ne tombait jamais dans les pommes, mon vieux. »

Afficher en entier

« Vous avez clairement la tête dans les nuages, murmure Shanty en tendant le cou vers le ciel et en plissant les yeux pour les protéger du soleil. Si on y regarde bien, pensez-vous qu’on pourra la retrouver ? »

Je reviens au monde qui m’entoure et lève les yeux au ciel malgré son grand sourire. « Haha, très drôle. »

Afficher en entier

« Vos femmes de chambre ? »

Les yeux de Vataea se plissent dangereusement. « Si les femmes de chambre ont pour rôle de vous arracher le cœur avec les dents ou de vous enfoncer une dague dans l’œil si vous ne serait-ce que regardez la reine de travers, alors oui. Nous sommes ses femmes de chambre. »

La glotte d’Elias monte et descend comme il avale sa salive. « Vous n’êtes pas ses femmes de chambre, donc. C’est noté. »

Afficher en entier

« Par les dieux, Amora, ne sais-tu pas frapper aux portes ? » Ses joues se colorent d’un rouge si vif que, malgré tout, je n’arrive pas à réprimer un rire.

« Les reines n’ont pas besoin de frapper aux portes, le taquiné-je. Qu’est-ce que tu faisais ?

—À ton avis ? » Il froisse la chemise dans ses mains en soufflant. « Je m’entraînais.

—Mouillé et à moitié nu ?

—Je ne suis pas à moitié… Tu sais quoi ? On ne sait jamais dans quelles conditions on va devoir se battre, d’accord ? Les dieux savent que les ennuis surviennent n’importe où ; en tant que conseiller principal, je dois être le meilleur.

—Très bien. Je me sens bien plus en sécurité maintenant que je sais que tu es capable de te battre dans ces conditions. »

Afficher en entier

Bastian me jette un regard contrit et porte la main à sa hanche, à ma sacoche.

Je comprends juste avant de sentir la pulsation de ma magie prendre vie en lui, chauffée à blanc, consumant tout sur son passage. Le feu se propage dans mes veines et me brûle jusqu'à ce que je me retrouve à genoux, à suffoquer sous sa puissance.

Afficher en entier

Je ne vois plus Bastian au bout de ce tunnel, même si quelque part je sais qu'il doit toujours être assis devant moi. Au lieu de cela, je vois Père, mort par terre. Je vois Kaven qui sourit au-dessus de son cadavre. Il porte à ses lèvres une lame d'où coule le sang de Père. Quand je vois enfin Bastian, il est par terre et convulse, les yeux révulsés tandis qu'une armée de morts grouille autour de lui, le dévisage, la faim se lisant dans leurs sourires.

Puis je n'ai plus dans mon champ de vision qu'un entrelacement de filets de sang.

Rouge.

Rouge.

Rouge.

Rouge.

Des bruits me parviennent du tunnel. Je n'arrive tout d'abord pas à les identifier, puis ils deviennent de plus en plus forts jusqu'à ce qu'ils frappent contre mon crâne comme les douloureux coups de marteaux d'une Kerost qui lutte pour s'en sortir.

J'essaie de les faire taire en fredonnant une chanson de marins familières tout bas, m'efforçant de garder le rythme. J'essaie de me concentrer dessus parmi les coups de marteaux entêtants, mais je ne cesse de la perdre. Je ne cesse de perdre...

Le poids soudain sur moi me permet de respirer. D'ouvrir un tout petit peu le tunnel tandis que les marteaux cessent de cogner. Les voix que j'ai entendues plus tôt deviennent plus claires, et je me rends comptes que je ne suis pas la seule à fredonner.

Le tunnel disparaît.

Bastian, dans mon dos, me tient fermement, les bras serrés autour de ma poitrine. "Ce n'est rien, dit-il avec une fermeté apaisante. Ce n'est rien, je suis là."

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode