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Extrait ajouté par -Althea-4 2013-05-31T17:08:07+02:00

"What you're..." Ash stopped. Stared at me. I felt the energy in the room shift the moment he got it.

"Meghan." His voice was calm, controlled, but so many emotions swirled just below the surface. "Are... are you... pregnant ?"

I shivered and closed my eyes, not knowing whether to laugh or cry or scream.

"I think so."

"Quesque tu..." Ash s'arrêta. Me regarda. Je sentis l'énergie dans la pièce changer au moment où il comprit.

"Meghan." Sa voix était calme, controlée, mais tant d'émotions tourbillonnaient à la surface. "Tu... Es-tu... enceinte?"

Je frissonnais et fermais les yeux, je ne savais pas si je devais rire, pleurer ou crier.

"Je crois que oui."

Traduction personnel

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Extrait ajouté par mama77600 2013-05-26T12:38:06+02:00

Les Ténèbres m'entouraient. Je me tenais au centre d'une pièce familière, je reconnue les murs et les étagères couvertes d'objets macabre et étrange. Il y avais des Serpents dans des bocaux, des dents dispersés parmi des plumes et des os. Un squelette dans un instaler dans un chapeau haut de forme me sourier souriant. Tout cela ètai effrayant, mais je n'avais pas peur. Je savais qu'elle ètai cette endroit. Juste je ne pouvais pas me rappeler ou je l'avais vu.

Une vieille chaise à bascule en bois bougais doucement. Il n'ètait pas loint de moi, et j'eu pu voir un corps affalé dans, les bras ballants usé par le temps. Je m'avensait d'un pas, et puis un hotre ça sentait la pourriture, la puanteur de la poussière, des chiffons et des journaux anciens, croulant sous les combles. Marchant juqua faire face à la chaise, je regardais vers elle.

Et je découvrie le cadavre d'une vieille femme, ses ongles recourbés en longues griffes acérées, sa tête affalé sur le dos de la chaise. A ce moment la elle leva la tête, et ses yeux noir brulaient comme un feu. Elle ouvrit la bouche et souffla des mots qui ont stoppé mon cœur téllement ma peur ètais grande.

Et je me suis réveillé.

Mon nom est Meghan Chase.

Et j'ai travaillé trop dur ces derniers temps.

Je levai la tête de mon bureau, en clignant des yeux et ragarda mon ordinateur ou des mots absurdes défilait sur l'écran. Un rapide coup d'œil à l'horloge 06:32

Je bâilla, secouant les toiles d'araignée de mon esprit, que et ma mémoire revient. Non, je suis venu ici il ya seulement une heure, pour vérifier l'état du nouveau système du chemin de fer qui allait autour du royaume de fer. C'était un de mes projets, le royaume de fer, en dépit d'être le domaine le plus petit et plus récent dans le nouveau monde, était encore grande et tentaculaire. Il fallait trouver un moyen pour ses citoyens de voyager en toute sécurité et rapidement, en particulier si il venaient l'idée à Mag Tuiredh de voir leur nouvelle reine. Le chemin de fer était la solution parfaite, mais ce serait il ne sera construie pas avant un moment.

Je me suis frotté les yeux, les restes d'un rêve s'effacer fis surface dans mon ésprie.

Quelque chose avec un squelette et un vieux cadavre flippant ... Je n'arriva pas à me souvenir. Peut-être que j'avais besoin de ralentir, de prendre une pause ou des vacances, si la reine de fer a été autorisé à de telles choses. Mais c'ètait totalment imposible maintenant. La Cour de fer devais faire face au autres tribunaux. Il y avais eu quelques ratés, impliquant en particulier la Cour d'hiver, comme les limites de Tir Na Nog reposés très proche de celuis de fer, mais un ensemble de choses allaient beaucoup plus en douceur et pacifiquement que j'aurais pu l'espérer.

Ce qui me rappela. Aujourd'hui marque le premier jour de l'hiver. La Cour d'hiver était cet après-midi à Tir Na Nog. Je gémis à cette pensée.

A mes pieds, Beau, mon berger allemand, souleva sa tête et sa queue batit lair, et je lui sourit.

"Bonjour, mon garçon. Tu a besoin de sortir? "

Le grand chien haleta et bondi sur ses pieds, remuant sa queue. Je fini par me lever, puis je me sentie mal et un nuage de nausées fleuri dans mon estomac. Les sourcils froncés, je mets ma main sur le bureau pour me stablilisé, serrant la mâchoire jusqu'à ce que le mal passé.

Beau poussa ma main et gémit.

Je caressa son cou, et la sensation de malaise disparrue et tout était redevenu normalement.

«Je vais bien, mon garçon,"

aige assuré à Beau, qui leva les yeux vers moi me regardent avec des yeux bruns inquiets.

«J'ai travailler trop dur, je suppose. Allez, je parie que Razor est en attente de son jeu quotidien de catch-me-if-you-can ".

Nous avons glissames dans le couloir du palais, où je suis immédiatement suivis par plusieurs remlins, minuscule fée de fer qui ont vècu des beaucoup de problème pendant le chaos.

Ils ont ri et voleter autour de moi, escaladent et se suspendent au plafond, jusqu'à ce que nous ayons atteint la porte qui nous conduisie au jardin qui entoure le palais.

Dès que j'eu ouvert les portes, les gremlins ont filé à travers laes bois, et Beau à décollé après eux, en aboyant comme un fou.

Je leva les yeux et ferma la porte calmement puis je revint dans le palais de fer.

Je ne pouvais pas m'empêcher de sourire en entrent dans ma chambre, hochant la tête aux chevaliers de fer qui s'inclina sur mon passage. C'était ma vie maintenant, fou, bizarre et magique, et je ne voudrais pas qu'il en soit autrement.

Dès que je me promena dans la chambre mon regard fut attiré par le grand lit le long du mur et par la bosse sous les couvertures. Une pâle lumière diffuse passait à travers les rideaux entrouverts, s'installant autour de la forme encore en dormir du prince d'hiver. Ou plutôt un ancien prince d'hiver. Regardant par le cadre de la porte, je pris le moment de savourer ce moment serein juste à le regarder, un petit frison passa dans mon estomac. Parfois, il était encore difficile de croire qu'il était là, que ce n'était pas un rêve ou un mirage ou le fruit de mon imagination.

Qu'il était à moi pour toujours: mon mari, mon chevalier.

Ma fée avec une âme.

Il était couché sur le ventre, les bras sous l'oreiller, la respiration calme, ses cheveux noirs tombant sur ses yeux. Les couvertures avaient glissé ses maigre épaules musclées, et les rayons matinaux caressait sa peau pâle. Normalement, je ne pouvais pas le regarder dormir, il était habituellement révailler avant moi, à ce promener dans la cour de avec Glitch ou tout simplement à rôder dans les couloirs du château. Dans les premiers temps de notre mariage, surtout.

je me réveillais au milieu de la nuit pour trouver le disparu, les réflexece de ses jours de guerriers qui lui rendait impossible pour lui de rester en un seul endroit, même pour dormir. Il avait grandi dans la cour Unseelie, où vous deviez regarder votre derrière votre dos à chaque seconde de chaque jour, et même après des siècles cela ne peu être oublié si facilement.

Et que la paranoïa ne serait jamais vraiment disparaître, mais il commençait peu à peu à se détendre maintenant, au point où parfois, mais pas souvent, je me réveillais avec lui toujours à côté de moi, son bras enroulé autour de ma taille.

Et vu comment il était rare de le voir vraiment lui pas sur la défencive et à l'aise, je détesta le fait de le déranger.

Mais je suis entré dans la pièce et magenouilla à côté du lit et toucha doucement son épaule.

Il a été réveillé dans d'un coup, ses yeux argentés craquant fixant les mienne, ne manquant de me prendre mon souffle.

"Salut," l'aige salué en souriant.

«Désolé de te réveiller, mais nous devons être quelque part bientôt, tu te souviens?"

Il grogna et, à ma grande surprise, roula sur le dos et mis un l'oreiller sur sa tête.

«Je ne pense pas que je pourrais te convaincre d'y aller sans moi», gémit-il, son manchon vocal dirigé sous le tissu.

«Dites-Mab j'ai été mangé par une manticore ou quelque chose?"

"Quoi? Ne soye pas ridicule."

Je pris l'oreiller de sa tête, et il grimaca.

«C'est notre premié discoure ensemble, Ash. Ils vont nous attendre. Tous les deux.

"Il gémit et a attrapé lotre oreiller, couvrant ses yeux.

"Je veu faire l'école buissonnière et insulté la reine de l'hiver. Je ne fais pas ça par moi-même."

J'ai pris le deuxième oreiller, jetant sur le sol et fit les gros yeux. "Debout".

Il me regarda avec un sourire ironique. "Tu ait terriblement guilleret pour quelqu'un qui m'a empêché de dormir toute la nuit."

"Et, tu a commencé, tu te souvien?"

Je fis semblant de le défier.

C'était comme de minuscules morceaux de son mur émietté chaque jour, en me montrant la brillante, belle âme qui se trouvait en dessous. Je savais qu'il était là, bien sûr, quand il était revenu de sa quête, mais il avait été fragile et éclipsé par son passé, par sa nature et son éducation Unseelies impitoyable.

Maintenant, cependant, je pouvais le voir tous les jours.

Il est encore Ash le prince de glace pour tout le monde dans le château, et parfois cette barrière congelée bondit quand il était en colère ou bouleversés, mais il essayait de le retenire.

«Alors, je t'atent."

Lui dige en le pincent au côtes, le faisant grogner.

"Si je dois souffrir par ce biais, vous aussi. Cela faisait partie du marché lorsque tu ma épouser."

Je suis repartie à l'attaque à nouveau, lorque sa main à fuser plus vite que je pouvais le prè-voir, il me saisie mon poignet et me tira vers lui. Je poussa un cri effrayé et est tomba sur lui, et ses bras se refairmairent immédiatement autour de ma taille, me piégeant contre lui.

«Je ne sais pas», se dit-il, en me donner un sourire paresseux, et mon cœur se mis à battre plus fort dans ma poitrine.

"Que feriez-tu si je te gardais ici l'après-midi? Nous pourrions envoyer Glitch à Tir Na Nog à notre place, je suis sûr qu'il arrangerait les choses ".

"Oh, oui, ce serait aller sur le bien-" Mais ma voix a ce perdit quand Ash se pencha et m'embrassa, coupant toute protestation. Mes yeux se fermèrent, et je me fondit en lui, savourant la sensation de ses lèvres sur les miennes, respirant son odeur. Dieu, il était comme une drogue, je ne pourrais jamais en avoire assez.

Mes doigts parcouraient ses épaules nues et sa poitrine, et il soupira contre mes lèvre, glissant ses mains dans mes cheveux.

«Ce ... ne va pas vous sortir de là», je respira, un frissons meu parcouru quand Ash embrassa doucement mon cou, juste en dessous de mon oreille. "Tu es toujours ... va au Royaume d'hiver ...» Il léssa échapé un rire, bas et calme, et puis effleura mes lèvres, pui ma joue.

«Je suis à vos ordres, ma reine,» murmura-t-il, ce qui fait battre mon cœur encore plus vite, l'amour que je lui portai me laissai impuissant.

«Je vais obéir, même si tu me commandai de me couper mon propre cœur. Même si tu m'ordonnai d'aller dans l'enfer qu'est la Cour d'hiver».

«C'est ... pas si mal que ça, hein?" réussige à sortir. Ash fit un sourire triste.

"Eh bien, mettons les choses en perspective, d'accord?" At-il réfléchi, enlevent une mèche de cheveux de mes yeux quand il leva les yeux vers moi.

«Combien de foi Avez-vous est tu allée au Royaume d'hiver?"

«Trois», dis-je immédiatement. «Au moins ... ce sera ma troisième foi."

"Et combien de foi pensez-tu que j'y suis allé?"

"Um. Plus de trois? "

«Je ne te remercie de ton cadeau."

Ash m'embrassa une fois de plus et me libera de son emprise, en secouant la tête.

Je recula, parce que si je restais là, ses yeux et sont visage magnifique m'emprisonneron, et je ne voudrais plus bouger.

"Très bien."

Il soupira, prennant un air offensé.

«Je suppose que je vais souffrir un autre rassamblement." Il se mis sur un coude, en me regardant sous les couvertures, l'air si sexy J'en suis tenté de dire que l'enfer avec lui et Mlle Elysium n'est rien.

«Tu te rend compte que je vais probablement être contestée au moins une fois par un hiver loyau de la Cour qui pense que je suis devenu un traître."

«Oui, eh bien, essayez de ne pas tuer quelqu'un, Ash."

"Majesté?"

Une douce voi monta de la porte.

Je l'ouvrie et devant ma chambre se de trouvait trois nymphes de fil levant les yeux vers moi.

"Nous sommes ici pour vous aider à préparer pour l'Elysium, votre majesté,"

dirent t-elle avec une profonde révérence.

"Conseiller Fix a insisté pour que nous créillons une robe pour vous, une adaptée à votre statut de reine."

"Maintenant?"

Je sourit.

Fix, mon principal conseiller packrat, avait été très occupé ces derniers temps, des recherches sur l'Elysium, les autres tribunaux et toutes les coutumes qui vont avec.

Il était incroyablement efficace et probablement en savaitt'il plus sur l'événement que la plupart des fée traditionnel.

Les fil nymphe me regardant bisarment ce qui crée a en moi un sentiment d'inconfort.

"Oui, votre majesté. Il a également voulu que nous vous rappelions à son altesse qu'il serait tout à fait inapproprié de porter des jeans d'homme et un T-shirt à la Cour d'hiver, et que les baskets ne sont pas considérée comme tenue d'un tribunal approprié. "

Un bruit venait du lit me fit me retourner, il sonnait étrangement comme un ricanement.

Je jeta à Ash un regard rapide, et il me regarda innocemment.

La nuit dernière, lorsque Fix allait sur les règles avec moi une fois de plus, je blagua en mentionnentque l'événement était si étouffante et formelle, peut-être que je pourrais aller dans des vêtements décontractés cette année.

Ensuite, je voudrais au moins être immortalisée.

Je pensa que Fix allait avoir une attaque cardiaque, et rapidement lui ai assura que je plaisantais. Packrats étaient de merveilleuse petite fée et très loyaux, mais ils ont tendance à prendre tout au sérieux.

Puck aurait survécu une journée sur le terrain avec eux.

Puck.

Je resontie un pincement au cœur au souvenir de mon ami.

Où était-il maintenant?Que faisait-il?

Je n'avais pas vu mon meilleur ami depuis le jour où nous avions vaincu le faux roi et ou je revendiqua le trône de fer.

Puck avait accompagné Ash dans sa quête pour gagner une âme pour qu'il puisse être avec moi dans le royaume de fer.

Mais ils c'ètaient séparèrent peu de temps après, et personne n'avait eu aucun signe du Grande farceur.

Je voulais, je savais où il était. Je l'ai manqué.

"Très bien,"

dit je aux nymphes de fils, souriant à leur nervosité.

«Alors, je suis à votre merci, je suppose. Montrer moi la voie. "

Quelque heures plus tard, après avoir été poussé, étouffé et fourré dans ma robe, mes cheveux bouclées et mon visage maquillé, je suis retourné vers ma chambre à coucher, soulagé de voir que cela ètait fait.

Cela est l'une des choses que j'ai en horeur;

ces affaires extrêmement formelles qui mon obligé à regarder la partie d'une puissante reine des fées.

J'ai compris la réticence de Ash.

La politique de Faery étaient difficiles, complice et, si vous ne faites pas attention, elle peu se trouver extrêmement dangereux.

Je devais apprendre les ficelles du métier rapidement. Heureusement, Glitch et Fix étaient là pour donner des conseils quand j'en avais besoin, et maintenant Ash était là, aussi.

Et puis le plus jeune fils de la reine Unseelies n'ètait pas en reste quand il s'agissait de luttes de pouvoir entre les tribunaux de faery.

En parlant de cela ...

Il m'attendait en dehors de notre chambre, appuyé contre un des piliers, les bras croisés. En le voyant, je me suis arrêté pour me recueillir.

Ash dans son uniforme noir et argent frappant contre la colonne de marbre blanc, son manteau drapé ses épaules et son épée au côté. Cela m'a rappelé notre première danse ensemble, mon premier Elysium, quand j'avais vu le froid, le fils de la reine Mab si dangereux de près pour la première fois et j'étais complètement perdu.

Appelez ça le destin, le destin ou tout simplement coinsidance flagrante,

à partir de ce moment-là, il n'y avait pas de retour en arrière.

Comme je l'ai approché, il a souri, et ma tendue sa main.

Il avait cette incroyable capacité à voir tout sur moi en un seul coup d'œil, sans quitter des yeux mon visage. J'ai senti se qu'il pensait maintenant.

Son expression avait l'air un peu hébété, pendant un moment, il ce resaisie et me prit la main et la baisa , un parfait gentleman, même maintenant.

"Bien." J'ai soupiré, en ignorant les papillons lâchés dans mon estomac.

«Me voici, toute belle et prête à aller à l'Elysée."

Je baissai les yeux vers le tissu gris et blanc métallique de ma robe, couleurs convenable pour la reine de fer, en secouant la tête.

"J'espère que cette robe est assez chaude. Le palai de Mab

n'est pas exactement l'endroit le plus chaud dans le Nevernever ".

"Tu es magnifique», a déclaré Ash, me tirant à proximité.

Je rougis, et un sourire un peu espiègle etira les comissure de sa lèvre son visage.

«Je suis heureux Fix a pu te parler de jeans et de T-shirt."

J'ai frappé son ventre avec le dos de ma main.

Il rit doucement, m'offrant son bras, et, ensemble, nous avons marché à travers les longs couloirs du palais de fer. Gremlins se précipita sur les murs et les plafonds, caquetant, et les chevaliers de fer baisaire leurs têtes quand nous sommes passés. elfes, des nains Hacker-Cog, nymphes des fils et horlogerier et hommes s'inclinèrent tout quand nous sommes passé, avant de poursuivre leur mission. Mon Royaume de fer.

Il était difficile de croire qu'il y à quelques années, j'étais un adolescent normal vivant dans les marais de Louisiane, et le fer fey ont lentement fait leur déménagement et détrui le Nevernever.

Maintenant, j'étais leur reine, et ils, et je n'ètait pas vraiment le bienvenu dans le Wyldwood et les autres tribunaux, n'étaient plus considérées comme des abominations à éradiquée.

Tant de choses avaient changé.

J'avais changé, et avec moi tout le monde autour qui m'touraie.

J'ai glissé un coup d'oeil à mon chevalier, qui marchait tranquillement à côté de moi.

Il semblait vraiment à l'aise maintenant, confortable et contenu dans le palais de fer.

Bien que son regard balayé constamment notre environnement, et il regardait chaque faery j'ai parlé avec fulgurance, prêt à entrer en action si nécessaire, il s'était acclimaté au royaume de fer étonnamment bien. J'avais été inquiet au début, qu'il lui vienne a regréter Tir Na Nog et la Cour d'hiver et qu'il aurais eu aurait du mal à s'adapter à la nature étrangère du royaume de fer et les feys en son sein.

Mais il avait glissé dans son rôle étonnamment bien, presque comme ci cela lui ètait familier. Comme ci il l'avait toujour fait avant.

Et, curieusement, peut-être qu'il l'avait fait.

Je ne sais pas ce que Ash avait traversé lors de son voyage au bout du monde pour gagner son âme.

Il m'avait dit l'essentiel, sans trop entrer dans les détails douloureux, et ce qu'il avait dit me semblait presque trop fou pour croire. Une section en particulier, la partie où il avait vu une version future de nous, il ne parlait pas de grand-chose.

Ce n'était pas qu'il était évasif, mais il avait expliqué qu'il ne voulait pas déolorer notre avenir avec des les choses qui pourraient ne jamais se produire.

A vrai dire, je n'étais pas inquiet.

Je savais qu'il me dirait tout, jusque dans les moindres détails, si je voulais vraiment le savoire mais le pus importen c'est qu'il soit la avec moi c'tait tous se qui

importait vraiment.

«Tu m'épie à nouveau," murmura Ash tourner la tête, mais mn coin de ses lèvres haussa up. Ses yeux argentés dansaient avec malice.

«Est-ce l'uniforme? Je devrais peut-être retirer si c'est tellement distrayant. "

"Comportez-vous, Ash." Je fronçai le nez,et souria

"Et ne croi as que je ne sais pas ce que vous faites. Votre petit stratagème pour sortir de l'Elysée ne va pas-"

J'ouvris la bouche que, sans avertissement, mon estomac se retourna et un accès de vertiges fait le tour des murs. J'ai essayé de dire quelque chose à Ash, afin de de le prèvenire, mais pieds icl, et le sol se précipita vers moi.

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Extrait ajouté par DML12 2014-08-02T22:50:00+02:00

« " Tir Na Nog is no longer my home. " Ash finally looked up again, meeting my gaze. His eyes lightened, back to that gorgeous silver. "I'm whining, aren't I ?" he said with a rueful look, and shook his head. "No, I'm not homesick. I might miss my kin, but my home is Mag Tuiredh, or wherever you wish to rule from. The Nevernever, the Iron Realm, even the mortal word, it's doesn't matter to me. Meghan…" He shifted closer, closing the distance between us, and one hand rose to brush my cheek. "My home… is with you." »

« Tir Na Nog n'est plus ma maison." Ash releva finalement les yeux, et rencontra mon regard. Son regard s'illumina, redevant de cette magnifique couleur argentée. " Je ne suis pas en train de pleurnicher , n'est ne pas? " dit-il, avec un regard triste et secoua la tête. " Non, je n'ai pas le mal du pays, mes parents me manquent, mais mon chez moi est à Mag Tuiredh, ou partout où tu souhaites diriger ton royaume. Le pays de Nulle part, le royaume de Fer, et même le monde des mortels, ça n'a pas d'importance. Meghan… " Il s'approcha, réduisant la distance entre nous, et leva une main pour toucher ma joue " Mon chez moi… c'est avec toi." »

Iron's prophecy

(Traduction personnelle, soyez indulgent )

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Extrait ajouté par Soso83 2013-03-27T20:46:10+01:00

CHAPTER ONE

Darkness surrounded me. I stood in the center of a familiar room, the walls and shelves covered with the macabre and strange. Snakes f loating in jars, teeth scattered among feathers and bones and pestles. A skeleton in a top hat grinning at me from the corner. Frightening, but I wasn’t afraid. I knew this place. I just couldn’t remember from where.

An old wooden rocking chair creaked softly at the edge of the light. It was facing away from me, and I could see a body slumped in the seat, withered arms dangling over the sides. I took a step closer and smelled the decay, the stench of grave dust and rags and ancient newspapers, crumbling in the attic. Walking around to face the chair, I gazed down at the shriv- eled corpse of an old woman, her nails curved into long, steely talons, her head slumped on her sunken chest.Then she raised her head, and her eyes burned with black fire as she opened her mouth and breathed the words that stopped my heart in fear.

And I awoke.

My name is Meghan Chase.

And I’ve been working way too hard, lately.

I lifted my head from my desk, blinking at my computer and the nonsensical words scrolled across the screen. A quick glance at the clock proclaimed it 6:32 a.m. Had I pulled another all-nighter? I yawned, shaking cobwebs from my mind, as memory returned. No, I’d come here only an hour ago, to check the status of the new railroad system that was going up around the Iron Realm. It was a pet project of mine; the Iron Realm, despite being the smallest and newest realm in the Nevernever, was still large and sprawling. It needed a way for its citizens to travel safely and quickly, particularly if they were coming to Mag Tuiredh to see their new queen. The railroad was the perfect solution, though it would be a while before it was finished.

I rubbed my eyes, the remnants of a dream fading from my mind. Something with a skeleton and a creepy old corpse... I couldn’t remember. Maybe I needed to slow down, take a break or a vacation, if the Iron Queen was allowed such things. It wasn’t such an impossible idea now. The Iron Court, despite all the fear and hatred it still faced from the other courts, was doing well. There were a few hiccups, particularly involving the Winter Court, as Tir Na Nog’s boundaries rested very close to Iron, but as a whole things were going far more smoothly and peacefully than I could’ve hoped for.

Which reminded me. Today marked the first day of Winter. The Winter Court Elysium was this afternoon in Tir Na Nog. I groaned at the thought.

At my feet, Beau, my German shepherd, raised his head and thumped his tail hopefully, and I smiled down at him.

“Hey, boy. You need to go out?”

The big dog panted and surged to his feet, wagging his tail. I ruff led his fur and stood, then winced as the f loor swayed and a cloud of nausea bloomed in my stomach. Frowning, I put my hand on the desk to steady myself, clenching my jaw until the spell passed. Beau nudged my hand and whined. I patted his neck, and the sick feeling faded and everything was normal again. “I’m okay, boy,” I assured the dog, who gazed up at me with worried brown eyes. “Working too hard, I guess. Come on, I bet Razor is waiting for his daily game of catch-me-if-you-can.”

We slipped into the hallway of the palace, where I was instantly trailed by several remlins, tiny Iron fey that lived for trouble and chaos. They laughed and skittered around me, climbing alls and hanging from the ceiling, taunting poor Beau, until we reached the doors that led to the gardens surrounding the palace. As soon as I opened the doors, the gremlins shot through, buzzing hallenges, and Beau took off after them, barking like mad. I rolled my eyes and shut the door as quiet returned to the Iron palace, if only temporarily. I couldn’t help but smile as I headed back to my chambers, nodding at the Iron knights who bowed as I passed. This was my life now, crazy and weird and strange and magical, and I wouldn’t have it any other way.

As soon as I wandered back into the bedroom, my gaze strayed to the large bed along the all and the lump beneath the covers. Pale light streamed through the half-open curtains, settling round the still-sleeping form of a Winter sidhe. Or a former Winter sidhe. Pausing in the door frame, I took ad-vantage of the serene moment just to watch him, a tiny f lut-ter going through my stomach. Sometimes, it was still hard to believe that he was here, that this wasn’t a dream or a mirage or a figment of my imagination. That he was mine forever: my husband, my knight.

My faery with a soul.

He lay on his stomach, arms beneath the pillow, breathing peacefully, his dark hair falling over his eyes. The covers had slipped off his lean, muscular shoulders, and the early morning rays caressed his pale skin. Normally, I didn’t get to watch him sleep; he was usually up before me, in the courtyard sparring with Glitch or just prowling the halls of the castle. In the early days of our marriage, especially, I’d wake up in the middle of the night to find him gone, the hyperawareness of his warrior days making it impossible for him to stay in one place, even to sleep. He’d grown up in the Unseelie Court, where you had to watch your back every second of every day, and centuries of fey survival could not be forgotten so easily. That paranoia would never really fade, but he was gradually starting to relax now, to the point where sometimes, though not often, I would wake with him still beside me, his arm curled around my waist.

And given how rare it was, to see him truly unguarded and at ease, I hated to disturb him. But I walked across the room to the side of the bed and gently touched his shoulder.

He was awake in an instant, silver eyes cracking open to meet mine, never failing to take my breath away. “Hey,” I greeted, smiling. “Sorry to wake you, but we have to be somewhere soon, remember?”

He grunted and, to my surprise, shifted to his back and put the pillow over his head. “I don’t suppose I could convince you to go without me,” he groaned, his voice muff led beneath the fabric. “Tell Mab I’ve been eaten by a manticore or something?”

“What? Don’t be ridiculous.” I snatched the pillow off his head, and he winced, peering up at me blearily. “It’s our first Elysium together, Ash. They’ll be expecting us. Both of us.” He moaned and grabbed another pillow, covering his eyes.

“No playing hooky and insulting the Winter Queen. I’m not doing this by myself.” I took the second pillow, tossing it on the f loor, and mock-glowered at him. “Up.”

He regarded me with a wry smile. “You’re awfully perky for someone who kept me up all night.”

“Hey, you started it, remember?” I feigned defiance, but it still made my heart soar to see him like this. It was like tiny pieces of his wall crumbled every day, showing me the bright, beautiful soul that lay beneath. I knew it was there, of course, when he had returned from his quest at the End of the World, but it had been new and fragile and overshadowed by his past, by his Unseelie nature and ruthless upbringing. Now, though, I could see more of it every day. He was still Ash the ice prince to everyone else in the castle, and sometimes that frozen barrier sprang up when he was angry or upset, but he was trying.

“So, come on.” I poked him in the ribs, making him grunt.

“If I have to suffer through this, you do, too. That was part of the deal when you married me.” I went to poke him again, but his hand shot out faster than I could see, grabbing my wrist and pulling me forward. I gave a startled yelp and fell on top of him, and his arms immediately snaked around my waist, trapping me against him.

“I don’t know,” he mused, giving me a lazy smile, as my heart started pounding in my chest. “What would you do if I just kept you here all afternoon? We could send Glitch to Tir Na Nog in our place—I’m sure he’d smooth things over.”

“Oh, yeah, that would go over well—” But my voice was lost as Ash leaned up and kissed me, cutting off any protest. My eyes closed, and I melted into him, savoring the feel of his lips on mine, breathing in his scent. God, he was like a drug; I could never get enough. My fingers roamed over his bare shoulders and chest, and he sighed against me, sliding his hands up to tangle in my hair.

“This...isn’t going to get you out of it,” I breathed, shivering as Ash gently kissed my neck, right below my ear. “You’re still...going to Elysium...” He chuckled, low and quiet, and brushed his lips across my cheek.

“I am yours to command, my queen,” he whispered, making my heart clench in complete, helpless love. “I will obey, even if you order me to cut out my own heart. Even if you order me to the hell that is the Winter Court Elysium.”

“It’s...not that bad, is it?” I managed to get out. Ash gave a rueful smirk.

“Well, let’s put it in perspective, shall we?” he mused, brushing a strand of hair from my eyes as he gazed up at me.

“How many Elysiums have you been to?”

“Three,” I said immediately. “At least...this will be my third one.”

“And how many Elysiums do you think I’ve been to?”

“Um. More than three?”

“I do appreciate your gift for understatement.” Ash kissed me once more and let me go, shaking his head. I stepped back, because if I stayed there any longer, staring into that gorgeous face, I wouldn’t be going anywhere. “Very well.” He sighed, putting on a mock-affronted air. “I guess I can suffer through another Elysium.” He shifted to an elbow, watching me beneath the covers, looking so sexy I was tempted to say the hell with it and miss Elysium myself. “You do realize that I’m probably going to be challenged at least once by some Winter Court thug who thinks I’ve turned traitor.”

“Yes, well, try not to kill anybody, Ash.”

“Majesty?” A soft tap came on the door. I opened it a crack to find three wire nymphs gazing up at me. “We are here to help you prepare for Elysium, your majesty,” one said with a deep curtsy. “Councilor Fix insisted that we arrange a dress for you, one suited for your status as queen.”

“Did he now?” I smiled. Fix, my chief packrat adviser, had been quite busy of late, researching Elysium, the other courts and all the customs that went with it. He was incredibly efficient and probably knew more about the event than most of the traditional fey did.

The wire nymph shuff led her feet, looking uncomfortable.

“Yes, your majesty. He also wished us to remind her highness that it would be highly inappropriate to wear human jeans and a T-shirt to the Winter Court, and that sneakers are not considered proper court attire.”

A quiet noise came from the bed, sounding suspiciously like a snicker. I spared Ash a quick glare over my shoulder, and he gazed back innocently. Last night, when Fix was going over the rules with me one more time, I jokingly had mentioned the event was so stuffy and formal, maybe I could go in casual clothes this year. Then I’d at least be comfortably frozen. I’d thought Fix was going to have a heart attack squeaking in horror, and quickly assured him I was kidding. Packrats were wonderful little fey and fiercely loyal, but they tended to take everything seriously. Puck would have a field day with them.

Puck. I felt a twinge of sadness at the memory of him. Where was he now? What was he doing? I hadn’t seen my best friend since the day we defeated the false king and I claimed the Iron throne. Ash had; Puck had accompanied him to the End of the World in his quest to gain a soul so he could be with me in the Iron Realm. But they’d parted ways soon after, and no one had seen any sign of the Great Prankster since.

I wished I knew where he was. I missed him.

“All right,” I told the wire nymphs, smiling to ease their nervousness. “Then I’m at your mercy, I suppose. Lead the way.”

An indefinite time later, after being poked, prodded, stuffed into a gown, my hair teased into curls and my face touched with makeup, I went back toward the bedroom, relieved that it was done. This was one of the things I didn’t particularly care for; these extremely formal affairs that required me to look the part of a powerful faery queen. I understood Ash’s reluctance. Faery politics were tricky, conniving and, if you weren’t careful, extremely dangerous. I’d had to learn the ropes fast. Thankfully, Glitch and Fix were there to offer guidance when I needed it, and now Ash was here, as well. And the youngest son of the Unseelie Queen was no slouch when it came to the power struggles between the faery courts.

Speaking of which...

He was waiting for me outside our chamber doors, leaning against one of the pillars, arms crossed. Seeing him, I paused to collect myself. Ash in his black-and-silver uniform cut a striking figure against the white marble column, his cloak draping his shoulders and his sword at his side. It reminded me of our first dance together, my first Elysium, when I’d seen the cold, dangerous son of Queen Mab up close for the first time and was completely lost. Call it fate, destiny or just

Blatant hardheadedness on both our parts, from that moment on, there was no turning back.

As I approached, he smiled and pushed himself off the column, extending a hand. He had this uncanny ability to see everything about me in a single glance without taking his eyes from my face. I sensed he was doing that now. His expression looked a bit dazed, for just a moment, before he took my hand and kissed the backs of my knuckles, a perfect gentleman even now.

“Well.” I sighed, ignoring the butterflies set loose in my stomach. “Here am I, all fancied up and ready to go to Elysium.” I glanced down at the metallic gray-and-white fabric of my dress, befitting colors for the Iron Queen, and shook my head. “I hope this gown is heavy enough. Mab’s palace isn’t exactly the warmest place in the Nevernever.”

“You look beautiful,” Ash said, pulling me close. I blushed, and a slightly mischievous look crossed his face. “I’m glad Fix was able to talk you out of jeans and a T-shirt.”

I swatted his stomach with the back of my hand. He laughed softly, offering an arm, and together we walked through the long hallways of the Iron palace. Gremlins scurried over the walls and ceilings, cackling, and Iron knights lowered their heads as we passed. Hacker elves, Cog dwarves, wire nymphs and clockwork men all bowed as we went by, before continuing their duties. My Iron fey. It was hard to believe that a few years ago I was a normal teenager living in the Louisiana swamps, and the Iron fey were slowly making their move to destroy the Nevernever. Now I was their queen, and they, while not really welcome in the wyldwood and the other courts, were no longer considered abominations to be eradicated. So much had changed. I had changed, and so had everyone around me.

I snuck a glance at my knight, walking quietly at my side. He seemed truly at ease now, comfortable and content in the Iron palace. Though his gaze constantly swept our surroundings, taking everything in, and he watched every faery I spoke to with searing intensity, ready to spring into action if needed, he’d acclimated to the Iron Realm surprisingly well. I’d been worried at first, that he would miss Tir Na Nog and the Winter Court and would have a hard time adjusting to the alien nature of the Iron realm and the fey within it. But he’d slipped into his role here surprisingly well, almost like it was familiar. Like he’d done it all before.

And, strangely enough, maybe he had. I didn’t know what Ash had gone through on his voyage to the End of the World to earn his soul. He’d told me the gist of it, without going into too many painful details, and what he had told me seemed almost too crazy to believe. One section in particular, the part where he’d seen a future version of us, he didn’t speak of much at all. It wasn’t that he was being evasive, but he’d explained that he didn’t want to color our future with what-ifs and things that might never happen.

Truthfully, I wasn’t worried. I knew he would tell me everything, down to the last detail, if I really wanted him to. But Ash was here, in the Iron Realm. He had found a way to survive, to be with me. That was all that really mattered.

“You’re staring at me again,” Ash murmured without turning his head, though one corner of his lips quirked up. His silver eyes danced mischievously. “Is it the uniform? Perhaps I should remove it if it’s so distracting.”

“Behave, Ash.” I wrinkled my nose at him, smiling. “And don’t think I don’t know what you’re doing. Your little ploy to get out of Elysium isn’t going to—”

I gasped as, without warning, my stomach turned over and a bout of dizziness made the walls spin. I tried to say something to Ash, to ease the alarm and worry on his face, but the ground beneath my feet tilted, and the floor rushed up at me.

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