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— Je crains de n’avoir aucune idée de la façon de séduire quelqu’un. Penelope tapota son menton d’un doigt.

— Je vous suggérerais un certain type de robe d’intérieur, mais puisque Tristan ne peut pas voir cela…

— Tristan dit qu’il sait toujours quand je suis près de lui. Il prétend que c’est grâce à mon odeur unique et mes pas. Selon lui, comme il a perdu la vue, ses autres sens sont plus développés.

Après une minute, Abigail dit :

— Bien… comme ses sens du toucher et de l’odorat sont plus aiguisés, vous allez simplement devoir utiliser vos mains.

— Ou votre bouche.

Une fois encore, en entendant la suggestion de Penelope, les autres femmes rougirent vivement, puis gloussèrent.

— Penelope, comme vous êtes mariée à notre frère, je ne pense pas vouloir entendre d’autres suggestions de votre part, dit Abigail en tentant en vain de dissimuler son grand sourire

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Dès que Tristan entra dans la maison, il sentit un changement.

« Elle est ici. »

Le parfum familier de romarin et de camomille l’entourait. L’atmosphère semblait différente, plus vibrante et vivante. Il caressa distraitement Argos, qui avait bondi vers lui pendant qu’il écoutait pour percevoir le son des pas de Marion. L’animal gémit et le lécha comme s’il était parti depuis des jours. Tristan mit un genou au sol et parla au chien.

— Ta maîtresse est-elle ici ?

— Oui. Sa maîtresse est ici.

Ses mots doux le couvrirent comme un voile ensoleillé. Il tenta d’étouffer son bonheur, mais ne réussit qu’à avaler plusieurs fois. Il se leva lentement, les muscles contractés.

— Pourquoi êtes-vous ici ?

— Parce que c’est ici que choisit d’être mon mari.

Avant qu’il ne puisse répondre à cette déclaration énigmatique, elle parla de son ton qu’il avait toujours qualifié « d’autoritaire ».

— Carson, veillez à ce que madame O’Rourke sache que je ne serai plus seule pour dîner, mais que nous serons deux. Aussi bien lui demander aussi de retarder le dîner d’une demi-heure pour permettre à Sa Seigneurie de se rafraîchir.

— Par ici, Votre Seigneurie, dit Ellis avec le rire manifestement présent dans la voix. Je vais veiller à ce que Sa Seigneurie soit rafraîchie et prête pour le dîner, milady.

Puis, avant qu’ils aient fait plus de deux pas, il ajouta :

— Puis-je me permettre l’audace de vous souhaiter la bienvenue à la maison ?

— Merci, Ellis. C’est bon d’être ici. Je vais vous attendre dans le salon, milord.

Tristan avait l’impression d’avoir été frappé avec quelque chose de gros et douloureux. Marion l’avait pourchassé encore une fois. Il était tout simplement impossible d’arrêter cette femme. Faisant de son mieux pour retrouver ses esprits, Tristan se fraya un chemin dans l’escalier, puis jusqu’à sa chambre à coucher avec Ellis et Argos.

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Tristan recula d’un pas et baissa le bras afin que l’arc repose sur son flanc.

— Que pensez-vous de cela, Marion ?

Elle sursauta, surprise que Tristan s’adresse à elle. Comment savait-il qu’elle se trouvait derrière lui ?

— Je suis véritablement ébahie.

Il se tourna et essuya la sueur sur son front avec un bras. Le large sourire sur son visage valait plus pour elle que tout ce qu’elle possédait sur terre. La fierté, le bonheur et une certaine autosatisfaction lui donnaient envie de jeter ses bras autour de lui en jubilant.

— Comment saviez-vous que j’étais ici ?

— Vos pas tandis que vous avanciez dans l’herbe. Je connais les pas d’Ellis, les vôtres sont plus légers.

— Cela aurait pu être une des domestiques.

Tristan tendit l’arc à Ellis et posa ses mains gantées sur ses hanches.

— Je vous reconnaîtrais n’importe où, Marion. Je ne pourrais jamais vous prendre pour quelqu’un d’autre.

Ellis s’éclaircit la gorge et rassembla l’équipement gisant à leurs pieds.

— Je vais aller chercher les autres flèches, milord.

— Merci. Peut-être lady Tunstall sera-t-elle assez gentille pour m’escorter à la maison.

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La terreur naquit au creux de son estomac et remonta en flèche. Les souvenirs où il regardait la maison de sa famille en train d'être rasée par le feu tandis que l'impuissance provoquait une vague de transpiration. Puis, des visions de l'incendie à bord de son navire, juste à côté des munitions stockées, surgirent dans son esprit. Sa respiration s'accéléra, son estomac se noua, et il essuya la sueur sur son front et sa lèvre supérieure.

L'odeur de la fumée l'atteignit, provoquant un haut-le-coeur. Il devait s'en aller d'ici. Loin de l'odeur, de l'horreur, des souvenirs.

- A quelle distance de ma demeure se trouve l'incendie ?

- Difficile de le dire, milord. Il y a une foule de gens. Je vais mieux voir une fois que nous aurons tourné le coin.

Il serra les lèvres et acquiesça d'un signe de tête. Ils continuèrent vers sa résidence. A ce stade, Gillbanks le traînait presque par le coude tandis qu'ils se faufilaient dans la foule.

- Milord, je vois un peu mieux à présent.

Les respirations de Tristan arrivaient par à-coups. La foule le pressait, l'étouffant, l'empêchant presque de bouger.

- Gillbanks, à quelle distance sommes-nous ? L'incendie est-il près de ma maison ?

Le valet de pied hésita, disant à Tristan ce qu'il craignait le plus.

- Milord, c'est votre maison qui brûle.

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