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Liste des extraits

A cet instant, il n'éprouvait non point tant de l'orgueil qu'une immense satisfaction. Il était parvenu au coeur du château ensorcelé.

Il y eut des coups à la porte, des cris.

Il ne prit pas la peine d'y répondre. Il allongea de nouveau la Belle.

- Je suis votre Prince, fit-il, et c'est ainsi que vous vous adresserez à moi, et c'est pourquoi vous m'obéirez.

Encore une fois, il lui écarta les jambes. Sur l'étoffe, il vit le sang de son innocence, et ceci le fit rire doucement, tandis qu'il entrait en elle une fois encore.

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Les seigneurs et les dames à proximité applaudirent avec des gestes singeant la réprimande, grandement ravis, à l'évidence, par le spectacle du page qui posa le pied sur la seconde marche de l'estrade devant le trône, et hissa l'esclave désobéissant à cheval sur son genou et, de nouveau, à la vue de tous, il le fessa bruyamment.

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« Depuis le début de sa jeune existence, le Prince connaissait l'histoire de la Belle au bois dormant, qu'un maléfice avait condamnée, après s'être piqué le doigt sur un fuseau, à dormir cent ans, ainsi que ses parents, le Roi et la Reine, et toute la Cour. »

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La fille de la taverne la fessait sans cesse plus fort, et le Prince était aux anges, savourant la chose bien plus que la fessée qu’il avait lui-même donnée à la Belle.

C’est qu’il voyait bien mieux comme cela, il voyait mieux les seins de la Belle se soulever, et les larmes baigner son visage, et ses petites fesses se contraindre à l’immobilité comme si, en ne bougeant pas, la Belle avait pu, en un sens, échapper aux rudes coups de la jeune fille, ou les esquiver.

Enfin, lorsque son derrière fut très rouge, sans être zébré, il demanda à la jeune fille de cesser.

Il vit ses soldats captivés, de même que tous les gens du bourg, alors il claqua des doigts et dit à la Belle de venir à lui.

— À présent, mangez tous votre dîner, bavardez, faites ce que bon vous semble, fit-il vivement.

L’espace d’un instant, personne ne lui obéit Puis les soldats se tournèrent les uns vers les autres, et les gens, au-dehors, voyant que la Belle reprenait sa posture à genoux aux pieds du Prince, ses cheveux voilant son visage écarlate, ses fesses à vif et cuisantes blotties contre ses chevilles, se mirent, aux fenêtres, à murmurer et à se parler.

Le Prince servit à la Belle un autre verre de vin. Il n’était pas certain d’être tout à fait content d’elle. Il songeait à quantité de choses.

Il appela la fille de l’aubergiste près de lui et lui annonça qu’elle avait été parfaite, lui donna une petite pièce et lui prit la palette qui lui avait servi de battoir.

À la fin, il fut temps de monter se coucher. Et poussant la Belle devant lui, il lui donna quelques gentilles petites tapes sèches pour lui faire monter les marches plus vite jusqu’à leur chambre.

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LE lendemain matin, toute la Cour s’était rassemblée dans la Grande Salle pour assister au départ du Prince, et toute la Cour, y compris le Roi et la Reine, pleins de gratitude, se tenait les yeux baissés, le buste incliné, tandis que le Prince descendait l’escalier, la Belle marchant nue derrière lui. Il lui avait ordonné de tenir les mains croisées derrière sa nuque, sous la chevelure, et de se placer légèrement à sa droite, afin qu’il pût l’entrevoir du coin de l’œil. Et elle obéit, ses pieds nus ne faisant pas le moindre bruit sur la pierre usée des marches, tandis qu’elle le suivait.

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- Je suis votre Prince, fit-il, et c'est ainsi que vous vous adresserez à moi, et c'est pourquoi vous m'obéirez.

Encore une fois, il lui écarta les jambes. Sur l'étoffe, il vit le sang de son innocence, et ceci le fit rire doucement, tandis qu'il entrait en elle une fois encore.

Elle lâcha une suite de doux gémissements qui furent à ses oreilles autant de baisers.

- Répondez-moi comme il convient, chuchota-t-il.

- Mon Prince ...

- Ah, soupira-t-il, c'est charmant.

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