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Sans faire aucun bruit, Drizzt attacha les deux poneys derrière les chevaux qu’il avait accolés l’un à l’autre. Il monta sur les deux chevaux comme s’ils ne faisaient qu’un et plaça ses pieds dans les étriers. Se tenant entre eux, il se redressa et rejeta en arrière la capuche de son manteau. Une lueur sauvage et dangereuse étincelait dans ses yeux lavande. Il précipita les montures dans l’anneau, dispersant les barbares stupéfaits qui l’entouraient.

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Wulfgar, toutefois, procédait à d’autres préparatifs. Il commença par rassembler des morceaux de bois et des branches et à aiguiser leurs pointes. Cherchant à mettre le plus de chances possible de leur côté, il les installa en différents points autour de la zone où ils se trouvaient afin de les disposer de la manière la plus stratégique possible, compte tenu de leurs positions, utilisant leurs pointes mortelles pour couper les voies d’approche de ses assaillants. Il usa de ruse pour camoufler d’autres bâtons à des angles qui feraient trébucher et blesseraient les orques avant qu’ils parviennent à lui.

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L’intérêt soutenu de Morkai pour le monde qu’il avait laissé derrière lui n’avait rien d’extraordinaire dans le monde spirituel. La mort altérait les ambitions de l’âme, remplaçant l’appât des gains matériels ou sociaux par une soif inextinguible de savoir. Certains esprits observaient les Royaumes depuis des siècles et des siècles, se contentant de recueillir des informations et d’observer les vivants mener leurs affaires. Peut-être le désir d’éprouver des sensations physiques qu’ils ne pouvaient plus ressentir. Mais quelle qu’en soit la raison, la richesse du savoir d’un seul esprit dépassait souvent tout le savoir contenu dans les ouvrages de toutes les bibliothèques des Royaumes.

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Depuis son nouveau poste sous la table, Régis observait l’action tout en sirotant son verre. Les serveuses elles-mêmes s’y étaient mises : elles étaient perchées sur le dos d’un quelconque malheureux combattant, ou gravaient des motifs compliqués sur les visages des hommes à l’aide de leurs ongles. En fait, Régis se rendit bientôt compte que la seule autre personne dans la taverne qui n’avait pas pris part à la rixe, excepté ceux qui avaient perdu connaissance, était Jierdan. Le soldat était tranquillement assis sur sa chaise, ne se préoccupant pas de la bagarre qui se déroulait autour de lui et n’avait d’yeux, semblait-il, que pour les prouesses de Wulfgar.

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Régis vit les ennuis arriver sous la forme d’une femme qui s’avança nonchalamment vers leur table. Il ne s’agissait pas d’une jeune femme à l’apparence négligée, ce qui était courant du côté des docks. Elle était au contraire vêtue d’une robe qui laissait voir tous les appas que la robe d’une dame se doit de cacher à la vue, et dissimulait, de manière aguicheuse, tous ses défauts physiques. L’attitude de Wulfgar confirma les craintes du halfelin : le menton du jeune barbare se trouvait presque au même niveau que la table.

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La construction était aussi peu accueillante que la réputation de Luskan. Une porte à un seul battant se dressait entre deux petites tours carrées, devant eux. Elle était cerclée de fer et solidement fermée. Une dizaine de têtes coiffées de fourrure dépassaient du parapet surplombant la porte et les compagnons sentirent qu’il y avait bien plus d’yeux encore qui les observaient, et probablement des arcs pointés sur eux, au sommet des tours plongé dans l’obscurité.

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Tellement de gens veulent une réponse, une réponse absolue, à tout dans la vie, et même à tout après la vie. Ils étudient et ils interrogent, et parce que quelques-uns trouvent les réponses à quelques questions simples, ils présument qu’il y a forcément des réponses à toutes les questions. Comment était le monde avant qu’il y ait des hommes ? N’y avait-il rien d’autre que l’obscurité avant le soleil et les étoiles ? Y avait-il seulement quelque chose ? Qu’étions-nous, chacun d’entre nous, avant de naître ? Et la question la plus importante, que serons-nous après la mort ?

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Ce furent les ronchonnements de Bruenor qui les réveillèrent tard le lendemain matin.

-T'as oublié ma hache ! cria le nain avec colère. J'peux pas découper de sales trolls sans ma hache !

Drizzt s'étira avec aise, un peu reposé, mais loin d'avoir recouvré toutes ses forces.

-Je t'ai pourtant dit de prendre la hache, dit-il à Wulfgar, qui émergeait lui aussi d'un profond sommeil.

-Je te l'ai dit clairement, ajouta Drizzt sur un ton de réprimande moqueuse. Prends la hache et laisse le nain ingrat sur le terrain.

-C'est le nez qui m'a troublé, répliqua Wulfgar. Il ressemblait plus à la tête d'une hache qu'à aucun nez que j'ai jamais vu !

Bruenor loucha sans le vouloir sur son long museau.

-Bah ! gronda-t-il, j'vais m'trouver un gourdin ! Et il s'éloigna d'un pas décidé dans la forêt.

-Un peu de silence, si vous le voulez bien ! demanda Régis d'un ton hargneux tandis que le dernier reliquat de ses rêves agréables s'estompait.

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Bruenor comprit lui aussi le rôle qu'il avait à jouer. Il écrasa lourdement le cou-de-pied du barbare qui se trouvait entre lui et Régis, et lorsque l'homme s'accroupit pour saisir son pied douloureux, Bruenor lui donna un coup de tête. L'homme s'écroula aussi facilement que Murmure dans l'impasse des Rats, à Luskan.

-Oh ! ça marche aussi bien sans l'casque ! s'émerveilla Bruenor.

-Seulement avec une tête de nain ! souligna Régis tandis que Wulfgar les agrippait tous les deux par le col et les hissait sans effort sur les poneys.

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Régis résuma leurs pensées en disant :

- Notre première nuit dans notre première cité et nous avons trahi des tueurs, combattu et vaincu une bande de gredins et attiré l'attention du garde de la cité. Un début qui promet pour notre voyage !

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