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Liste des extraits

Nouvel extrait :

— C'est d'accord... je t'en fais cadeau, dit-il finalement. À une seule condition...

Je soupirai de lassitude. Et moi qui pensais que cela serait une mission rondement menée... Je me relevai lentement de la butte de terre que j'avais occupée jusque-là. Elle avait été mon poste d'observation, surplombant le domaine des Loups Noirs du Sanctuaire.

— Chef de meute, commençai-je, irrité. Tu n'as pas bien saisi : je ne suis pas là afin d'effectuer une transaction avec toi, mais pour récupérer le bien d'un Puissant... autrement dit, d'un Dieu.

Le Thérianthrope cilla mais sembla encore plus déterminé l'instant suivant.

— Prends l'une de mes filles pour femme.

Durant un court moment, je me vis aux côtés d'une version féminine de

Niceros, la chevelure plus longue mais d'une carrure similaire. Un long frisson d'horreur me secoua l'échiné.

— Hors de question, lâchai-je, réfrigérant.

— Tu es déjà marié ?

— Non.

— Plus ou moins engagé ?

— Plus ou moins.

— Eh bien romps cet engagement, fit-il, non sans une certaine jovialité

sur le visage.

— Je n'ai aucune envie de me lier à l'une de tes louves. Même si ma vie en dépendait... même si elle était la dernière « femelle » dans l'univers, suis-je clair ?

Bien loin de le doucher, ma déclaration élargit son sourire. Son teint sombre tranchait avec la blancheur de ses dents... un peu comme moi.

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(keir)

Elle portait juste un T-shirt et une petite culotte.

C’est à ça que se résumait son « je vais me changer » alors que j’étais au pipi-room ?

Ma bouche devint aussi sèche que le désert de Gobi.

Je pris délicatement la couverture, m’apprêtant à couvrir l’objet de tous mes désirs – je méritais la canonisation rien que pour ce geste – quand elle eut la délicieuse idée de pousser un autre gémissement.

Mes poils se hérissèrent.

Je ne sais pas quel genre de rêve elle faisait pour émettre ce genre de son, mais ma moine-attitude avait ses limites. Petites... les limites. Très, très petites... minuscules même.

Tandis que je me retrouvais tétanisé, les doigts sur la couverture, en essayant de réapprendre à respirer de façon fonctionnelle, je vis un mouvement suggestif de ses hanches.

Ne regarde pas.

Ne regarde pas.

Ne…

Trop tard.

Oh... bonjour petit bout de soie rose bonbon !

Sais-tu que je vais fantasmer sur toi durant mes prochaines nuits ?

Vilaine petite culotte. Vilaine, très très…

Nouveau gémissement et passage d’adorable petite langue sur lèvre inférieure.

Je devais faire quoi là ?

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-Zeus, seigneur des airs, est ton père, jeune jedi...

Pol avait pris une vois caverneuse à la Dark Vador pour une touche comic à sa phrase.

-Tu m' avais dit que son nom d' ange était Samyaza, c' est ça?

-Qu' elle mémoire, mon ange! S' extasia Abaddon, l' oeil pétillant.

-oh Seigneur! Gémis je, en me prenant la tête entre les mains .

-Nan... Appelle-le " papa", commenta Keir avec humour.

Humour censé dédramatiser la situation.

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Nouvel extrait :

— Je m’en doutais, gloussa l’ange déchu. La question est : est-ce que les flammes de la jalousie vont te dévorer ?

— Ce n’est pas dans ma nature de ressentir ce genre d’état d’âme.

— Mais certainement !Depuis quand le tigre n'est plus un animal territorial ? Je te rappelle qu'il n’est pas non plus dans tes habitudes d’avoir une série d’orgasmes. Comme tu l’as judicieusement souligné, je connais parfaitement ta vie sexuelle.

— Heureux de te divertir, murmura le Thérianthrope.

Il sentait bien que son ami cherchait à s’amuser à ses dépens.

Fadlan se détacha rapidement les cheveux avant de les brosser. Puis il sortit une feuille et un stylo de son sac de voyage.

— Je lui laisse une prescription et quelques médicaments. En espérant que cette tête de linotte n’oubliera pas de les prendre.

Abaddon ricana une nouvelle fois.

— Ôte-toi cette idée de la tête. Je suis médecin avant tout.

Pour toute réponse, l’ange déchu gloussa encore.

— Je ne suis pas amoureux d’elle. Tu m’agaces.

— L’idée te travaillerait-elle assez pour que tu répondes à des questions que je ne pose même pas ?

— Va au Diable, Pol.

— Hélas… mon cousin n’est pas joignable en ce moment.

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Nouvel extrait :

Le dénommé « Apollyon » esquissa cet effrayant sourire qui ne signifiait ni sympathie, ni antipathie. Une sorte de grimace factice agitée devant vous, comme d'autres jettent de la poudre de « perlimpinpin ».

— Il se trouve que j’avais besoin de vacances, répondit-il, évasif, sans pour autant regarder en direction de Gloria.

Non, son attention était fixée sur ma personne. Du coup, tous les vampires présents en firent autant.

Je me faisais remarquer dès le premier jour dans cette demeure…

super, vraiment !Merci, les gars !

Apollyon se leva avec une grâce surréaliste pour un homme aussi grand et aussi longiligne. Même s’il avait un torse parfaitement dessiné, il n’en restait pas moins bizarrement proportionné. Cela accentuait son aspect surnaturel, enfin si on mettait de côté les cheveux assortis à la prunelle de ses yeux.

Keir se pencha vers moi pour me chuchoter à l’oreille.

— Dis donc, tu connais ces deux zigotos ?

— Je t’expliquerai plus tard.

Notre charmant et flippant invité surprise s’approcha très lentement de nous.

— J’espère pouvoir compter sur votre hospitalité, ma chère.

Là encore, il s’adressait à la maîtresse des lieux avec l’indélicatesse de ne regarder que moi. D’ailleurs, il marchait dans ma direction comme si j’avais eu une cible sur la poitrine.

Gloria se racla la gorge avant de répondre, tandis que je voyais l’inconnu de mes rêves gagner du terrain dans sa progression.

— Bien sûr. Puis-je vous proposer la chambre de l’aile oue…

— Notre chambre sera celle de mon petit ange, la coupa-t-il en me désignant de l’index alors qu’il se trouvait seulement à quelques centimètres de moi.

Keir s’étrangla avec sa salive.

Les autres vampires me fixèrent de nouveau, avec option stupeur sur leurs visages. Personne n’osa le contredire.

Enfin, quand je ne dis personne, nous oubliions un certain vampire miloup-garou dont l’idée que je partage ma chambre avec deux mâles inconnus n’enchantait pas.

— Excusez-moi, mais vous êtes qui ?

Keir avait pris une voix aussi polie et lustrée qu’un plancher fraîchement verni. Je crois qu’il était au maximum de sa performance d’homme courtois.

— Si je te le révèle, je devrai malheureusement te tuer ensuite.

Apollyon avait articulé avec exagération chaque syllabe, sans daigner lever la tête vers le vampire. Moi, par contre, je voyais parfaitement l’incrédulité se peindre sur ses traits.

— Je plaisantais, sous-créature. Puisque certains d’entre vous se posent la question, je suis… comment annoncer cela, Fadlan, sans les choquer ?

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" - Liam ?

- Oui ?

- Rends-moi un service ...

- Quoi ?

- Boucle-la "

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Ce type était grave cinglé.

Il me semble même entendre Keir l'approuver en marmonnant <bercé trop près du mur bébé... Ça laisse des traces>

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"Une évidence sauta à la figure de Luc lorsqu’il pénétra dans le hall du bâtiment qui abritait le bureau d’Hector : devenir un loup solitaire pouvait rapporter gros. Loin de la meute, l’ami d’enfance de son frère, Éric, ne s’était pas laissé périr, mais avait fait son bonhomme de chemin avec une carrière professionnelle qui reflétait clairement son train de vie.

Quatre jours désormais qu’Hector l’hébergeait, ou plutôt, lui avait ordonné de rester sagement dans son immense appartement situé tout en haut d’un tout aussi gigantesque immeuble au design moderne.

Une fois passé sa secrétaire qui avait vainement tenté de le bloquer, il ouvrit le bureau du solitaire à la volée.

— J’en ai ras le bol que tu me séquestres dans ta piaule ! s’écria-t-il en guise de salutations.

Hector lui tournait le dos, les mains enfoncées dans les poches de son pantalon de costume noir au prix indécent. Son regard paraissait jauger la ville à travers les grandes fenêtres.

— Tu te sens séquestré dans une suite dotée d’une piscine chauffée, d’un bain à remous et d’un cinéma privé ? articula l’ancien ami de son frère sans prendre la peine de se retourner vers lui.

Le ton de sa voix empestait l’ironie à plein nez.

— Je ne suis venu ici pour me payer des vacances quatre étoiles ! répondit Luc d’un timbre grondant, et en retroussant légèrement sa lèvre supérieure.

Hector lui offrit son profil.

— Non. Tu es venu t’offrir la tête de l’élue des vampires.

— Oui ! rugit Luc, les nerfs à fleur de peau.

Il serrait convulsivement les poings à se faire saigner les paumes à cause de ses ongles.

— Une vie pour une vie ! poursuivit-il.

Hector détourna lentement la tête pour à nouveau contempler Braimont.

— Hélas. Je ne peux pas satisfaire ta lubie vengeresse. Un métamorphe la veut et il est bien plus puissant que toi. Plus riche, aussi.

La nouvelle tomba tel une chappe de plomb capable d’alourdir la pièce et absorber l’oxygène en un claquement de doigts.

— Tu ne peux pas me faire ça… murmura Luc, anéanti. Tu ne peux pas me priver de ce châtiment pour une simple question de business.

Tête renversée en arrière, Hector éclata d’un rire âpre.

— Tu sous-estimes indéniablement le pouvoir de l’argent. Ou le pouvoir tout court. (Il pivota suffisamment afin d’accrocher son regard à celui de Luc) Les désirs monnayables. Les appétences que l’on peut nourrir par les billets verts sont tellement faciles. Prévisibles. Et la mienne, de faim, Luc, est gargantuesque. J’ai des millions à investir. L’homme qui veut cette femme peut me les procurer sur un plateau. Désolé.

Luc était estomaqué. Jamais il n’aurait pensé que l’ancien meilleur ami d’Eric, son frère, lui refuserait la vengeance de sa mort parce qu’il avait « vendu » la femelle du vampire guerrier à un autre thérianthrope !

— Qui ? Qui est-il ?

Hector se tourna complètement. Un sourire en coin courbait étrangement la commissure de ses lèvres.

— Connaître son nom ne te sera d’aucune utilité.

....."

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Nouvel extrait :

Tandis que Keir grimaçait en faisant probablement turbiner son cerveau afin de trouver une explication plausible, le Tigre-garou ferma brutalement son ouvrage. Le bruit me parut assourdissant, tellement que j’en sursautai sur ma chaise.

— Cela ne vous regarde pas, monsieur MacDowen. Si vous avez des questions, je vous suggère d'attendre le retour de mon maître.

En clair, Fadlan venait d’inciter Liam à interroger un Dieu.

Ce qu’il ne ferait certainement pas.

Et tous deux le savaient.

— Simple curiosité, rétorqua le vampire en grinçant des dents, le regard dur.

— Dites à votre curiosité de me considérer comme son médecin attitré, et mon maître, comme un ami de la famille.

Fadlan avait appuyé ces mots d’un sourire narquois qui visait à

provoquer Liam.

— Ainsi soit-il, dit le frère de Keir, sans mordre à l’hameçon.

— C'est approprié.

Pourvu que personne n’ait l’idée saugrenue de craquer une allumette.

Sinon nous serions désintégrés dans une explosion, genre rafale de napalm.

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(Anae & Fadlan)

- Je ne sais pas. Je crois... je crois que quelque chose cloche chez moi.

Je me penchai vers elle.

Nous étions si proches que j'aurais pu plonger mon nez dans son cou.

- Rien ne cloche chez toi, Anae. C'est ce monde qui n'est pas adapté à toi.

La jeune femme parut soulagée par mes paroles.

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