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« Si j'ai eu pendant quelques années le pistolet facile, je ne m'y suis jamais laissé aller avec allégresse, sauf dans l'atmosphère du débarquement. Pourtant, jusqu'à la fin de 1942, à part l'enfantillage des tracts et d'épisodiques sabotages, le plus gros de mon travail, le plus important, une fois les évasions à grande échelle terminées, ce fut le pistolaccio. »
Dominique Ponchardier, considéré par la Gestapo comme un très dangereux terroriste toujours armé et qu'il fallait abattre à tout prix, raconte dans ce récit ce que fut la véritable clandestinité, celle des gens de l'ombre, des bonshommes de la première heure.
Des scènes étonnantes, dramatiques, impossibles à résumer : l'exécution au couteau du traître Durand, le meurtre de la prostituée qui «vendait» les agents alliés, le suicide imposé au Saint-Cyrien lâche, voilà ce que vous réserve cette oeuvre exceptionnelle.
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