Extraits

– Merci en tout cas de m'avoir sauvé les fesses l'autre soir.

– C'est toujours un plaisir pour moi, tu as de si jolies fesses.

Tu m'appartiens, Sydney. Je suis tombé amoureux de toi, Syndey Willows et je ne vais pas te laisser partir quand cette affaire sera réglée. Ni jamais d'ailleurs.

Elle se sentait partagée entre son besoin d'indépendance et son désir de lui appartenir.

– Dis-moi, Luca, est-ce que tu as un peu dans ta poche ou est-ce que tu es simplement heureux de danser avec moi ? ironisa-t-elle.

– Sydney, ma chérie, disons simplement que je commence à m'habituer à toi.

– Hé Luca, quoi de neuf, mon pote ? Quoi ? Tu n'es pas content de me voir ?

Elle lui adressa un grand sourire, devinant qu'il mourrait d'envie de se lever et de s'éloigner d'elle. Kade ne put s'empêcher d'esquisser un sourire en la voyant faire ses pitreries.

Sydney, ma chérie, je te conseille de ne pas trop titiller cet ours.

Xavier et Dominique éclatèrent de rire.

—Tu n'as pas compris qu'un petit peu d'affection de ta part à un vieux loup pourrait me faire tuer, n'est-ce pas, mon chaton ? Kade et moi, on se connaît depuis très longtemps. On est très proches. Alors je peux te dire que je ne l'ai jamais vu manifester le moindre désir de revendiquer une femme. Et là, je sens son odeur sur toi. As-tu oublié le super pif du loup ? Tu as beau avoir essayé de camoufler sa morsure dans ton cou avec du maquillage, je vois bien qu'il t'a marquée. Tu ne le sais peut-être pas encore ma chérie, mais tu es sienne, déclara Tristan avant de sourire et de lever sa tasse à son bouche.

tu n’es qu’une distraction. Mais je vais peut-être te prendre avant de te tuer. Est-ce que tu aimes les types costauds ? Oh oui… Je te déchirerai peut-être en deux, mais ce sera si bon. Est-ce que ce grand malade de vampire croyait qu’il allait pouvoir la violer ? Dans ses rêves ! Elle avait une tout autre idée pour son agresseur

cent trente kilos, il était chauve et une cicatrice lui barrait le visage. — Hé, chica, tu penses pouvoir me tuer avec ton flingue ? J’ai des nouvelles pour toi : nous les vampires, on n’est pas faciles à buter. Ma maîtresse t’en veut beaucoup. Elle n’aime pas te voir tourner autour de son compagnon. — Kade ? — Ouais, vraiment

Endormie, elle avait l'air en paix mais si vulnérable. Il remonta la couverture pour ne pas qu'elle prenne froid. Rien ne pourrait plus lui arriver maintenant qu'il était là avec elle.