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Dorian et moi sommes enfin en couple. A l'entendre, nous serons bientôt mariés. Je sais que Dorian n'est pas un petit ami comme les autres, mais je ne m'attendais pas à ce que ma relation avec lui soit hors norme à ce point.
Me faire signer un contrat pour protéger ses biens un premier janvier alors que je suis encore en pyjama : check.
Devoir annoncer à mes parents que je vis avec un homme qui a seize ans de plus que moi : check.
Devoir lui tendre un piège pour qu'il arrête de mentir pour "la bonne cause" : check.
Et ce n'est que le début... Malgré mes sentiments pour Dorian, je m'attends au pire tous les jours. J'aimerais pouvoir aussi profiter du meilleur. En tout cas, s'il veut que j'accepte de l'épouser, il va devoir changer.
Afficher en entier« Dorian et moi sommes un couple hors-norme. À tel point que personne n’y croit.
Enfin, lui y croit. Tellement qu’il est persuadé que nous serons bientôt mariés.
Moi ? Je n’ai même pas terminé mes études, alors me marier… Rien que l’idée d’annoncer à mes parents que je vis avec un homme de 16 ans mon ainé me donne déjà des sueurs froides.
D’autant plus, qu’il excelle dans l’art de me rendre folle. Surtout lorsqu’il se met en tête de me prouver par tous les moyens qu’il m’aime.
Sa maladresse pourrait être attendrissante, mais je m’attends au pire en permanence. J’aimerais aussi pouvoir profiter du meilleur de notre amour.
Réussira-t-il à me convaincre de l’épouser malgré tout ? »
Afficher en entierAllie et Dorian s’offrent enfin une chance!
Elle termine ses études, il se partage entre la France et l’Angleterre. Ces deux-là s’aiment et rien ne peut les séparer.
Allie est bien loin de se douter que le passé tumultueux de Dorian va mettre leur amour en péril.
Entre mensonge et trahison, obsession et maladresse, Allie trouvera-t-elle encore la force d’y croire?
Et si le conte de fées virait au cauchemar…
"Je distingue, à travers les vitres, la silhouette élégante d’un brillant homme d’affaires dans un costume parfaitement taillé. Malgré le nombre d’heures de vol, Dorian est toujours aussi charismatique. Je le reconnais instantanément. Je meurs d’envie de courir vers lui quitte à me faire arrêter aux portes. Je trépigne, scrutant chacun de ses pas dans ce couloir au loin. Il disparaît derrière un mur. Je surveille les passagers qui viennent à notre rencontre. Des bras s’enlacent, des mains se serrent, des pancartes se soulèvent. Le voici, Dorian se tient au milieu d’une foule de gens cette fois armés de leurs bagages. Il tire derrière lui deux valises. Il s’adresse à quelqu’un qui le suit. Impossible de distinguer un visage, mais une main de femme se pose sur son bras. Je suis surprise de le trouver si souriant. Mon cœur ne fait qu’un tour. Il ralentit pour la laisser passer lorsque les portes s’ouvrent devant eux. Mon souffle se coupe lorsqu’elle relève la tête. À cet instant précis, j’aimerais disparaître. Mon cerveau envisage le vol retour, je parcours les lieux à la recherche d’un endroit où me dissimuler. James sait que je suis ici. Je ne peux faire marche arrière. Je dois les affronter. Quelle idée as-tu eue, ma Laurette? Qu’est-ce que je regrette, mais qu’est-ce que je regrette d’être là! Mon regard croise celui de cette femme. Surprise, elle semble me dévisager. Je distingue ses yeux qui scrutent chaque centimètre de mon visage afin de s’assurer de l’image qu’ils reçoivent. Elle se redresse sans changer de direction. Elle avance droit vers moi. Sans le savoir, je me suis postée juste devant le chauffeur de taxi qu’elle a réservé. Dorian cherche James, il ne m’a pas encore aperçue. Ils ne sont plus qu’à quelques mètres. Elle n’a pas baissé les yeux. Dorian me remarque enfin. Je lis la surprise sur son visage.
— Allie.
— Suzanne.
— Les rumeurs se confirment. Les rapaces tournent toujours, lance-t-elle.
— En effet, il paraît qu’ils sont très efficaces pour chasser les nuisibles.
Décontenancée, elle détourne le regard. Elle pose à nouveau sa main sur le bras de Dorian en le serrant légèrement de ses doigts, avant de lui faire une bise un peu trop proche de ses lèvres pour moi.
— Tu es tombé bien bas, mon pauvre Dorian. À lundi."
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