Commentaire de Antiigone

« 𝐋𝐞𝐬 𝐜𝐡𝐚𝐮𝐬𝐬𝐞𝐭𝐭𝐞𝐬 𝐨𝐫𝐩𝐡𝐞𝐥𝐢𝐧𝐞𝐬 », c’est le titre du roman auto-édité que je souhaite vous présenter dans cet article et qui m’a généreusement été offert dans le cadre du calendrier de l’avent organisé par @luciole_et_ses_lectures, que je remercie du fond du cœur. Je tiens à remercier l’auteure, 𝐂𝐚𝐫𝐨𝐥𝐞 𝐄𝐰𝐚𝐧, qui, fait amusant, est de la même région que moi et que j’ai croisé lors d’un salon du livre l’année passée (au plaisir de la revoir, d’ailleurs !).

Mais n’est-il questions que de chaussettes dans ce roman ? Bien sûr que non ! Cette problématique sert de fil rouge à l'intrigue où les histoires de vie s'entremêlent. On y aborde l'amitié, l'amour, bien sûr, la vie de famille et les relations compliquées. Quatre amies, quatre femmes et mères de familles, qui se retrouvent chaque jour devant l'école de leurs enfants, qui se racontent leurs vies et tentent d'élucider ce fameux mystère qui leur gâche la vie.

Chacune a son caractère, ses petits problèmes, ses doutes, ses ambitions et ses envies. Dans cette enquête, elles y trouvent des réponses parfois drôles, parfois philosophiques, parfois tragiques ou carrément ludiques.

Les émotions sont omniprésentes tout au long de ce livre et je n’ai cessé de sourire à (presque) chaque page, que ce soit pour des répliques amusantes, des situations abracadabrantes (mais toujours réalistes !) ou une réflexion enfantine sur la vie. Parce qu’intensément humains, avec leurs failles et leurs forces, les différents personnages sont touchants et attachants. Je n’ai eu aucun mal à m’y identifier.

Pour conclure, ce roman plein de good vibes m’a beaucoup plu et m’a fait rire, sourire, m’émouvoir au gré des aventures de cette bande d’amies tourangelles et de leurs familles.