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Mais tant qu’elle ronronnerait comme le petit chaton qu’elle n’était certainement pas, il en profiterait pour la posséder sans crainte qu’elle ne le blessât à coups de griffes. Non pas que son plaisir ne pût être accentué par quelques griffures ! Ou quelques morsures !

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"Amaury, te voilà rentré."

Même la voix provenant de son mirage était semblable à celle de Nina. Et le parfum qui s'engouffrait dans ses narines correspondait également, et en tout point, à celui de la jeune femme. Elle était réelle et elle se trouvait chez lui, sortant apparemment de la douche. Elle ne semblait pas être sur le point de s'enfuir. Et si elle essayait de l'éviter, se réfugier chez lui était alors le pire endroit où se cacher.

"On dirait que tu viens de voir un fantôme."

"Tu es ici."

Sa gorge sèche lui fit mal lorsqu'il parla mais son coeur bondissait de joie.

"Remarque on ne peut plus juste."

Nina fit quelques pas vers lui, tandis qu'il la regardait avec méfiance. Elle n'avait pas l'air en colère contre lui. Etait-ce parce qu'elle savait déjà ce qu'il voulait lui raconter ? Et d'abord, comment était-elle entrée chez lui?

"Je suis entrée par effraction. L'escalier de secours." répondit-elle à sa question tacite, désignant la fenêtre de la tête.

Il haussa un sourcil.

"Je t'aurai donné une clé."

Nina haussa les épaules.

"ça aurait été moins drôle."

"Ou tu aurais tout simplement pu m'attendre chez Samson au lieu de me laisser te chercher dans toute la ville."

"ça aurait été encore moins drôle."répliqua-t-elle.

"Tu savais que je te cherchais ?"

Elle haussa les épaules, nonchalamment.

"Tu ne serais pas le Amaury que je connais, si ce n'était pas le cas."

Nina cherchait les ennuis ? Il fit quelques pas vers elle.

"Et je ne serais pas le Amaury que tu connais, si je ne te fessais pas pour ça."

Elle mit ses poings sur les hanches mais une lueur de malice perça dans son regard.

"Il faudra d'abord que tu m'attrapes."

En un éclair, elle se précipita vers la fenêtre. Il l'arrêta avant même qu'elle n'arrivât à mi-chemin. Dieu bénisse la vélocité des vampires.

En un geste fluide, Amaury la plaqua contre lui et passa ses bras autour d'elle. Elle lui lança un regard aguicheur. Bon sang, il n'y avait rien de mieux que de sentir son corps doux contre le sien.

"Alors, maintenant que tu m'as attrapée, est-ce que tu prévois de t'excuser rapidement ou tu penses m'embrasser pour que j'abdique ?"

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Cette petite salope l'avait embrassé tout en sachant pertinemment qu'il était un vampire. Et pourquoi? Afin de le tuer. Elle l'avait complètement distrait. Avec un baiser!

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« Tu peux déposer cette promesse à la banque, elle vaut autant que de l’or. »

« Si j’avais eu un centime pour chaque promesse… »

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C’était bien sa veine d’être attaché avec une érection à assommer un bœuf alors que la seule personne susceptible, en ce moment précis, de l’aider à se défaire des chaînes était son ami gay. Parfait !!!

« Amaury ? »

La voix de Thomas retentit à nouveau dans le combiné.

Amaury déglutit avant de parler.

« Thomas, j’ai besoin de ton aide. »

« Ok, c’est pour quoi ? »

Amaury fronça les sourcils.

« Eh bien, je suis comme qui dirait attaché, ici. Ça te dérangerait de venir m’aider à me sortir de ce bordel ? »

« Quel bordel ? »

« Ben, je suis attaché. »

« Oui, ça, tu l’as dit. Mais c’est quoi, le bordel ? »

Si jamais la rumeur prenait, Amaury serait la risée du monde des vampires.

« Ben, c’est ça. Je suis attaché. »

Un silence accueillit ses paroles, puis un rire étouffé.

« Oh, il faut que je voie ça. Je serai là dans vingt minutes. »

Le clic sur la ligne confirma que Thomas avait raccroché. Amaury pouvait imaginer le sourire béat sur le visage de son ami. Il jeta un œil au réveil. Il était à peine quatre heures du matin.

Thomas était quelqu’un de confiance. Vingt minutes plus tard, Amaury entendit la clé tourner dans la serrure et son ami entrer avec ses grosses bottes de biker. Pour des raisons de sécurité, ils possédaient tous un double des clés de la maison de chacun.

En vain, Amaury essaya de se recouvrir à l’aide des draps froissés mais ces derniers, coincés sous lui, ne purent atteindre son ventre. Il jura dans sa barbe. Un instant plus tard, son ami, vêtu de sa tenue en cuir habituelle, déboula et l’observa de la tête aux pieds.

« Ah… Ben voilà quelque chose que je n’avais pas eu le plaisir de… »

Amaury lui jeta un regard énervé. Être reluqué par un gay avait quelque chose d’embarrassant, même si le gay en question était l’un de ses amis.

« N’y pense même pas. »

« Pas étonnant que les filles te courent après. »

Thomas examina attentivement l’érection.

Amaury s’énerva contre les chaînes dans l’espoir de distraire son ami.

« Tu permets ? » rétorqua-t-il, les dents serrées.

Thomas s’approcha et sortit des gants de sa veste en cuir.

« Je savais que tu étais adepte des trucs pervers, mais de l’argent ? »

Il lui jeta un regard réprobateur tout en enfilant ses gants.

« Ce n’était pas mon idée… »

« Mais je t’en prie, dis-moi tout. »

Son ami rit.

« Je ne cracherai pas le morceau. »

Amaury pinça les lèvres en une ligne fine.

« Tu vas me libérer ou tu es venu pour regarder ? »

« Je pensais que je pourrais regarder jusqu’à ce que tu me dises comment tu t’es retrouvé dans cette situation. J’ai tout mon temps. La nuit a été plutôt calme. En plus, je m’ennuie. »

Thomas s’amusait clairement aux dépens d’Amaury. Il s’assit sur le bord du lit et Amaury tourna immédiatement la tête dans la direction opposée.

« Recouvre-moi avec un drap et peut-être que je te dirai ce qu’il s’est passé. »

« Un peut-être ne te mènera nulle part. Ça fait mal, hein ? »

« Le drap, » insista Amaury, d’un ton laconique.

« Et quelle partie veux-tu que je couvre ? »

Thomas sourit de toutes ses dents.

Amaury le gratifia d’un regard aigre, avant que Thomas ne s’activât enfin et attrapât les draps défaits.

« Et je ne veux pas que tes mains s’approchent de ma queue ! »

« Et pour ce qui est de ma bouche ? »

« Thomas ! »

« Je plaisante… Tu devrais voir ta tête. Allez, crache le morceau. »

Thomas recouvrit le bas du corps de son ami.

« Laquelle de tes chères amies vampires t’a fait une blague pareille ? Elle a dû être plutôt bonne vu l’érection que tu as encore. »

Amaury se hérissa.

« Tu ne la connais pas. »

Thomas attrapa de nouveau les draps et fit mine de découvrir Amaury.

« Laisse-ça à sa place, » l’avertit Amaury en désignant les draps, objet du chantage de Thomas.

« Une nouvelle en ville ? »

De nouveau, Thomas tira sur les draps. Amaury secoua la tête, puis regarda son ami droit dans les yeux.

« Ce n’est pas une vampire. »

Thomas lâcha le linge.

« Pas une… ? Oh, Amaury, qu’est-ce que tu fous ? Une humaine ? Tu t’es laissé attacher par une humaine ? T’es dingue ? »

Probablement.

« Ecoute : c’est arrivé, j’ai survécu et maintenant, c’est fini. »

Moins il laissait entendre à son ami qu’il s’agissait d’un gros problème, mieux c’était.

« Maintenant, retire les chaînes. »

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"Nina, ton frère ne reviendra pas même si tu me tues."

Elle le savait.

"Non, mais je me sentirais mieux après."

Amaury secoua la tête.

"Non, tu ne te sentiras pas mieux. Si ce que tu dis est vrai, que ton frère n'était pas un assassin, qu'est-ce qui te fait croire que tu en es un ? Vous avez les mêmes origines."

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- tu vas te tenir tranquille, maintenant?

Amaury pris son silence pour un oui et la retourna pour l'assoir sur ses genoux à lui, mais elle essaya immédiatement de s'en dégager. Il arrêta. Avoir Nina sur ses genoux semblait tellement évident....

- Maintenant on vas parler.

Si tant était qu'il fût capable d'écouter la moindre chose, alors qu'elle se frottait les fesses contre lui, essayant toujours de lui échapper. Elle pouvait essayer autant qu'elle le voulait; il ne la laisserait pas faire. Avait-elle la moindre idée de l'érection grandissante dont ses mouvements étaient responsables?

- je suis quoi? un gamin assis sur les genoux du Père Noël? dit-elle en se redressant et en croisant les bras.

- crois-moi chérie, le Père Noël n'est pas aussi costaud que moi.

Il poussa son érection contre la cuisse de Nina afin de souligner sa déclaration et ressentit l'étroitesse de son pantalon. S'il bougeait à nouveau, il exploserait.

A présent, elle était manifestement énervée. Elle lui lança un regard venimeux. Peut-être était-elle enfin à court d'insultes dont l'affubler.

- J'en ai vu de plus grosses.

De plus grosse? Il lui montrerait

- J'en doute. Tu devrais peut-être comparer avant de sortir ce genre de choses.

Amaury attrapa sa main et la dirigea vers lui pour la placer contre la bosse de son pantalon.

Nina essayer de se dégager mais soudain, elle fut pantoise et Amaury sentit sa main le serrer légèrement à travers le tissu.

- OH

La chaleur de sa main se répercuta en lui et il poussa contre elle, l'encourageant à le serrer de nouveau. Il pourrait l'interroger plus tard. Ce n'était pas presser.

- Touche-moi

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- viens ici. je vais nettoyer tes plaies.

- je peux le faire moi-même. Il est hors de question que tu t'approches de mon sang.

Avait-elle le mot "naïve" tatoué sur le front? Comme si elle ne savait pas ce qu'il voulait d'elle.

- Ah, je vois le problème. Tu as peur que je te morde? Si ça avait été mon intention, je l'aurais fait quand je t'ai trouvée. Crois-moi, les plats à emporter me conviennent. Je me nourris sur le pouce.

Il la comparaît à un plat à emporter?

- Il n'est pas question que tes crocs s'approchent de ma peau.

Elle souligna sa réponse d'un regard noir en guise d'avertissement, regard que le grand et mauvais vampire ignora complètement.

- Et moi qui pensais que tu m'appréciais, pour m'avoir embrassé...

Il avait le culot de lui rejeter cela au visage.

Crétin!

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Nina se débattit davantage encore mais la poigne se referma sur elle. Il boirait son sang jusqu'à la lie et elle ne pourrait rien y faire. Elle n'avait aucune chance de lui échapper. Un vent de panique pénétra son corps, son cœur se mettant à battre à la vitesse d’un TGV.

Une seconde de plus et les crocs du vampire se planteraient dans son sein. Mais tout à coup, quelqu’un écarta l’assaillant et, un instant plus tard, elle atterrit sur les fesses. Levant les yeux vers la mêlée et s'attendant à voir L’Affreux Tout Moche se battre avec son compère, elle vit, à la place, le large dos d'un homme immense. Même sans voir le visage de ce dernier, elle le reconnut.

Nina se releva. Avec perplexité, elle regarda Amaury infliger des coups aux deux vampires, les maintenant à distance. Pourquoi se battait-il avec les deux hommes qu'il avait envoyés pour la tuer ? Cela n'avait aucun sens.

« Tu m'aides ou quoi ? » demanda Amaury.

Etait-il en train de lui parler ?

« Toi, la blonde qui m'a embrassé hier. »

Il était donc bien en train de lui parler. Après tout, elle était la seule blonde dans l'allée et elle doutait que L’Affreux Tout Moche ou Johan l'eût embrassé aussi.

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J'ai entendu ce que tu as dit. Et comme le fait savoir Rett à Scarlet: "Franchement mon cher, je m'en fous. Je dirais ce que j'ai à dire et personne ne m'en empêchera"

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