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Le titre intrigue : fables oui, mais comment ? Circulaires (comme le suggère la couverture et comme le cycle de la vie ? Originales, en tout cas.
Je suis toujours très admirative des talents de versificateur d’Alexandre Majorczyk. C’est un véritable tour de force que de créer des rimes croisées (et même embrassées) et de développer de surcroît un rythme narratif soutenu, voire didactique, puisqu’il s’agit, ni plus ni moins, dans la deuxième fable de construire une grue cendrée (le symbole, ô combien salutaire, du retour cyclique à la vie) en origami.
Quand « acacias » rime avec « sépia » et « médecin » avec « écrivain » (« Les yeux clos, paisiblement/
Tel le bel au bois dormant »), ou « fuligineux » avec « vertigineux » (même si c’est triste), je frémis de bonheur !
J’ai hâte de lire la suite de vos « rêves poétiques » Alexandre !
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