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La Prisonnière Du Chef De La Mafia Russe par Leona Lee:
Il prit une autre gorge de thé, et regarda le visage de Tanya virer au rouge devant les pensées qui ne pouvaient être survenues qu’à propos d’autre chose.
- Non, rien d’autre. Je veux dire, tout à la fois.
Elle soupira profondément, et lança, vous prévoyez de me garder enfermée pendant combien de temps ?
Il la regarda par dessus sa tasse de thé.
- Aussi longtemps que je le souhaite. Vous avez été terriblement imprudente de ne dire à personne où vous alliez…
- Comment le savez-vous ?
- Je ne le savais pas, jusqu’à maintenant.
D’un air satisfait, il posa sa tasse alors qu’elle lâchait un grognement.
- D’accord, c’est bon, j’ai compris. J’ai appris la leçon. Je suis désolée. Maintenant, puis-je m’en aller s’il vous plait ?
Nikolaï la regarda se tortiller sur sa chaise. La bonne chose à faire serait de la laisser partir, mais quelque chose l’en empêchait. Il ignorait quoi.
- Si je vous laissais partir, vous devriez me promettre d’abandonner cette futile recherche de votre amie. Elle ne veut pas qu’on la trouve.
Le regard buté de Tanya lui fit comprendre qu’elle n’avait pas l’intention d’abandonner ses recherches à propos d’Olivia. Il secoua la tête et se leva.
- Niet ! Vous n’êtes pas prête.
Alors qu’il marchait vers la porte, il l’entendit sangloter.
- Attendez !
Afficher en entierL’enfant inattendu du milliardaire Irlandais Par Sophia Lynn:
Patrick Adair ne faisait pas vraiment attention à la foule tandis qu’il marchait d’un pas pressé. Son esprit était empli de chiffres, de réunions et d’autres détails importants de sa vie et de ses affaires ; deux choses qu’il considérait souvent comme une seule.
Lorsqu’il aperçut les deux idiots se battre au coin de la rue, il fit la grimace et les contourna automatiquement. Puis en s’approchant, il put voir que ce n’était pas un autre punk qu’ils tabassaient.
Il aperçut un éclair de cheveux sombres, l’étincelle d’yeux noirs. C’était une femme qu’ils harcelaient, et alors qu’il s’approchait pour intervenir, il l’entendit pousser un miaulement triste, étouffé par une main plaquée sur sa bouche.
Patrick ne se considérait pas comme un homme terriblement sentimental, mais en l’entendant, ce son lui perça le cœur et transforma son irritation en fureur.
Il attrapa le premier punk qu’il put atteindre, et avec une puissance forgée par de nombreuses heures passées à la salle de sport et à rénover ses propriétés, il l’arracha à la fille.
Patrick put voir ses grands yeux noirs s’écarquiller lorsqu’elle le vit intervenir, mais il n’eut pas le temps de remarquer quoi que ce soit d’autre avant de se ruer sur le deuxième. Il le balança sur l’asphalte et lui donna un autre coup de pied pour faire bonne mesure.
Les deux poltrons semblèrent pressés de s’éloigner en courant. Pendant un instant, Patrick eut envie de les pourchasser, mais il se tourna plutôt vers la fille qu’il avait libérée de leur emprise.
— Ils vont s’en sortir, siffla-t-elle avec un accent immanquablement américain.
Elle sembla s’apprêter à les pourchasser elle-même, mais il l’attrapa par l’épaule et la tint tranquille.
— Pas pour longtemps, dit-il. J’ai leur description, et je m’assurerai de la fournir à la police. On s’assurera que ces deux-là y réfléchissent à deux fois avant de recommencer.
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